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Les commentaires de Marianne



  • Marianne Marianne 1er juillet 2009 07:38

    ....vous parlez « d’une France qui n’existe plus. Celle où 80 % de la population était catholique et se gardait de faire la moindre vague. »

    D’accord avec vous Céline, Bois-Guibert préfère entre toutes, je suppose, la France de Vichy, bien française et bien polie, qui suivait « sans faire de vague » son bon berger tel un messie...

    D’ailleurs, il le dit tout net : la laïcité est selon lui un combat d’arrière-garde... 

    J’espère que la France n’en est pas revenue à ces vieilles lunes catholiques intégristes prêtes à marcher main dans la main avec des soi-disants laïques, surtout particulièrement intolérants face à tout ce qui ne leur ressemble pas...



  • Marianne Marianne 1er juillet 2009 07:25

    Oui, je suis d’accord avec vous. Autant le port de la Burqa me paraît incompatible avec la laïcité et le droit des femmes (je m’en suis expliquée dans un autre fil), autant je ne vois dans cette démarche de l’éducation nationale rien d’anormal.

    Evidemment, dans un état totalitaire, toutes demandes de renseignements peuvent être utilisées à des fins coercitives. Mais là, il me semble que c’est pour répondre à une attente des familles.

    Finalement, tout est bon à certains pour défendre le religieux...



  • Marianne Marianne 30 juin 2009 19:33

    Et je précise que je suis contre la présence américaine et occidentale en Afghanistan qui en faisant la guerre à ce peuple et en lui refusant de véritables aides au développement ne font qu’entretenir ces traditions moyenâgeuses...



  • Marianne Marianne 30 juin 2009 19:12

    « qu’une loi visant à l’interdire serait forcément dirigée à l’encontre des musulmans de France »
     
    Non, je ne crois pas que les musulmans de France dans leur majorité souhaitent que le port de la burka soit banalisé dans notre pays pour la bonne raison que la majorité d’entre eux n’approuvent pas cette tradition qui je le répète trouve sa source en Afghanistant (tribus pachtounes) et se base sur une interprétation particulière - et machiste en l’espèce - du Coran qui n’est pas partagée par tous les musulmans.



  • Marianne Marianne 30 juin 2009 18:57

    «  en ne leur interdisant pas l’expression de leur foi. »

    Oh, arrêtez LeGus. Se vêtir comme un fantôme est l’expression de la foi en un être suprème ? Je n’y crois pas. Cette tradition qui s’appuie sur un verset du Coran qui invoque la pudeur, pourquoi ne s’applique-t-elle qu’aux femmes ?

    De nombreux musulmans sont contre cette pratique qui n’a finalement pas grand chose à voir avec la religion mais bien avec une atteinte à la dignité des femmes même si certaines d’entre elles considèrent faire un choix...

    En tant que femme, je ne supporte pas que la gente à laquelle j’appartiens soient traitée de la sorte et qu’en plus toute une armée d’hommes non-musulmans viennent nous expliquer que c’est normal puisque c’est de foi qu’il s’agit...

    Et moi, j’affirme que ce n’est pas de cela qu’il s’agit. Et lorsque j’entends dire que si on interdit cet accoutrement ridicule et humiliant pour celles qui les portent et celles qui les regardent, les femmes vont rester cloîtrer chez elles, je me dis : cloitrée pour cloitrée, qu’est-ce que ça change ?

    Ce qui m’agace c’est que vous feignez ne voir qu’un signe religieux là où il y a manifestement entrave à la liberté d’autrui.

    Je précise que je suis athée, non islamophobe, que j’avais même un avis plutôt modéré sur le port du voile, que je suis tolérante envers les coyants même si je combats les fondements philosophiques des religions.

    Mais, non la France acceptant ces fantômes, symbôle de l’asservissement des femmes par les hommes, ce n’est tout simplement pas possible ! Quand on sait que cette tradition est essentiellemnt afghane (et pakistanaise) et quand on connaît le sort réservé dans ce pays aux femmes, vous pouvez ranger vos considérations de tolérance religieuse au placard !



  • Marianne Marianne 30 juin 2009 10:46

    Pour connaître l’avancée des réflexions de la communauté aéronautique sur le dossier,
    je vous invite à visiter le site : 

    http://www.eurocockpit.com/

    AF447 : la saga des tubes Pitot durerait depuis 15 ans... (publié le 29 juin 2009)



  • Marianne Marianne 30 juin 2009 00:16

    C’est peut-être des conneries de trouver une parenté entre la sarkozie et la monarchie, mais Péritate vous dîtes vous aussi beaucoup de conneries et avec tant d’assurance que vous y croyez vous-même.

    Ceci dit, vous voulez des billes en voici :

    Un article récent du Nouvel Observateur

    L’écart entre riches et pauvres s’accroit en France


    http://camarade.over-blog.org/article-19158090.html




    Et ces notes de l’OCDE :

    Le Saviez-Vous ? (Inégalité de revenus)

     L’écart entre riches et pauvres s’est creusé et le nombre de personnes vivant en-dessous du seuil de pauvreté a augmenté au cours des deux dernières décennies. L’évolution est assez générale, affectant les trois quarts des pays de l’OCDE. L’ampleur du changement est limitée mais significative.

    [Tableau 11.1. Évolution des inégalités de revenu et de la pauvreté]

    Les inégalités de revenu se sont nettement accentuées, au début des années 2000, en Allemagne, au Canada, aux États-Unis et en Norvège. Par contre, les revenus ont eu tendance à s’égaliser en Grèce, au Mexique et au Royaume-Uni.

    La montée des inégalités s’explique généralement par le fait que les riches ont vu leurs revenus s’améliorer tant par rapport aux titulaires de bas revenus que par rapport aux titulaires de revenus moyens.

    Source ; http://www.oecd.org/document/36/0,3343,fr_2649_33933_41526756_1_1_1_37419,0 0.html



  • Marianne Marianne 29 juin 2009 17:22

    « La plupart des gens intervenants sur AV ne sachant pas ce que sont des bénéfices et ne déférienciant pas bénéfice, valeur ajoutée, valeur d’une entreprise et trésorerie, cette affirmation est à bannir. »

    Vous nous prenez pour des billes ?



  • Marianne Marianne 29 juin 2009 14:59

    Vu son CV, l’auteur se considère probablement comme étant du bord des décideurs.

    Mais ce qui est remarquable de naïveté ou peut-être de courage c’est qu’il avoue autant d’« erreurs » commises par son camp en si peu de temps.

    Ce que lui considère comme des erreurs sont pour moi des choix délibérés non pour relancer l"économie au profit de tous mais pour que quelques privilégiés profitent encore et toujours des ressources naturelles et des richesses - biens et services - produites par le plus grand nombre.



  • Marianne Marianne 29 juin 2009 14:32

    « il ne s’agit pas de riches contre pauvres », ah bon ?

    Si nous en sommes arrivés à des écarts de revenus entre simples salariés et actionnaires du CAC 40 qui nous font penser à la situation d’avant 1789, ne croyez-vous pas que c’est justement parce qu’il y a un problème entre riches et pauvres puiqu’en toute objectivité le régime politique est différent : d’un côté la Royauté, de l’autre la République.

    Nous pouvons en effet nous interroger sur la nature réellement républicaine du régime sarkozien. Mais le creusement des écarts de revenus ne date pas de son élection.
    Disons qu’à partir des années 70, ce que les régimes précédents avaient dû concéder de conquêtes sociales aux travailleurs commence à décliner et l’écart entre pauvres et riches à de nouveau se creuser.

    Sarkosy entend quant à lui apporter le coup de grâce à ce qui reste de solidarité nationale et d’avancées sociales dans ce pays. Il est un défenseur particulièrement acharné du libéralisme le plus sauvage et est en train d’organiser le pillage de l’Etat au profit de ses mentors et donneurs d’ordres : les grandes fortunes financières et industrielles,

    les riches donc...



  • Marianne Marianne 29 juin 2009 14:14

    Péripate,

    Lorsqu’on lit vos théories fumeuses sur la« vraie » et la « fausse » économie, on ne résiste pas à l’envie de vous opposer ce texte décapant de Robespierre contre la liberté totale du commerce, malheureusement d’une extraordinaire actualité :

    « Sur les subsistances »
     :

    http://newsoftomorrow.org/spip.php?article5888

    Il y décrit comment la liberté indéfinie du commerce conduit à l’appauvrissement puis à la disette du peuple de France voulus et organisés par le despotisme royal et l’aristocratie nobiliaire.

    Voici un extrait de ce texte :

    « Le négociant peut bien garder dans ses magasins les marchandises que le luxe et la vanité convoitent jusqu’à ce qu’il trouve le moment de les vendre au plus au prix possible ; mais nul homme n’a le droit d’entasser des monceaux de blé à côté de son semblable qui meurt de faim. »

    A l’inverse de vous, Robespierre fait une très nette différence entre les denrées nécessaires et vitales pour l’homme et celles qui sont superflues (simplement désirées, dîtes-vous...).



  • Marianne Marianne 28 juin 2009 11:34

    Le post ci-dessus répond à celui de mmarvin...



  • Marianne Marianne 28 juin 2009 11:32

    « Une hausse trop rapide ou trop importante du SMIC a un effet pervers : en renchérissant le cout du travail, il exclut de ce marché les plus fragiles : les jeunes et les moins qualifiés, qui ont plus de mal à trouver un poste car les employeurs privilégient alors les employés expérimentés au nom de la rentabilité. »

    Outre que je ne vois pas pourquoi le fait d’augmenter le SMIC excluerait les jeunes et les moins qualifiés du marché du travail, vous semblez vouloir dire que pour l’heure, les bas salaires des jeunes et des moins qualifiés sont une valeur d’ajustement des taux de rentabilité. C’est exact, mais tous les salaires ne jouent-ils pas ce rôle pour le patronat ?

    Par définition, le patronat a intérêt à baisser ou contenir les salaires pour augmenter ses ses bénéfices. D’autre part, si le SMIC augmente, tous les salaires doivent suivre y compris ceux des salariés les plus qualifiés, donc pourquoi les employeurs privilégieraient-ils plutôt ceux-là au nom de la rentabilité ? Je ne vois pas...

    "Ah oui...
    La caisse noire de l’ UIMM de 19 millions envolés en liquide...

    Sachant qu’il y a 2 millions de SMICards purs, cela fait un peu plus de 9 euros par personnes.

    Pas de quoi révolutionner le panier des courses...« 

    Des millions, on peut aussi en glaner ailleurs que dans les caisses de l’UIMM. 
    Les exonérations d’impôts et les aides de l’Etat dont bénéficient de grands groupes industriels et financiers quand ces derniers ne s’engagent en échange à aucun maintien ou créations d’emplois mais au contraire licencient, ne sont-ils pas des millions envolés dans les poches des actionnaires qui ne profitent ni à la collectivité, ni au développement d’un pays ?

    Et tous ces emplois sacrifiés sur l’autel de la rentabilité actionnariale n’auraient-ils pas permis de renflouer les caisses de l’Etat par le biais de l’impôt sur le revenu et des économies faîtes par l’assurance chômage ainsi par les cotisations ainsi versées aux caisses d’assurance maladie et de retraite ?

    Aussi, je ne suis absolument pas d’accord lorsque vous affirmez :

     »les tenants de la hausse massive du SMIC doivent bien se dire que pour amélirer leur ordinaire, ils devront pourrir celui d’autres qui en ont peut-être un peu plus besoin."

    Au contraire, comme j’ai essayé de le montrer plus haut les ressources pour augmenter le SMIC de manière substantielle - à 1.500 €. nets mensuels par exemple - existent.

    Encore faut-il vouloir répartir les richesses de manière équitable...

    Augmenter les salaires pour augmenter le pouvoir d’achat serait tout simplement une mesure de bon sens et de relance face à la situation de crise que nous connaissons.

    Elle serait aussi, évidemment, une mesure de justice sociale 



  • Marianne Marianne 27 juin 2009 20:53

    Je ne pense pas être naïve mais d’après votre réponse je comprends que j’ai peut-être fait une confusion entre agriculture raisonnée et agriculture paysanne, deux appellations qui recoupent apparemment des pratiques et des statuts différents.

    Si j’ai bien compris vos explications, l’agriculture raisonnée est le fait de moyennes et grosses exploitations qui affichent une volonté d’utiliser les produits phytosanitaires et les engrais chimiques à bon escient, tandis que l’agriculture paysanne concerne les petits producteurs.

    C’est donc bien de la seconde que je voulais parler.

    Cependant, sur certaines cultures - je pense aux pommiers notamment - les techniques bio semblent délicates et coûteuses alors que sur d’autres cultures, elles donnent de meilleurs résultats.

    C’est pourquoi, comme les promoteurs de l’agriculture paysanne que vous citez, je pense que plutôt que de choisir entre le bio et le non-bio, les consommateurs devraient avant tout privilégier les productions locales et de saison non consommatrices de carburant pour le transport et génératrices de revenus pour les paysans de nos campagnes.

    Cette proximité permettant en plus de s’affranchir de l’entremise des grandes surfaces qui prennent de très confortables marges au passage. En ce qui me concerne, il y a plus de trois ans que je n’achète plus ni fruits, ni légumes, ni viandes, ni fromages, ni miel, ni confitures en supermarché...



  • Marianne Marianne 27 juin 2009 13:14

    « Encore de la propagande pour faire payer une fortune des produits simplement naturels que tout agriculteur aura dans son jardin personnel. »

    Je ne comprends pas votre remarque. D’abord il ne s’agit pas de vendre des fruits et des légumes aux agriculteurs qui ont un jardin potager mais à des consommateurs qui n’en ont pas ou qui en ont un ne leur fournissant pas suffisamment de produits.

    Ensuite, il s’agit de court-circuiter la grande distribution qui nous vend des produits souvent importés, cultivés sous serre à coups d’engrais chimiques et de pesticides par une main d’oeuvre surexploitée (exemple du sud de l’Espagne) qui n’ont aucune saveur et qui génèrent de la pollution au CO2 car transportés sur des milliers de kilomètres, achetés aux producteurs à un prix dérisoire et revendus avec des marges faramineuses.
    Une samlade achetée 20 cts d’€ revendue 1,20 € par exemple. .

    Consommer local des produits de saison cultivés près de chez nous par des producteurs soucieux de l’environnement et de la tradition culinaire de notre pays, c’est bel et bien encourager et peut-être à terme relancer l’agriculture paysanne qui se meurt ici et ailleurs.
     
    Une réserve toutefois concernant le bio, donrt l’appellation est souvent utilisée pour multiplier par deux ou trois le coût des denrées.

    L’agriculture raisonnée qui répond aux 10 principes de l’agriculture paysanne ici :

    http://www.amisdelaterre.org/Les-10-principes-de-l-agriculture.html

    me paraît tout à fait appropriée pour une consommation réfléchie et respectueuse du consommateur et de l’environnement sans pour autant être réservée à des consommateurs aisés et « trouer » le porte-monnaie de la ménagère.



  • Marianne Marianne 26 juin 2009 15:58

    Ne cherchez plus, j’ai trouvé (souce wikipédia)

    La détermination de l’optimum de Pareto

    Si la définition d’un optimum de Pareto semble très simple, on peut avoir des difficultés à estimer les prix dits prix parétiens dans un modèle d’équilibre général.

    Considérons un cadre économique où vivent i=I consommateurs, k=K entreprises et où j=L biens sont disponibles ou produits. On cherche à définir les allocations Pareto-optimales, c’est-à-dire les consommations () et les productions () de chaque bien pour chaque agent. Il n’est pas question dans une telle vision de gaspiller des biens et donc pour les firmes de produire une quantité supérieure à la quantité qu’elle pourra écouler sur le marché grace aux demandes individuelles. On peut donc écrire une première contrainte liant les demandes et les offres :

    Chaque consommateur i dispose d’une utilité ui, fonction de toutes ses consommations qu’il cherche à maximiser. On note l’utilité maximum possible.

    Chaque entreprise k dispose d’un coût de production Ck fonction de toutes les productions qu’elle cherche à minimiser. On note le coût minimum possible.

    Trouver l’optimum de Pareto revient à maximiser l’utilité du premier consommateur, sous les contraintes d’obtenir une utilité maximum pour les autres consommateurs et un coût minimum pour les entreprises. Il faut également que la première contrainte de non-gaspillage soit respectée. Le système suivant peut donc être défini :

    Pour résoudre ce problème d’optimisation sous contrainte, il suffit de poser un lagrangien :

    Le lagrangien permet d’écrire L(KI) conditions , et  :

    En résolvant, et en mettant tout au même dénominateur μ1, on obtient les relations suivantes :

    Les μj sont les prix parétiens cherchés. On constate qu’ils correspondent aux mêmes prix walrassiens déterminés par un équilibre général en concurrence pure et parfaite. Les TMS de chaque consommateur et les TTP de chaque producteur s’égalisent aux rapport des prix, et ce quel que soit le bien j.

    Il s’agit de la démonstration mathématique du premier théorème du bien-être.

    Peut-être que l’auteur pourrait nous expliquer cela dans des termes plus simples ?



  • Marianne Marianne 26 juin 2009 12:37

    Vladisback,

    Il semble que l’engagement de vos parents en politique n’est pas déteint sur vous puisque vous dîtes « abhorrer ce qui veut adhérer à une communauté » et être fier de votre individualisme...

    Une question cependant :

    Qu’entendez-vous par « l’optimum de Pareto » ? "



  • Marianne Marianne 25 juin 2009 13:09

    Sarkozy distribue le sale boulot.

    Aucune surprise concernant ce remaniement qui confirme l’allégeance de ce gouvernement d’ultra-droite à quelques gros intérêts privés...

    Les mesures annoncées en sont la triste illustration :

    - pas de révalorisation du SMIC et maintien du bouclier fiscal pour les plus riches,

    - poursuite des suppressions de postes dans la fonction publique,

    - poursuite de la privatisation de l’Université,

    - mise en chantier du recul de l’âge de la retraite,

    - réforme des collectivités territoriales qui aboutira à moins de démocratie dans les territoires,

    - un emprunt d’Etat qui profitera aux plus aisés payé avec l’argent du contribuable,

    - une loi Hadopi liberticide,

    - la chasse aux sans papiers (bouc-émissaires commodes) qui continue

    - et le conseiller spécial du prince, Henri Guaino, qui nous explique que « la crise financière est une chance » quand des milliers d’emplois passent à la trappe alors que les actionnaires continuent de se verser de mirifiques dividendes...

    Les recettes sont toujours les mêmes :

    moins d’argent et moins de libertés pour les plus modestes, toujours plus d’aides et de cadeaux fiscaux pour les nantis, avec en prime un régime qui ressemble de plus en plus à une monarchie...

    Le peuple de France doit se réveiller à l’instar des guadeloupéens qui je l’espère vont réserver un accueil digne de ce nom au roitelet inique qui nous sert de président...

    Va-t-on continuer encore longtemps à supporter cette politique qui a fait la preuve de son pouvoir dévastateur sur l’économie et qui baffoue allègrement les droits et les intérêts du plus grand nombre ?

    Toute la question est là...



  • Marianne Marianne 25 juin 2009 11:28

    Aucune surprise concernant ce remaniement qui confirme l’allégeance de ce gouvernement d’ultra-droite à quelques gros intérêts privés...

    Les mesures annoncées en sont la triste illustration :

    - pas de révalorisation du SMIC et maintien du bouclier fiscal pour les plus riches,

    - poursuite des suppressions de postes dans la fonction publique,

    - poursuite de la privatisation de l’Université,

    - mise en chantier du recul de l’âge de la retraite,

    - réforme des collectivités territoriales qui aboutira à moins de démocratie dans les territoires,

    - un emprunt d’Etat qui profitera aux plus aisés payé avec l’argent du contribuable,

    - une loi Hadopi liberticide,

    - la chasse aux sans papiers (bouc-émissaires commodes) qui continue

    - et le conseiller spécial du prince, Henri Guaino, qui nous explique que « la crise financière est une chance » quand des milliers d’emplois passent à la trappe alors que les actionnaires continuent de se verser de mirifiques dividendes...

    Les recettes sont toujours les mêmes :

    moins d’argent et moins de libertés pour les plus modestes, toujours plus d’aides et de cadeaux fiscaux pour les nantis, avec en prime un régime qui ressemble de plus en plus à une monarchie...

    Le peuple de France doit se réveiller à l’instar des guadeloupéens qui je l’espère vont réserver un accueil digne de ce nom au roitelet inique qui nous sert de président...

    Va-t-on continuer encore longtemps à supporter cette politique qui a fait la preuve de son pouvoir dévastateur sur l’économie et qui baffoue allègrement les droits et les intérêts du plus grand nombre ?

    Toute la question est là...



  • Marianne Marianne 25 juin 2009 08:26

    Aucune surprise concernant ce remaniement qui confirme l’allégeance de ce gouvernement d’ultra-droite à quelques gros intérêts privés...

    Les mesures annoncées en sont la triste illustration :

    - pas de révalorisation du SMIC et maintien du bouclier fiscal pour les plus riches,

    - poursuite des suppressions de postes dans la fonction publique,

     poursuite de la privatisation de l’Université,

     mise en chantier du recul de l’âge de la retraite,

     réforme des collectivités territoriales qui aboutira à moins de démocratie dans les territoires,

     un emprunt d’Etat qui profitera aux plus aisés payé avec l’argent du contribuable,

     une loi Hadopi liberticide,

     la chasse aux sans papiers (bouc-émissaires commodes) qui continue

     et le conseiller spécial du prince Henri Guaino qui nous explique que « la crise financière est une chance » quand des milliers d’emplois passent à la trappe alors que les actionnaires continuent de se verser de mirifiques dividendes...

    Les recettes sont toujours les mêmes :

    moins d’argent et moins de libertés pour les plus modestes, toujours plus d’aides et de cadeaux fiscaux pour les nantis, avec en prime un régime qui ressemble de plus en plus à une monarchie...

    Le peuple de France doit se réveiller à l’instar des guadeloupéens qui je l’espère vont réserver un accueil digne de ce nom au roitelet inique qui nous sert de président...

    Va-t-on continuer encore longtemps à supporter cette politique qui a fait la preuve de son pouvoir dévastateur sur l’économie et qui baffoue allègrement les droits et les intérêts du plus grand nombre ?

    Toute la question est là...