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En réponse à :

moderatus moderatus 26 novembre 2022 18:14

@velosolex

La Russie cultive le ton victimaire. Elle a d’abord bafoué les accords de 94, dans lesquels l’ukraine a accepté de lui donner son arsenal nucléraire, en échange d’une promesse de non agression....
La Russie n’a jamais eu de Nuremberg. Elle n’a jamais réexaminé son passé criminel, et Poutine n’a de nouveau mis en valeur, en niant tous les crimes de masse. 20 ans de propagande Poutinienne a transformé ce pays en succursale du nazisme, qu’elle rejette de façon projective sur ses victimes. 
Il n’y aura jamais de victoire Russe, car le caractère immonde de l’agression a fait régressé un peu plus la russie et a mis un terme à tout rassemblement possible entre les deux pays. La Russie ne supporte pas que son ex empire colonial est été liquidé, et veut le rétablir. Voilà ce que tous les dirigeants des ex pays frères, savent bien mieux que nous encore. Poutine ne reconnait que la force, Il n’y a pas de compromis possible avec un psychopathe. 

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bonsoir,
avant d’en à votre post et notre différence de lecture de cette guerre en Ukraine, je voulais vous dire que je vous ai envoyé un mot sur votre article sur Rimbaud.

en ce qui concerne la Russie, j’ai écrit un article il n’y a guère qui s’intitulait 

On n’a jamais fait le procès du communisme sous Staline, comme on a fait celui du nazisme, résultat, on a Poutine

On a même les communistes Français qui ont longtemps été staliniens ?

Quand à votre analyse « Il n’y a pas de compromis possible avec un psychopathe. » elle conduit donc à une guerre totale 


Je crois qu’il faut essayer de comprendre l’âme russe

pour établir des liens qui ne soient pas que conflictuels.


« C’est maintenant ou jamais que l’on doit prendre la défense de la Russie, sinon ils auront notre peau. Cela fait des siècles qu’on la couvre de calomnies. » Cette exhortation pourrait avoir été lancée par Vladimir Poutine.

Elle a été prononcée par Alexandre Soljenitsyne.

Du rescapé du goulag à l’ancien officier du KGB devenu tsar, un même nationalisme angoissé, une même conviction que l’éternelle Russie aux frontières incertaines est incomprise et assiégée par des forces hostiles.

Les Russes admettent mal la fin de leur empire. Ils ne veulent pas être relégués en deuxième division sur la scène internationale. « La fin du communisme a été une bénédiction, la fin de l’URSS une malédiction » : cette formule à l’emporte-pièce résume bien leur état d’esprit.


Décembre21


La Russie exige des garanties de sécurité

"Le renforcement aux frontières russes des groupements militaires des Etats-Unis et de l’Otan ainsi que l’organisation de manœuvres militaires d’ampleur constituent une source sérieuse de préoccupation" a-t-il noté, alors que les Occidentaux accusent au contraire le Kremlin d’avoir massé du matériel militaire à la frontière avec l’Ukraine en préparation d’une offensive.

Dans ce contexte, le président russe a de nouveau souligné la nécessité, selon lui, pour les Etats-Unis et l’Otan de donner des garanties de sécurité à la Russie en signant des traités devant interdire tout élargissement futur de l’Alliance atlantique.


Rien n’est noir ou blanc je crois velosolex.

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