Allons, mon très cher JL, la route est encore longue
et je manque de « carburant ».
J’en appelle justement à votre
intelligence normale et objective. Si vous voulez que j’arrête de vous provoquer,
pourquoi donc m’avoir tant cherché ???
Si vous voulez que je me comporte
normalement, commencez donc par répondre normalement.
Je tente ici une
expérience d’une communication véritable où chacun (de nous deux) pourrait prendre son « tour
de parole » pour défendre ses opinions.
Vous dîtes en en réponse à Hervé
Hum au sujet de l’exemple 2 que j’ai cité dans mon article : Par JL (---.---.---.29) 14 mai 23:31 « Hervé Num, Je
vais illustrer la pensée par un exemple : en cas de divorce, le père
(c’est généralement la mère qui a la garde des enfants) est contraint par la
loi de verser une pension alimentaire. Cette obligation le dépossède de la
possibilité de le faire de son plein gré, ce qui a des conséquences
désastreuses sur la relation père enfant ».
Si nous décomposons la
séquence de votre position dans ce cas-là affichée cela donne : (1) lors d’un
divorce, la mère a généralement la garde des enfants ; (2) le père est
contraint par la loi de verser une pension alimentaire ; (3) cette
obligation le dépossède de la possibilité de le faire de son plein gré ;
(4) cela a des conséquences désastreuses sur la relation père enfant.
Question
qui en appelle à votre intelligence normale et votre logique : en quoi, le
fait de verser une pension alimentaire à la mère de son ou ses enfant(s) a une
incidence « désastreuse » sur la relation que le père entretient avec son ou
ses enfant(s) et ce, de gré (volontairement) ou de force (jugement).
Est-ce un
problème d’argent dans ces cas-là ?
Je ne comprends vraiment pas cette
démonstration. Vous seriez me la traduire autrement pour que je comprenne ???
Merci d’avance !