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Nicolas Cadène

Nicolas Cadène

Nîmois, je travaille entre le Gard et Paris. Passionné par l'Europe et la politique (militant, n°2 de la fédération PS du Gard), mon parcours est à la fois politique, associatif, administratif et juridique. Bien que travaillant dans le milieu politique, je m'exprime ici en mon seul nom, en tant que citoyen.

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  • Premier article le 16/01/2006
  • Modérateur depuis le 30/01/2006
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Derniers commentaires



  • Nicolas Cadène Nicolas Cadène 5 juin 2009 19:30

    @ Parkway :

    Sur l’AGCS dans sa globalité, je suis d’accord avec vous, c’est un accord libéral et qui ne peut être soutenu de façon global par les socialistes.

    Mais attention, si à l’époque lorsqu’il était aux responsabilités (avec les Verts et le PCF !), le PS a admi de participer aux négociations, c’est parce que rien n’engage l’État tant qu’il n’a pas lui même indiqué les domaines qu’il acceptait voir soumis à la concurrence.
    Or, rien n’empêche l’État de ne pas inscrire les services publics ou même d’autres services sensibles sur sa listes d’engagement. Auquel cas ils ne sont pas couverts par l’Accord.

    Pour être clair, si pratiquement tous les types de services sont négociables, un pays peut parfaitement considérer que certains secteurs doivent rester un domaine national protégé et peut ainsi ne pas les inclure dans sa liste d’engagements.

    Au niveau de l’Union, c’est effectivement la Commission qui négocie au nom des 27 États membres. Or celle-ci est à droite depuis des années. Raison de plus pour voter PSE et la renverser !
    Mais notons aussi que les États décident de toute façons ce qu’ils acceptent voir mis en concurrence dans la négociation portée par la Commission.

    Enfin, je rappelerai qu’aujourd’hui l’AGCS n’est pas effectif dans les faits. Initialement prévues pour se terminer le 1er janvier 2005, les négociations ont été prolongées à plusieurs reprises faute d’accord entre les parties pour finalement se terminer sur un constat d’échec après une dernière réunion à Genève le 24 juillet 2006.

    C’est toujours la volonté politique qui décide de la libéralisation ou non. Quand on est dirigé par la droite, évidemment, c’est la libéralisation à outrance. Quand on est gouverné par la gauche (et en France, les partis de gouvernement de gauche ne sont que le PS, les Verts et le PCF/Front de gauche), ce n’est pas le cas.

    Amicalement.



  • Nicolas Cadène Nicolas Cadène 5 juin 2009 19:15

    Il ne s’agit pas d’un tract mais d’une tribune présentant, me semble-t-il, des arguments. Oui, je suis militant et je ne le cache pas. D’ailleurs, l’article est classé dans « tribune libre privilégiant une opinion ».
    Mais qui peut honnêtement se prétendre parfaitement objectif, sans opinion partisane ? Chacun a son avis et c’est très bien. Ce qui est intéressant et utile, c’est le débat sur le fond. J’ai essayé de ne traiter que de fond, avec des propositions, à travers cet article.
    Ce n’est effectivement pas intéressant quand il s’agit d’un article ne reprenant que des slogans ou des évidences jamais étayés.
    Amicalement.



  • Nicolas Cadène Nicolas Cadène 5 juin 2009 19:09

    Le Front de gauche ramène tout à la question institutionnelle et au traité de Lisbonne, alors même que le 7, il ne s’agit pas de voter pour ce texte. Qu’on le veuille ou non, ce texte a été adopté par tous les États membres et le sera sans doute par l’Irlande. Je suis d’accord pour dire que son adoption s’est fait en France de façon scandaleuse, mais il ne serait pas honnête de ramener le vote de dimanche sur ce texte !

    Là, il s’agit de voter pour un programme de mandature (5 ans) pour le Parlement européen, de voter pour une orientation politique.

    Seul le PSE a un programme commun de gauche commun aux 27 États membres. C’est un bon programme (discutons-en !) qu’il n’y a pas lieu de sanctionner.



  • Nicolas Cadène Nicolas Cadène 5 juin 2009 19:05

    Il y a dans ce commentaire de sérieux raccourcis et même, des mensonges. Le PSE a déposé et voté des amendements pour exclure les services sociaux de la concurrence. Il en est même l’instigateur. C’est grâce à l’eurodéputée SPD allemande d’origine française Evelyne Gebhardt que la directive Bolkestein a été totalement transformée (même si c’était encore insuffisant, grâce à elle, le « tout marché » a été évité) par rapport à son origine ultra-libérale. Ce n’est pas grâce aux autres groupes de gauche.



  • Nicolas Cadène Nicolas Cadène 5 juin 2009 12:10

    Je ne comprends pas. Le PSE souhaite une Europe politique, citoyenne, plus intégrée. Une Europe puissance, pas une multinationale. Mais vous, souhaitez-vous le repli nationaliste ?

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