L’auteur
écrit : « Le partage du travail
permettrait, aussi, sans doute, de rétablir des équilibres perdus : une
meilleure répartition des richesses et une modération dans la consommation... »
Croire que
telle ou telle réforme dans le gouvernement des nations peut changer la vie
morale de l’homme serait une étrange illusion ; on peut lui donner des progrès
matériels, des réformes économiques avantageuses aux masses, on n’atteindra pas
les profondeurs de sa vie psychique.
Aussi, on ne
change pas une nation en changeant sa politique. On la change en réformant ses
mœurs, et pour réformer les mœurs il faut changer les idées.
Cordialement.