Quand Pasteur perdait ses virus
L’épisode sanitaire à rebondissement que nous connaissons nous incite à un flashback, notamment lorsqu’en 2012, l’institut Pasteur constatait la disparition de 2349 tubes de virus SRAS.
En effet, c’est sous la plume d’Elise Godeau, journaliste au « Monde » qu’on découvrait en avril 2014, soit 2 ans après cette perte, que 2349 tubes contenant des fragments du SRAS, avaient disparu...
A l’époque, Christian Bréchot, directeur général de l’Institut, se perdait en conjectures, expliquant que sur les 2500 personnes qui travaillent sur le site, seuls 150 y avaient accès au site où se trouvaient les tubes, et l’enquête menée pendant 2 mois n’a rien révélé.
La journaliste n’avait pas écarté l’hypothèse d’un acte malveillant, ce que le directeur du site s’était refusé à accepter, supposant finalement « une erreur survenue lors d’un transfert entre 2 congélateurs », provoquant la destruction des virus...
Apparemment l’enquête qu’a menée à son tour par l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) n’a rien donné...lien
Un tel dysfonctionnement pourrait expliquer le peu d’efficacité de l’institut concernant la mise au point d’un vaccin...
On se souvient qu’en janvier dernier, ce même institut avait abandonné la possibilité de créer un vaccin destiné à lutter contre le coronavirus, (lien) et pourtant quelques jours après, le même institut évoquait la possible fabrication d’un candidat vaccin contre le Covid, utilisant un vecteur lentiviral, administrable par voie nasale. lien
Qu’est-ce à dire ?
Restons dans les laboratoires, et allons dans le tristement célèbre de celui de Wuhan.
On apprenait, le 14 mai dernier, grâce à un article du « Monde » que le coronavirus se serait échappé malencontreusement du laboratoire, avec les conséquences que l’on sait, le quotidien s’appuyant sur un article parue dans la revue Science, (lien) précisant que cette hypothèse n’est ni majoritaire, ni la plus probable... mais surtout qu’elle n’est pas une « théorie complotiste ». lien
D’ailleurs, 18 scientifiques de renom avance l’hypothèse d’une fuite accidentelle, et appellent à une enquête approfondie. lien
En tout cas, le Dr Anthony Fauci semble avoir joué un rôle important dans ce qui s’est passé au sein du laboratoire chinois.
Cet immunologue américain est depuis 1984 le directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, et il a été nommé par Trump à la cellule de crise, jouant un rôle de premier plan en matière de communication, mais aussi en termes de stratégie et conseil pour combattre le virus. lien
On savait que ce labo avait été conçu par la France, représentée par Bernard Cazeneuve lequel l’avait inauguré en février 2017. Lien
Mais on savait moins que, 2 ans plus tard, l’institut du Dr Fauci avait financé, par le biais de son institut, les recherches de ce laboratoire à hauteur de 7,4 millions de dollars, ainsi que l’a publié le journal Newsweek. lien
Alors que les USA, le Dr. Fauci en tête, ont longtemps affirmé que le virus était « d’origine naturelle », incriminant Chauve-souris et Pangolins, ils admettent aujourd’hui qu’il a été créé dans le laboratoire de Wuhan, (lien) rejoignant ainsi le Prix Nobel, le Pr. Luc Montagnier, lequel a toujours affirmé que le coronavirus n’était pas d’origine naturelle. lien
Mais le Professeur va plus loin, affirmant aujourd’hui que les variants qui apparaissent actuellement, sont dus à la vaccination, ce que conteste le Pr. Vincent Maréchal, spécialiste en virologie. lien
Quoi qu’il en soit, s’il faut en croire TV5Monde, dès le mois de mars dernier, selon les services de santé britannique, plus de 4000 variants du Sars-Cov-2 ont été identifiés à travers le monde, et leurs apparitions sont tout, sauf une surprise : c’est un processus naturel puisque le virus acquiert des mutations au fil du temps, pour assurer sa survie.
Or l’on sait déjà que le variant anglais est 64% plus mortel... et que le variant sud-africain est 50% plus transmissible, et s’il ne serait pas plus mortel que le Sars-Cov-2, il serait 50% plus transmissible, selon des experts sud-africains.
Quant au variant brésilien, il serait « 1,1 à 1,8 fois plus susceptible d’entraîner la mort ».
Le ECDC (centre européen de prévention de de contrôle des maladies), nous met en garde : « des variants contre lesquels les vaccins actuels pourraient être moins efficaces », ajoutant que « ces variants vont probablement continuer à émerger ». lien
Mais il y a plus grave.
Le Salk Institute a dénoncé récemment la présence de protéines de pointe... ainsi que des ingrédients contenus dans le vaccin Moderna, notamment un lipide connu sous le nom de « SM-102 », (lien) dont la toxicité est contestée.
En effet, dans Fact & Furious, sous la plume d’Antoine Daoust, un ancien militaire créateur de blogs, (lien) si on peut lire que « le SM-102 contenu dans le vaccin Moderna n’est pas toxique », (lien) le site « francemedianumerique » assure que les vaccins contiennent des substances dangereuses, voire mortelles, s’appuyant sur une communication interne du gouvernement du Connecticut, (lien) se basant sur un article publié dans la revue Circulation Research, laquelle conclut que « la protéine spike peut endommager les cellules endothéliales vasculaires en régulant à la baisse l’ACE2 et en inhibant par conséquent la fonction mitochondriale »
En tout état de cause, ce PDF confirme la présence du SM-102 dans le Moderna.
En effet, on peut lire sur le site « mes vaccins net » : « l’innocuité et l’efficacité du vaccin « Covid-19 Vaccine Moderna chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans n’ont pas encore été établies. Aucune donnée n’est disponible ». lien
Pourtant aux Etats-Unis, près de 10 000 enfants de 6 mois à 11 ans sont soumis à des tests avec le vaccin Moderna, et l’Institut Pasteur a calculé que « pour pouvoir se réunir et tomber le masque sans risque, il faut que 70% de toute la population française soit immunisée, y compris les enfants... Sinon il faut entre 90% et 100% des adultes. Une proportion difficilement envisageable sans rendre le vaccin obligatoire... ». lien
Qui croire ?
En tout cas, le Pr Montagnier ne désarme pas, et, dénonçant une grave faute médicale, demande aux généralistes « de se comporter en médecins, pas en moutons ». lien
Le nombre de morts en Europe suite aux vaccinations a dépassé les 12 000 morts, ainsi que l’écrivait Frédéric Gobert, dans un article paru sur Agoravox, et le gouvernement français reste bien silencieux sur la question, tout à sa stratégie de promotion de la vaccination, admettant du bout des lèvres quelques morts qui pourraient être dus à la vaccination...
Il avait déjà largement communiqué sur la question de l’AstraZeneca, essayant de convaincre les français qu’il ne fallait pas s’inquiéter. lien
Tout en reconnaissant qu’il y a bien eu, fin avril, 477 patients morts après vaccination, l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité des Médicaments), assure que le lien avec le vaccin est difficile à établir... lien
L’occasion d’écouter le témoignage d’un pompier lyonnais, que l’on ne peut qualifier de « complotiste », qui a constaté une AVC, suivie d’un décès, liée à la prise d’un vaccin, et qui, interrogeant le personnel soignant, a eu la confirmation que ce genre de situation se multipliait, ce personnel déplorant que les alarmes qu’ils multiplient auprès des autorités, restent lettre morte. lien
Comme dit mon vieil ami africain : « le singe ne voit pas la bosse qu’il a sur le front ».
Le dessin illustrant l’article est de Luc Tesson
Merci aux internautes pour leur aide précieuse.
Olivier Cabanel
Articles anciens
Un bon docteur n’a pas de clients
Ce Gui qui met l’amour en cage
Ces plantes qui font trembler Big-Pharma
69 réactions à cet article
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON