• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de Sarah Juste

sur Cash investigation : plongée en eau-micron


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Sarah Juste 9 février 2022 17:11
@tous : Je complète mon article par ce qu’on peut lire sur éducation.gouv.fr : Les enfants porteurs de maladies graves ou atteints de comorbidités sont plus vulnérables face au Covid-19, mais les autres enfants ne sont pas invulnérables non plus. La vaccination constitue donc une arme essentielle y compris pour eux. Elle permet de prévenir des formes graves de Covid-19 et des hospitalisations ainsi que des formes de Covid long, qui, bien que plus rares chez les enfants, ne sont pas négligeables. L’infection, même sous forme asymptomatique, peut avoir des conséquences à long terme.

La vaccination permet aussi de limiter la circulation du virus en famille et en milieu scolaire. La classe d’âge des enfants de 6 à 11 ans est, au 15 décembre 2021, celle qui enregistre le taux d’incidence le plus élevé, alors qu’il s’agit de la dernière tranche de la population scolaire pour laquelle l’accès à la vaccination n’était pas encore ouvert. Ainsi, depuis la rentrée scolaire 2021, le pourcentage d’écoles primaires fermées chaque semaine reste à un niveau élevé en comparaison à celui des collèges et lycées. La vaccination permet ainsi d’éviter les fermetures de classes qui engendrent notamment des retards d’apprentissage, et dégradent la santé mentale des enfants. ». Horreur… ils blanchissent encore leurs méfaits en pleurant sur les conséquences de leurs règles absurdes…qui ? Qui, et je le répète comme Cassandre, qui oblige les enfants à se tester tous ? ( dès qu’un parent qui veut bien faire a la bonne idée de tester son enfant pour aller à un enterrement par ex ou voir une personne âgée en clinique ou en Ehpad, découvre que son enfant est positif…) ça a été le départ dans ma classe de la valve de tests et des attestations.. qui fait fermer des classes pour dégrader la santé mentale des enfants ? Qui essaie de dégrader ma propre santé mentale en me faisant collaborer à cette folie de se tester dés qu’on a un soi disant cas positif ? Depuis la rentrée de janvier, j’ai eu 10 cas « positifs «  dans ma classe et à ceux qui ont mis en commentaire « positif de quoi ? » je e suis entièrement d’accord et le pire c’est qu’on doit faire semblant d’adhérer à une ineptie soi disant scientifique et au nom de quoi d’ailleurs soumettre l’éducation au chantage odieux d’une attestation de test… ? J’écris des articles pour me souvenir de cette horreur, car je ne souhaite pas tourner la page. Je veux me souvenir que nous avons eu deux ans de folie et que nous avons été tous des remparts très fragiles pour les enfants, qui sont visés dans cette pandémie de tests. Oui pour répondre au commentaire un peu méprisant sur l’arrêt de travail, oui, je me suis arrêtée car Amélie est gentille et surtout parce que si j’allais à mon école et que j’étais positive ou que je toussais, j’avais peur qu’on m’accuse de mise en danger de la vie d’autrui. Comme le maire me l’a déjà dit quand avec un collègue on voulait ne pas avoir à porter le masque, et on a du s’y plier.10 cas dans ma classe et moi seule instit non inoculée, je sentais venir le coup où on allait m’accuser d être l’agent contaminateur car je ne gélifie pas mes mains ni celle de mes petits élèves et je les prends sur mes genoux ou au cou dés qu’ils ont du chagrin… donc être positive , même sur un fake test, m’a permis de revenir et d’être lavée de tout soupçon et en plus je fanfaronne auprès des parents que omicron n’est rien pour montrer que ce n’est pas la peine de faire inoculer les enfants pour ça, je ne suis pas adepte des arrêts maladie, non pas parce que je sois une acharnée du boulot mais parce que j’ai une responsabilité morale auprès des élèves surtout en ces temps tourmentés. Je souhaite rester pour eux un pilier car mes pauvres petits élèves pleurent maintenant dès qu’ils ont mal à la gorge car ils ont peur de contaminer les adultes ! Ils peuvent tomber très fort sur le goudron, se faire vraiment mal, ils ne pleurent pas mais quand ils ont mal à la gorge, ils se mettent à avoir peur alors je suis là pour les rassurer… »ce n’est pas grave d’avoir mal à la gorge, tes défenses se mettent en route…c’est comme la sirène des pompiers. » Et c’est vrai que je voulais écrire donc un témoignage ironique sur ma rencontre avec le test positif mais qu’en fait, ca me soulage aussi pour les élèves et leurs parents que je sois débarrassée de ce truc de suspicion d’être « contaminateur «  potentiel pendant deux mois, car la norme éducation nationale c’est qu’on ne doit plus faire de tests maintenant pendant deux mois comme les enfants qui ont été positifs. 


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès