Désolé mais je maintiens : les nazis étaient européistes. Dans la
nouvelle « la bonne peinture » de Marcel Aymé, écrite juste après la
guerre, il y a un personnage qui est un fugitif, traqué par la police
pour son passé de collabo de la pire espèce. S’estimant
injustement victime d’un système qui ne l’a pas compris, il ressasse à
longueur de temps à son compagnon d’infortune : « Tout ça c’est parce que je me suis mouillé pour l’Europe ».
Eh, oui ! C’est ballot hein ?! Rassurez-vous, après 30 ans de lavage de
cerveau la quasi totalité des gens ont oublié cette vérité toute bête.
Mais l’histoire c’est le retour aux sources ! Pas l’apprentissage par
coeur d’un remâché politiquement correct qui vente les vertus de Robert
Schumann ou de Jean Monnet.