Bonjour, Gilbert
Vous avez parfaitement raison de souligner qu’un attentat n’est
pas nécessaire pour provoquer des mouvements de panique dont on connait les effets
potentiellement meurtriers.
Mais il existe un autre risque : que des attentats
puissent être commis là où on ne les
attend pas, là où la présence de policiers et d’agents de sécurité sera, du
fait de l’Euro, quasiment inexistante. J’ai écrit à cet égard le 15 avril un
article intitulé Euro
2016 : sécurité garantie sur les stades. Mais ailleurs ?
Je croise moi aussi les doigts pour qu’il ne se passe rien,
mais il est évident que les pouvoirs publics jouent avec le feu.