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ddacoudre

ddacoudre

poète essayiste militant à la retraite.
La vie commande d’être convaincu qu’il y a un absolu où tout ce que nous concevons s'écroule, Il faut donc comprendre que celui qui dispose d’une certitude absolue peut se suicider car c’est un mort vivant et ne peut développer pour vivre que la mort qu’il porte.
 

Tableau de bord

  • Premier article le 06/06/2007
  • Modérateur depuis le 27/06/2007
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Derniers commentaires



  • ddacoudre ddacoudre 8 novembre 2008 01:00

    re voltaire, désolé j’ai collé par erreur un commentaire destiné a alizée mes excuses.



  • ddacoudre ddacoudre 8 novembre 2008 00:57

    http://www.agoravox.fr/ecrire/articles.php3?id_article=27865

    http://www.agoravox.fr/ecrire/articles.php3?id_article=27974

     

    Bonjour alizée

     

    Je t’ai mis de lien où j’ai traité de la liberté dans une approche philosophique.

     

    Le travail est une contrainte. Le singe doit toujours parti à la recherche de nourriture. Nous nous avons abandonné cette existence nomade pour la sédentarité, mais cela nous oblige à fabriquer notre prospérité. Accoutumé par le conditionnement dés l’enfance à suivre cette voie, elle nous parait inscrite dans l’inné, elle l’est mais comme une aptitude à développer par l’apprentissage. Si l’on cesse toute contrainte réglementaire sur les individus notre prospérité disparaît.

     

    Le bénéfice que nous retirons de cette prospérité, qui nous a conduit à l’hédonisme comble notre existence. Mais il ne faut pas perdre de vue que la ressource que nous en retirons prévaut sur son utilité. Si le travail était une fin les oisifs de la jet société s’en seraient déjà emparés. Mais je conviens que travailler durant son existence, exige de notre part que nous y trouvions un intérêt sans quoi psychologiquement nous ne résisterions pas longtemps, de la même manière qu’à contrario ceux qui n’en n’ont pas parfois en souffrent car ils se sentent exclus de la société.

     

    Ainsi l’époque que nous vivons, où l’emploi se fait rare et moins rémunérateur, nous pousse à placer la liberté là où il n’y a que « contrainte volontaire ».

     

    L’autre aspect politique impose d’avoir en mémoire que si le travail ne s’exécutait pas contre une ressource, il n’y aurait pas assez d’individus et de temps pour réaliser et produire tous ce que nous désirons.

     

    Il va donc de soi que la quantité de matières premières et la monnaie sélectionnent nos comportements et la distribution de la rareté, et dans la concurrence mondiale internationale nous arrive des produits fait par du personnel qui travaille beaucoup,est peut rémunéré et ne dispose guère d’avantages sociaux.

     

    Devant cette situation nous avons que deux possibilités ou demander aux travailleurs de ces pays de s’organiser pour réclamer une part de la richesse qu’ils créaient et parvenir à notre niveau de prospérité sociale, ou nous, il nous faudra nous aligner sur leurs conditions pour conserver des emplois. C’est ce deuxième point que met en place le gouvernement épaulé par le MEDEF qui se félicité toujours des mesure de déréglementation les saluant comme un progrès car ils savent que de la sorte le coût social du travail sera moindre, c’est en ce sens là que prétendre travailler jusqu’à 70 ans est une liberté de dupe est un e utilisation abusive du terme liberté, là ou il n’y a qu’un choix d’organisation soumis à la pression économique.

     

    Bonjour voltaire


    j’ai lu tes échanges avec jaja gilles et sisyphes, et je partage ton analyse sur l’essentiel. Mais l’on avait déjà eu l’occasion d’échanger sur ce sujet et j’avais formulé la nécessité du PS de scissionner à la lumière des résultats du vote sur la constitution européenne, car il y a un malentendu qui dure depuis lors.

    J’ai pour ma part quitter ce parti pour aucun autre lorsqu’il est devenu social démocrate sans le dire. C’est à dire qu’il est pour la loi du marché qui peut être source d’équité sociale, ou d’une autre manière c’est devenu un parti de droite social, ou un parti de droite qui considère que le social n’est pas l’apanage du seul socialisme.

    Je te rejoins donc quand tu dis que la majorité des citoyens français sont à droite, y compris des socialistes qui se croient socialiste parce que ils ont conservé le sigle qui a entretenu la confusion.

    En ce sens ceux là sont plus proches du modem, ce qui les sépare ne sont que des stratégies électorales.

    Une nouvelle redistribution des cartes rendrait la situation plus claire entre les tenants du capitalisme (je le dis comme cela pour ne pas utiliser le terme libéral car j’en suis un mais pas capitaliste) et les opposants dit de gauche qui n’ont pas de solutions de remplacement ou même seraient isolé s’il en avait une dans un monde capitalistique.

     

     Ce qui les conduiraient à ne constituer qu’une opposition menant un combat idéologique, ce que fait Besancenot, mais dans la situation présente il y a ceux qui briguent le pouvoir pour diriger le pays dans une économie capitaliste et ceux qui voudraient que ce capitalisme se socialise et qui resterons de fait dans l’opposition tant que leur idéal n’aura pas prospéré ; ce qui n’est pas sur le point de se produire, malgré la situation de crise.

    Le PS actuel n’y parviendra pas plus que ce qu’il y ait parvenu précédemment en pensant que s’aligner sur le marché en le corrigeant y suffirait.

     

    Le PS n’est plus de gauche est ce n’est pas parce qu’il a conservé le terme socialiste qu’il doit être classé comme tel. Quand l’on ne lutte plus contre le capitalisme sauvage pour le socialiser on n’est plus de gauche.

    L’économie mondiale demande de livrer un combat, celui contre l’exploitation capitaliste des pays d’Asie qui nous importent leurs conditions sociale et précarise les nôtres, et je n’ai pas le souvenir d’avoir entendu le gouvernement socialiste est ses successeurs dirent qu’ils fallaient que les employeurs occidentaux, qui investissent dans ces état se mettent d’accord sur des conventions internationales pour y palier.

     

    C’est le contraire l’on nous a expliqué qu’il fallait que l’on se prépare à affronter la compétition, sous entendu réduire notre prospérité pour préserver nos emplois.

    Je conviens qu’il peut y avoir une répartition des productions en fonction des niveaux technologiques des uns et des autres mais c’est de moins en moins vrai, la chine vient de le démontrer.

    Ceci les français le perçoivent faute de bien en comprendre les sources et corrélativement ils demandaient à un PS d’y apporter une solution alors qu’il en est devenu un partisan résigné, sauf pour ceux qui sont à gauche du PS qui s’opposent à ceux qui disent qu’il faut faire avec la réalité.

    A mon sens une synthèse est voué a l’échec Mélenchon à bien fait de se retiré, d’autres devraient le suivre.

    Quand à Besancenot Bill Gate avait prophétisé son avènement en demandant en 1995 aux décideurs réunis à Davos de redistribuer un peu plus de richesse sous réserve de risquer le renouveau d’un développement de l’anticapitalisme.

     

    Besancenot doit remodeler sont discours pour le faire prospérer et le crédibiliser, par exemple l’on ne peut pas soutenir l’interdiction de licencier, à l’extrême cela veut dire qu’une entreprise dont plus personne n’achète les produit doit continuer d’employer son personnel.

     

     Il perdra peut être ceux qui confondent révolution et bordel pour gagner ceux qui pensent que la redistribution de la richesse à ceux qui la produisent est révolutionnaire.

     

    Comme tu le dis l’intérêt électoral ne les pousse pas à avoir le courage d’une scission à l’amiable qui clarifierait la situation et redonnerai corps au débat politique. S’il l’avaient fait au lendemain de l’élection sur la constitution il auraient pu faire avec Bayrou un grand parti centriste social démocrate, et laisser le socialisme qu’ils ne sont plus en mesure de porter à d’autres.

     

    Cordialement.



  • ddacoudre ddacoudre 7 novembre 2008 22:27

    http://www.agoravox.fr/ecrire/articles.php3?id_article=27865

    http://www.agoravox.fr/ecrire/articles.php3?id_article=27974

     

    Bonjour alizée

     

    Je t’ai mis de lien où j’ai traité de la liberté dans une approche philosophique.

     

    Le travail est une contrainte. Le singe doit toujours parti à la recherche de nourriture. Nous nous avons abandonné cette existence nomade pour la sédentarité, mais cela nous oblige à fabriquer notre prospérité. Accoutumé par le conditionnement dés l’enfance à suivre cette voie, elle nous parait inscrite dans l’inné, elle l’est mais comme une aptitude à développer par l’apprentissage. Si l’on cesse toute contrainte réglementaire sur les individus notre prospérité disparaît.

     

    Le bénéfice que nous retirons de cette prospérité, qui nous a conduit à l’hédonisme comble notre existence. Mais il ne faut pas perdre de vue que la ressource que nous en retirons prévaut sur son utilité. Si le travail était une fin les oisifs de la jet société s’en seraient déjà emparés. Mais je conviens que travailler durant son existence, exige de notre part que nous y trouvions un intérêt sans quoi psychologiquement nous ne résisterions pas longtemps, de la même manière qu’à contrario ceux qui n’en n’ont pas parfois en souffrent car ils se sentent exclus de la société.

     

    Ainsi l’époque que nous vivons, où l’emploi se fait rare et moins rémunérateur, nous pousse à placer la liberté là où il n’y a que « contrainte volontaire ».

     

    L’autre aspect politique impose d’avoir en mémoire que si le travail ne s’exécutait pas contre une ressource, il n’y aurait pas assez d’individus et de temps pour réaliser et produire tous ce que nous désirons.

     

    Il va donc de soi que la quantité de matières premières et la monnaie sélectionnent nos comportements et la distribution de la rareté, et dans la concurrence mondiale internationale nous arrive des produits fait par du personnel qui travaille beaucoup,est peut rémunéré et ne dispose guère d’avantages sociaux.

     

    Devant cette situation nous avons que deux possibilités ou demander aux travailleurs de ces pays de s’organiser pour réclamer une part de la richesse qu’ils créaient et parvenir à notre niveau de prospérité sociale, ou nous, il nous faudra nous aligner sur leurs conditions pour conserver des emplois. C’est ce deuxième point que met en place le gouvernement épaulé par le MEDEF qui se félicité toujours des mesure de déréglementation les saluant comme un progrès car ils savent que de la sorte le coût social du travail sera moindre, c’est en ce sens là que prétendre travailler jusqu’à 70 ans est une liberté de dupe est un e utilisation abusive du terme liberté, là ou il n’y a qu’un choix d’organisation soumis à la pression économique.

     

    Pourtant certains employeurs exigent d’être consulté sur la possibilité de garder un salarié jusqu’à 70 ans car ils savent que suivant la nature des emplois un salarié devient trop vieux à partir de 50, puisque c’est dans cette tranche d’âge que la durée du chômage est la plus longue.  

     

    Merci pour cette discussion. Cordialement.



  • ddacoudre ddacoudre 7 novembre 2008 11:49

    bonjour napoléon.

    je ne discute jamais le point qu’un individu salarié ou employeur puisse s’épanouir pleinement dans son travail pour l’un son activité pour l’autre.

    Le seuil difficile à cerner est le point ou le travail est une aliénation, c’est à dire que l’on y a une addiction si forte qu’on pense ne pas pouvoir faire autre chose que ce pour quoi l’on a été conditionné, ou qui tout au long de l’existence a été ce qui a donné un but. Mais ce n’est pas une raison pour avoir peur d’arréter son activité, et à contrario pas une raison pour l’arréter.

    La situation sociale, la nature du travail, et la pression économique sont des facteurs à prendre en comptes. Si un individu est un génie dont la communauté bénéficie, il serait stupide de se priver de son travail ou activité parce que un seuil fixe une cessation du premier, alors que dans le deuxième cas il cesse son activité suivant son désir.

    La nécessité de se répartir la source de revenu lors qu’elle se fait rare ou parce que elle est épuissante ou mortifaire nous conduit donc a fixer des seuils du travail des salariés dans le temps. Mais je reconnais que la troisième tranche de vie qui peut offrir cette liberté de ne plus se soumettre à la contrainte du travail et de la resource qui lui est lié, est une innovation socialement quasi mirifique.

    Ainsi indépendemment de celui dont la société ne peut pas se passer de ses compétences, l’accédà cette nouvelle tranche de vie qu’est la retraite demande une certaine adaptation, puisque le retraité se trouve seul pour devoir organiser sa nouvelle existence sans que des tiers organise sa vie à sa place sous la pression de l’environement social et économique.

    merci de tes commentaires cordialement.



  • ddacoudre ddacoudre 6 novembre 2008 01:50

    bonjour traroth

    le calcul de montant de la retraite n’a pas changé pour la tranche de 60 à 65 et je crois qu’il est prévu une majoration pour ce qui travaillerons jusqu’à 70 ans.

    cordialement.

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