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Les commentaires de Marie-Christine Poncet



  • Marie-Christine Poncet 8 mars 2007 10:48

    Demian, vous avez eu ici des phrases lumineuses sur Baudrillard, de ces éloges qui percutent l’intimité de la pensée et font ressentir le besoin de lire ou relire l’oeuvre du disparu.



  • Marie-Christine Poncet 22 février 2007 23:24

    Franchement, c’est super, j’ai beaucoup ri, l’association du dessin et du texte sonne parfaitement juste... Les portraits me restent en tête depuis que je les ai regardés ! Eponymus, ça serait bien d’en faire encore et encore... smiley))



  • Marie-Christine Poncet 19 février 2007 14:06

    Claude, merci de votre message ! Oui, quand on modère des forums, c’est terrible, ça m’est déjà arrivé d’avoir l’impression de flotter complètement (effet de la seule lecture des commentaires, lol), les techniques et tactiques trolls sont tellement diverses, complexes et mobiles... et je suis d’accord, quand on rit, c’est génial, mais parfois c’est plutôt angoissant... A bientôt !



  • Marie-Christine Poncet 19 février 2007 13:51

    Ouhhhhh pardon, je vais rectifier, merci merci merci !!!



  • Marie-Christine Poncet 15 février 2007 10:08

    Merci !!! C’est sympa de me le signaler, je fonce rectifier...



  • Marie-Christine Poncet 15 février 2007 00:27

    Ah, l’arbitraire des chiffres... ça faisait quand même un bon échantillon, non ?



  • Marie-Christine Poncet 15 février 2007 00:25

    Je suis passée... et repasserai !



  • Marie-Christine Poncet 14 février 2007 22:22

    Démian, je suis très contente que vous abordiez la réflexion sur les trolls : pour tout dire, je n’avais pas pensé une seconde que les « agora boys » (lu dans un commentaire) mettraient ma contribution à la une, sinon j’aurais demandé par avance de changer d’idée... et je suis surprise de ne pas être le punching-ball du jour... Oh beaucoup de fils sont argumentés, c’est vrai, mais voilà, il y a les trollés, et quelquefois c’est lourd. Je trouve que vous avez un regard de baguette magique sur le trollage : vous dites qu’il s’agit d’une « partie de l’économie même du débat participatif. Ils ne sont que des manifestations de tensions psychiques normales dans tout débat, puisque humains dans leurs coups de nerfs et sang. Et que paradoxalement, ces pressions seraient dues, justement, aux liens qui nous entre-tissent plutôt qu’ils nous séparent. » Je dis : ??? Tensions psychiques, ok, mais ce qui me frappe quand je lis de tels commentaires c’est la déconnexion totale du sujet (celui de l’article, puisque c’est un commentaire...). La tension psychique devient le sujet. Et elle se manifeste par un discours de soi et sur soi dont la fonction est unique : l’agressivité... non ? Alors je souscris avec enthousiasme à votre proposition finale, un vrai programme : « Que nul, dans la blogosphère, ne pourrait troller pour nuire, sans en subir, par force de liens, des effets en retour de la part des trollés mêmes. Et que par ailleurs, il nous faudrait apprendre tous : la tolérance nécessaire envers un trollage plus courant dans l’économie des forums. Un trollage qu’on appellerait dans la vraie vie : l’humour des échanges moins sérieux voire surréalisants ou artistiques. » Si le trollage devient expression décalée et humoristique et artistique pour quelques insolences de l’esprit mordant le contenu d’un article, ça va être le bonheur !



  • Marie-Christine Poncet 14 février 2007 17:19

    Maxim : c’est comme vous le dites, des images d’une personnalité se dégagent de ses écrits, mais pas vraiment l’enveloppe physique. Le phénomène qu’ont pu connaître des correspondants, finalement (j’ai connu, vous aussi peut-être, des personnes qui se sont mariées après plusieurs années d’échanges épistolaires + les correspondances littéraires : autant d’exemples du pouvoir qu’a le style de suggérer une partie de l’identité de son auteur, ceci dit, on reste toujours dans le cadre d’un, deux, trois (un nombre limité) d’articles, on ne perçoit que ce que la rédactrice ou le rédacteur a exprimé à ce moment sur le sujet qu’il aborde. Oui, Stravos, le sarcasme, la dérision, l’absurde sont d’une nécessité vitale... Je le crois aussi. Des formes accomplies de « la distance ».



  • Marie-Christine Poncet 14 février 2007 15:59

    Johan, c’est vrai que le fil en question est un dialogue, avec tout de même Vilain petit canard qui se glisse pour dire : « J’adore votre débat, j’apprends plein de trucs et c’est agréable de voir deux personnes discuter tranquillement et intelligemment avec des vrais arguments. » Exemplaire, ce dialogue !



  • Marie-Christine Poncet 14 février 2007 14:39

    Bernard, c’est noté, pas de problème !



  • Marie-Christine Poncet 14 février 2007 14:16

    Bonjour à tous,

    la relecture sur Agora n’est pas mon activité principale... Non, je ne fais pas de thèse, je suis juste une lectrice attentive... Tout à fait d’accord avec toi, l’Enfoiré : les commentaires sont des zones de textes terriblement expressifs... Je pensais bien en parler. L’Omnivore sobriquet : ce dont vous parlez mériterait bien un article, non ? Go !



  • Feelgood 21 janvier 2007 22:29

    Ouh la la ! j’espère que vous n’êtes pas si tendu que ça tous les jours. Dans les commentaires il y a ceux qui pensent que’agoravox roule pour Bayrou, pour Royal, pour Le Pen, pour ci pour ça. C’est finalement plutôt subjectif. Et puis quel intérêt de redonner la liste des modérateurs que tout le monde peut voir sur le site ? Faut pas se fatiguer comme ça pour rien ! C’est juste un site ! :))



  • myrte 5 décembre 2006 14:12

    Bonjour,

    « exquimaux », pour d’exquis troubles, ou « esquimaux » ?



  • lysia 28 novembre 2006 16:07

    Et vous me faites penser aussi à « La dame de pique » de Pouchkine, mais alors le personnage est très très sombre... L’histoire nous renvoie à un personnage (une vieille dame, ça, ça ne va pas) qui a connaissance, elle seule, de vérités et de lois du monde mystérieuses aux yeux de tous les autres, et terriblement attirantes... Laissons tomber aussi la fin tragique. Un petit moment d’intertextualité, à la lecture (très agréable) de votre article, pusique vous avez évoqué Eluard...



  • Myrte 17 novembre 2006 15:17

    Bonjour Stef, votre commentaire n’est pas supprimé, il est replié parce que les lecteurs qui se sont exprimés on cliqué sur « non », il ne leur apparaissait pas constructif. je trouve ça bizarre, votre réaction apporte une analyse, que je partage d’ailleurs en grande partie : Bayrou, je ne l’ai pas trouvé bon du tout hier soir !



  • Myrte 15 novembre 2006 13:38

    Bonjour, oui, ça fait drôle, mais quand il s’agit de laïcité, on écrit « laïque » pour le féminin et pour le masculin...



  • myrte 5 novembre 2006 18:48

    Morceaux choisis dans les messages (sur ce fil) de feu Demian West (car voici bien longtemps qu’il n’écrit plus d’article) : "Je suis gagnant quoi qu’il arrive... Et j’ai et je suis l’esprit quand le journal n’en a pas... J’écris pour moi-même... la providence et mon travail acharné m’ont donné l’art d’écrire... Nous verrons bien si AgoraVox aura le courage de me quitter... Ils ne savent plus quoi faire pour me rattraper... AgoraVox veut dévorer un de ses plus grands contributeurs..." C’est une grossière appropriation de l’espace collectif. Une mégalo-parano qui devrait être soignée. Associée à l’agressivité et au dysfonctionnement aggravé du langage, elle devient un signe de grande détresse mentale. Je propose qu’on ne réponde plus à Demian, et qu’il aille se reposer ailleurs.



  • myrte 12 septembre 2006 19:47

    Vous isolez ceci dans un paragraphe :

    « Les débordements de langage reprochés à Sarkozy (« racaille », les délinquants au stéréotype du « grand noir ») ne sont rien en comparaison de ce que disait Montesquieu : « On ne peut se mettre dans l’esprit que Dieu, qui est un être sage, ait mis une âme, surtout une âme bonne, dans un corps tout noir. »

    Que voulez-vous dire ? Comment voulez-vous qu’un lecteur qui ne connaît pas le texte de Montesquieu, son recours à une ironie percutante, comprenne quelque chose ? Ou alors on comprend ce que vous dites littéralement : « les débordements de langage de S. ne sont rien en comparaison de... ». Egale confusion, à mon avis, dans le paragraphe précédent. Je comprends d’autant moins que d’habitude (je vous lis toujours avec plaisir) je vous trouve très clair.



  • bob 12 septembre 2006 14:48

    Est-ce que c’est une blague ? J’ai peur de mal comprendre : il s’agit bien de second degré quand a l’analyse du passage « On ne peut se mettre dans l’esprit que Dieu, qui est un être sage, ait mis une âme, surtout une âme bonne, dans un corps tout noir. » ? Il est évident que Montesquieu a écrit ce passage en utilisant l’Ironie, pour signifier l’inverse de ce qui est dit !!! J’espère que c’est ce que vous avec aussi voulu dire en analysant les « dérives de langage » de Montesquieu, et que je m’horrifie pour rien.