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Les commentaires de Mathieu2



  • Mathieu2 Mathieu2 9 juin 2007 17:57

    ... le Pays Basque n’est pas un pays, comme son nom l’indique... smiley



  • Mathieu2 Mathieu2 9 juin 2007 17:35

    Moi non plus je ne suis pas bien votre logique.



  • Mathieu2 Mathieu2 8 juin 2007 15:45

    Bonjour,

    Je n’ai pas dit que les performances des athlètes dépendait du pays dont ils viennent, ce qui serait simpliste. Peut-être n’ai-je pas été assez clair sur ce point... Ce que j’affirme (cela vous a échappé), c’est que la perception que le public a du sport dépend beaucoup de l’état dans lequel ils vivent et peut se classer en « petits » pays et « grand » états. Mais ne parler que de l’économie et encore plus de la culture pour expliquer les différences de perceptions me semble peu rigoureux. Poour l’exemple de la France, il est certain que les médias, dont les relations avec le pouvoir politique sont plus malsaines que jamais, jouent un grand rôle dans l’entretien d’un sentiment artificiel d’adhésion au « sport national français » qui est avant tout un faire-valoir étatique et une manipulation (Jacques Chirac n’est-il pas allé jusqu’à affirmé sans ciller, la finale de Coupe du Monde à peine finie, que Zidane n’avait pas frappé de joueur italien ?) smiley

    Enfin, je pense avoir fourni suffisamment d’exemples pour vous donner une idée de ce qu’est un petit pays en Europe (jusqu’à 6/7 millions d’habitants) : Bretagne, Galles, Euskadi, Danemark, Catalogne, Suisse, Suède, Norvège, Slovaquie, Serbie, Lituanie, Slovénie, Croatie, Finlande, Lettonie, Hongrie, Belgique j’en passe... et pourquoi pas les Pays-Bas et le Portugal même si je les qualifierais plutôt de « moyens ».



  • Mathieu2 Mathieu2 8 juin 2007 11:50

    Gwellet vo... Gortoz pell gortoz gwell e vez lavaret n’eo ket ta ? smiley



  • Mathieu2 Mathieu2 8 juin 2007 11:14

    Oui vous avez raison, parce que l’Inde est (encore) un pays pauvre et en voie de développement. C’est d’ailleurs pour cela que j’ai limité mon article essentiellement à l’Europe. Le but est surtout de parler des « petits » pays et des « grand » pays d’Europe, les comparaisons restent plus pertinentes.



  • Mathieu2 Mathieu2 10 janvier 2007 17:48

    Relisez l’article, il ne dit pas que le morceau a été joué par Jimi himself... l’enquête est en cours, c’est tout. Votre commentaire n’est pas constructif... Merci également d’être moins agressif. smiley



  • Mathieu2 Mathieu2 10 janvier 2007 17:45

    En effet... je ferai plus attention la prochaine fois ,promis ! smiley



  • Mathieu2 Mathieu2 9 janvier 2007 21:00

    Non je rigole... mais notez que l’article de Demian West et le mien n’appporte pas exactement les mêmes informations.



  • Mathieu2 Mathieu2 9 janvier 2007 20:52

    Le lien donné dans l’article amène à un site en anglais avec lequel vous avez le morceau en fond sonore. Vous trouvez également ce lien sur mon blog, qui est en trackback à la fin de l’article. Concernant Demian West, il faut qu’il en laisse un peu aux autres !



  • Mathieu2 Mathieu2 3 octobre 2006 19:39

    J’ai vérifié, De Gaulle n’a rien à voir avec la « Gaule ». C’est un nom roturier flamand qui signifie « le Wallon », « l’étranger ».

    Cela dit je suis tout à fait d’accord avec l’auteur pour dire que les hommes politiques se croient dans une monarchie absolue, sauf que c’est pire qu’à l’époque de Louis XIV. D’ailleurs, dans le microscope politico-médiatique français, c’est fou le nombre de faux nobles qu’on rencontre : Galouzeau, Giscard, Poivre... Ils se croient tellement supérieurs aux peuples qu’ils dominent que les plus « vieilles france » ont la coqueterie de s’affubler de noms pseudo-aristocratiques !



  • Mathieu2 Mathieu2 3 octobre 2006 19:25

    « la préférée des sondages à l’élection présidentielle »

    Ah bon ?

    « C’est la France qui, avec Clovis et la fameuse ampoule du Saint Chrême, inventa le pouvoir divin du roi. »

    Comme c’est beau ! smiley Mais complètement faux... smiley

    « Puis le roi devint absolu, point d’orgue de la monarchie. » Pas du tout. L’absolutisme est une dérive française de la monarchie. Aujourd’hui la moitié des états de l’Union Européenne sont des monarchies. Ne confondez-vous pas comme la plupart des Français, et surtout des médias français, république et démocratie par hasard ? Je précise que je ne suis pas monarchiste.

    « Comment s’étonner qu’après cette centralisation unique dans l’histoire, dans le pouvoir et dans les âmes, les Français eurent le désir de s’affranchir de ce régime qui supposait l’infaillibilité, dès lors que le roi montrait une faiblesse ? »

    En effet, vous avez raison de souligner qu’à cette époque absolutiste française la centralisation était insupportable. Mais peut-être serez-vous étonné d’apprendre que la France est bien plus centralisé aujourd’hui que sous Louis XIV ou Louis XVI...

    « En effet, le pouvoir divin du roi ne se partage pas. Soit il est entier, soit il s’agit d’une supercherie, et on y met fin. La Révolution choisit donc de suppléer au pouvoir divin du roi par celui, collectif, du peuple. »

    Vous confondez pouvoir temporel et pouvoir spirituel. Le roi de l’époque avait bcp moins de pouvoir temporel que le président de la république actuel. Redescendez sur Terre ! A l’époque, la Bretagne avait un Parlement et des lois, aujourd’hui elle a quoi ?

    « Notons au passage la connotation d’un tel patronyme, qui associe la noblesse à l’antique France. »

    de Gaulle est un patronyme flamand si je le souviens bien, qui a une signification complètement étrangère à la « Gaule », avec un seul L, invention du XIXè siècle à partir d’une certaine traduction de Jules César pour justifier a posteriori l’hexagone qui apparaissait alors.

    « Avec Royal, les Français se réinventent le monarque providentiel ! »

    Je trouve ça tiré par les cheveux quand même... tout cet article pour arriver à ça, c’est pas génial quand même...

    Il n’y a qu’un point avec lequel je suis d’accord avec vous, c’est que la France n’est pas une démocratie. Pour le reste, désolé de vous le dire franco, mais vous êtes totalement ignare en Histoire, vous ne connaissez pas votre pays. Moi qui ne suis pas Français je le connais mieux que vous, la honte !



  • Mathieu2 Mathieu2 28 septembre 2006 14:18

    Je trouve que ce texte fait bcp de bla bla alors qu’il fait l’impasse sur l’essentiel : le système français est de moins en moins démocratique, et le retour de Juppé en est une démonstration évidente.

    Sinon je regrette que l’auteur ne parle pas des abstentionistes qui sont à chaque élection les grands « vainqueurs ».



  • Mathieu2 Mathieu2 22 septembre 2006 11:12

    Je tiens à dire que la carte présentée à côté de l’article est totalement erronée. La Bretagne était un état indépendant et puissant depuis déjà des siècles, avec sa diplomatie, ses institutions avancées, son économie, et battant monnaie. Son annexion pure et simple par la France aura lieu près de 4 siècles plus tard.

    La carte laisse supposer que la Bretagne fait partie du royaume français. Elle véhicule une incongruité qui se doit d’être corrigée. Pouvez-vous s’il vous plaît la changer ? Merci pour votre coopération au nom de la vérité historique.



  • Mathieu2 Mathieu2 29 juillet 2006 10:21

    Concernant le chiffre des Français expatriés, l’émission « Rue des Entrepreneurs » sur France Inter donne ce matin raison à ma version des chiffres : 2 millions de personnes ayant la citoyenneté hexagonale vivent à l’étranger, dont au moins la moitié de moins de 35 ans ! Mon chiffre vertigineux de 1 million de jeunes hexagonaux partis à l’étranger cité dans mon article se trouve donc confirmé, contre les dénégations de certains ! Parmi ces 2 millions, certains reviennent en Hexagone au cours de leur vie, certains restent, d’autres encore font des allers et retours. Les jeunes sont particulièrement ouverts aux opportunités que leur offre leur avenir. Beaucoup sont en fait d’origine bretonne, maghrébine, etc et n’ont donc pas un attachement fou à la France, mais on trouve aussi des Français de souche. On note tout de même une différence avec les jeunes Français qui eux sont beaucoup plus casaniers et connaissent finalement presque rien de l’étranger (d’ailleurs peu parlent une langue étrangère).

    Un témoignage intéressant toujours dans cette émission. Un Français formé à Polytechnique a créé une entreprise aux Etats-Unis et travaille aussi avec l’Inde. Voilà comment il voit les Français : « Quand je rencontre un Américain, il est heureux dans la vie, a un but dans la vie et sait pourquoi il est Américain. Quand je rencontre un Français, en France ou ailleurs, il est déprimé et ne sait pas vraiment pourquoi il est Français. » Réflexion très intéressante je trouve...



  • Mathieu2 Mathieu2 20 juin 2006 11:46

    J’ajoute que ceux qui ont provoqué toutes ces guerres, ce ne sont pas les petites nations européens mais les états-nations qui avaient et qui ont toujours pour certains d’entre eux (Espagne et surtout France) des envies de domination et d’absorption des voisins. Les petites nations cohérentes et bien dans leur baskets ne provoquent pas la guerre. Regardez les Balkans : n’est-ce pas la Yougoslavie qui en déplaçant des populations et en mélangeant tout le monde pour créer un citoyen nouveau, le « Yougoslave », a apporté la guerre ?

    Dénoncer l’impérialisme américain c’est bien, mais il faut aussi dénoncer l’impérialisme français, qui a fait beaucoup plus de dégâts.



  • Mathieu2 Mathieu2 20 juin 2006 11:40

    Je crois que votre analyse est surtout biaisées par votre anti-américanisme et votre anti-mondialisme. Mais les nations européennes, c’est une réalité incontournable. Vous ne pouvez pas les détruire comme ça. Voyez : même avec les Etas-nations du XIXè siècle ces nations vivent encore, même en France. N’est-il pas plus intelligent de faire preuve de tolérance ? Les Bretons ne vous ont rien fait !

    Vous parlez de l’Allemagne. C’est justement en réaction au centralisme du IIIè Reich, seule période jacobine de l’Allemagne dans son histoire, que les Allemands ont optés pour le fédéralisme à la libération, car le principe de subsidiarité, c’est l’essence même de la démocratie. Alors si les Allemands favorisent le respect des identités nationales et de la diversité culturelle en Europe, on ne va pas s’en plaindre ! Et tant pis pour les rêves de grandeur de la France.



  • Mathieu2 Mathieu2 20 juin 2006 11:30

    Détrompez-vous, les petits pays indépendants comme le Danemark, la Suède et l’Irlande défendent très bien leurs intérêts au sein des différentes instances internationales, de même que les nations autonomes sans états comme les Catalans, les Gallois, les Basques, les Ecossais, et pleins d’autres. Car ils ont des représentations directes à Bruxelles ! Ils ont des députés à Strasbourg ! Mêmes de simples régions comme la Bavière en ont. Mais des nations sans état comme la Bretagne, qui n’ont pas leur mot à dire par exemple sur les fonds européens qui sont gérés par les préfets et les hauts-fonctionnaires dans les ministères à Paris avant d’être redistribués aux « régions administratives » de Rennes et Nantes, et bien ils n’ont la maîtrise de rien, ils subissent comme des irresponsables. Et encore, quand la France n’oublie pas tout simplenent de s’en occuper ; ainsi des millions d’€ de fonds ont été perdus par la Bretagne à cause de l’incurie et je dirais l’indifférence de l’administration française qui a d’autres chats à fouetter que l’économie bretonne, ils s’en fichent complètement croyez-moi ! Les Catalans gèrent eux-mêmes ce genre de choses et résultat : réussite économique et reconnaissance internationale.

    Maintenant, la Catalogne doit-elle être un état indépendant ? Je me garderais bien de répondre à la place des Catalans, c’est à eux de décider. Un ensemble fédéral de toute la péninsule ibérique est une option possible. Les grand sensembles européens « régionaux » sont des constructions diplomatiques et économiques intéressants. Après tout, l’Espagne, le Portugal, la Catalogne, moins le Pays Basque il est vrai, sont des nations proches à beaucoup de points de vue (historique, culturel, économique...) et il serait peut-être intelligent de coopérer ensemble. L’union fait la force non ? Mais encore faut-il que certains partis espagnols abandonnent de vieux réflexes jacobins égoïstes. C’est aussi leur intérêt. Mais vouloir gérer à la place des autres, c’est vraiment débile et ringard ! Et si ils persistent dans leur entêtement, à mon avis les Catalans se lasseront d’eux et choisiront l’option indépendantiste. Et là ceux-ci ne reviendront jamais sur leur indépendance, comme n’importe quel pays d’Europe qui est devenu indépendant : il n’a jamais demandé à revenir dépendant de son ancienne puissance de tutelle. Rien qu’au cours du XXè siècle, les Danois n’ont pas demandé à redevenir allemands, les Irlandais anglais, les Norvégiens et les Finlandais suédois, les Croates et les Slovènes yougoslaves, les Slovaques tchèques, etc. La France ferait bien de méditer ces exemples !



  • Mathieu2 Mathieu2 20 juin 2006 10:54

    En Ecosse le gaélique est en grand danger, mais cela ne date pas d’hier. Il n’y a actuellement plus que 60 000 locuteurs pour 5 millions d’habitants. Il faut dire que les Ecossais expriment aussi leur caractère national par une forme typiquement écossaise de parler anglais. N’empêche que le gaélique écossais est reconnu comme langue officielle d’Ecosse depuis l’année dernière, que l’état Royaume-Uni a ratifié, comme la quasi-totalité des états-membres de l’Europe, la Charte Européenne des Langues Minoritaires et Régionales, que la télévision et la radio publiques britanniques ont des chaînes spécifiques en gaéliques (il y a BBC Scotland en anglais et BBC Alba en gaélique). Au Pays de Galles, c’est encore mieux car il y a eu au cours du XXè siècle une reconquête du gallois. Ca été l’exact inverse du breton : au début du siècle il y avait une proportion bien plus importante de britophones en Bretagne que de galophones en Galles, et maintenant c’est l’inverse : en Bretagne on est passé de 1 250 000 à 200 000 pour 4 millions d’habitants. Au Pays deGalles aujourd’hui 20 % de la population parle couramment gallois alors que c’était une langue en grand danger au début du siècle. Ceci est dû à une raison simple : les Gallois se sont battus pour avoir un statut d’autonomie, et aujourd’hui ils ont retrouvé leur propre Parlement. Le gallois est donc enseigné dans toutes les écoles, et il y a des écoles publiques tout en gallois. Les Anglais n’ont plus leur mot à dire et ils n’en sont pas morts ! Le Prince de Galles fait même chaque année un discours en gallois devant l’assemblée galloise. Comme si Dominique de Villepin allait faire un discours en breton devant le Parlement de Vannes ! Avec ce jacobin napoléonesque ça ne risque pas.

    Marie-Pierre : « Vivant maintenant en Bretagne, je me vois mal dans une région où je ne comprendrais rien, où je n’aurais aucune relation avec les habitants.

    C’est exactement cette raison qu’on invoqué les Français pour interdire le breton en Bretagne : je ne comprend pas cette langue donc vous devez l’abandonner. Tout le monde devait être monolingue francophone, condition pour accéder au rang de citoyen. Les Bretons n’auraient au grand jamais abandonné leur langue nationale, c’est l’état français qui les a forcé. Donc croire aujourd’hui que l’état français va maintenant faire quelque chose pour que le breton ne disparaisse pas, c’est vraiment faire preuve de naïveté. Les Catalans le savent bien avec l’Espagne et décident aujourd’hui eux-mêmes sur tout un tas de sujets : résultats leur langue est reconnue et respectée par les autres. Une dernière chose Marie-Pierre : vous vous êtes installé en Bretagne, bien, mais ce ne sont pas aux Bretons de s’adapter à vous, c’est à vous de vous adapter aux Bretons. Je crois que ce n’est pas trop difficile d’ailleurs, nous sommes connus pour être plutôt affables et ouverts... Bien sûr il y a des imbéciles partout mais en y mettant du cœur je pense que vous n’aurez pas de difficultés majeures pour vous intégrer. Une bonne initiative est de se mettre à apprendre le breton, vous verrez vous apprendrez pleins de choses sur l’identité et la mentalité bretonnes, et les gens vont en seront reconnaissants. Mais aujourd’hui la proportion de britophones est tombée tellement bas que franchement, craindre de se trouver perdue au milieu des britophones (qui je le rappellent parlent aussi tous français, et souvent mieux qu’un Français monolingue !) est un peu ridicule. Tout cela, c’est avant toutnune question de tolérance et de respect.

    Marie-Pierre : « La langue officielle reste malgré tout l’anglais. Ceux qui ne parlent pas gallois ou écossais ne se sentent pas perdus voire rejetés. »

    Les Gallois et les Ecossais, en défendant leur langue propre, ne se demandent pas si les Anglais vont être gênés ou pas, ils agissent c’est tout. Aux Anglais de s’adapter. On note d’ailleurs maintenant une tolérance bien plus grande chez les Anglais que chez les Français sur ces questions de diversité linguistique et culturelle ; les Français font beaucoup de discours sur la diversité culturelle dans toutes les tribunes du monde (une diversité d’ailleurs avant tout...francophone !) mais sur le terrain, de manière je dirais feutrée, les préfets freinent à tout prix les ouvertures de classes bilingues en Bretagne ou en Catalogne française.

    A voir un reportage de Radio Canada en Bretagne intitulé : Pourquoi le gouvernement français refuse-t-il d’intégrer les écoles en langue bretonne Diwan dans le système d’éducation public ? http://www.radio-canada.ca/actualite/v2/5sur5/niveau2_liste65_200411.shtml

    Je crois qu’une erreur fondamentale des Français est de croire que les gens ne vont parler qu’une seule langue. C’est une vision 3è république complètement obsolète et intégriste. Il n’y a qu’à aller dans les classes bilingues au Pays Basque, en Catalogne ou en Bretagne, les jeunes parlent souvent 3 ou 4 langues couramment. C’est d’ailleurs tout à fait banal quand on a bénéficié d’un enseignement bilingue dès le plus jeune âge. Personnellement je parle 3 langues couramment, et je me débrouille en italien. Ma priorité est de me remettre au breton mais quand on a 31 ans c’est beaucoup plus dur... D’où ùmon regret de ne pas avoir pu bénéficié d’un enseignement du breton et en breton à l’école.

    Le plurilinguisme, c’est l’avenir, et là les Français, par leurs vieux réflexes, ont du retard. Quant aux Catalans, ils sont un exemple de réussite qui ne s’en laisse pas compter. Vive les Catalans ! Vive le catalan ! Vive la Catalogne ! Bevet Bro-Katalunia ! smiley)



  • Mathieu2 Mathieu2 7 juin 2006 17:09

    Marina Valler : « Mais si comme dit Anthony il y a des remplacements par des diplomes etrangers alors c’est son choix, le bon j’en sais rien. »

    Anthony Meilland avait déjà sorti ces chiffres dans les commentaires de mon article « Question d’un Breton : pourquoi les Français ont-ils si mauvaise réputation ? » et j’avais à l’époque démontré que ces liens et ces chiffres du nombre d’expatriés français n’étaient pas fiables. Mais il fait comme si de rien n’était et reprend ces chiffres car cela sert son discours qui consiste à dire que ce n’est pas grave si des Français partent car il y a davantage de non-Français qui rentrent, comme si la France faisait rêver professionnellement aujourd’hui ! Il est complètement à côté de la plaque.

    Il dit aussi que l’immigration ne pose aucun problème, au contraire, et que les problèmes qui y sont liés sont « des fantasmes ». Il se déclare également pour l’instauration d’une république universelle, c’est-à-dire une république de type français à l’échelle... mondiale ! Et dans le même temps, il se déclare sans rire proche de l’UDF et de François Bayrou. Sauf que François Bayrou, qui personnellement est une personne que j’estime, n’a jamais été d’extrême-gauche. Bref je ne fais pas confiance à quelqu’un qui tente régulièrement de manipuler les gens.



  • Mathieu2 Mathieu2 6 juin 2006 09:12

    Encore un propos entendu confirmant mon article : ce matin Jean-Jacques Bourdin sur RMC info recevait Béatrice Angrand, conseillère pour les relations franco-allemandes sur Arte, auteur de « L’Allemagne, idée reçue ». A la question : comment les Allemands voient les Français ?

    Réponse :

    - comme le 1er partenaire européen, un parternariat auquel ils sont attachés après 2 guerres mondiales,

    - protectionnistes au niveau économique,

    - très cultivés,

    - arrogants (suite aux doutes émis par JJ Bourdin sur ce point, Béatrice Augrand confirme bien le constater régulièrement de la part des Français...)

    - doués pour l’improvisation,

    - élitistes.

    On retrouve donc bien plusieurs traits qu’ont mis en évidence les études dont plusieurs intervenants et moi-même avons parlé précédemment dans cette discussion.