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Legestr glaz

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J'en pince pour vous

Tableau de bord

  • Premier article le 30/06/2016
  • Modérateur depuis le 09/03/2017
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Derniers commentaires



  • Legestr glaz Ar zen 3 janvier 2016 19:44

    @JMBerniolles

    Je suis, cette fois ci, en parfaite concordance avec vous. J’irai même plus loin. Je pense que les jours d’Asselineau sont comptés. Il est le danger suprême. Je ne le souhaite évidemment pas et j’espère ardemment me tromper. Mais les forces auxquelles s’attaque le programme de l’UPR sont immenses. Seule une levée en masse du peuple vers ce programme pourrait le sauver. C’est simplement une réalité de penser que la puissance hégémonique a, depuis plus de cent ans, fomenté des troubles et déstabilisé un nombre conséquent de pays dans le but unique de protéger et de faire prospérer leurs propres interêts, j’entends de leurs multinationales. Combien de morts à la clé ? Combien de drames ? Combien de désespérance ? Combien de laissés pour compte ? Il serait très intéressant de s’y pencher.



  • Legestr glaz Ar zen 3 janvier 2016 19:32

    @joletaxi

    Je vois que vous pataugez pour donner une explication qui ne tient pas. Vous vous trompez. Mais il ne tient qu’à vous de vous renseigner. Vous ne le faîtes pas. Mais, effectivement « joe le taxi » il ne va pas partout ! C’est pour cette raison qu’il raisonne de travers. Il est un fait incontestable que la banque prête de l’argent qu’elle ne détient pas. Vous êtes finalement peu nombreux à nier l’évidence. Mais peu importe, c’est votre idée que la banque ne prête que l’argent qu’elle détient de ses déposants. C’est pas très moderne et c’est effectivement pas très rok ’n roll.

    Alors ces instances de contrôle des banques ? Avez vous des noms ou des pistes à me faire suivre ? Je les suivrais volontiers. Parce que, la comptabilité de la banque, agréée par instance dépendant de la banque elle même, ne peut que faire sourire. Donc, je me repête, connaissez vous des instances, extérieures aux banques, qui les contrôlent ? Votre raisonnement s’appliquent à toutes les sociétés, sans doute, mais pas aux banques. Celles-ci ont, en effet, la faculté de produire de l’argent venu du néant. Les autres sociétés, non. Comme Joe le taxi ne va pas partout, j’y ai été à sa place. Voici ce que j’ai ramené pour lui. A partir de la 15ème minute il apprendra certaines choses.

    https://m.youtube.com/watch?v=tyHgmC5grHM



  • Legestr glaz Ar zen 3 janvier 2016 14:24

    @JMBerniolles

    Je partage votre analyse. Je parle souvent de l’effet « Dunning-Kruger » exactement pour les raisons que vous évoquez. La seule chose que je réprouve dans vos écrits c’est l’emploi du terme « gourou » pour Asselineau. Il ne peut pas être un « gourou ». Pourquoi ? Pour la simple et bonne raison que ses conférences de 3, 4 ou 5 heures, sont absolument sourcées. Un gourou vous embobine, manipule les esprits faibles ou déroutés. Vous ne pouvez pas trouver ce genre de comportement chez Asselineau. Lorsqu’il parle de la portée des traités européens, par exemple, si vous vous connaissez suffisamment en droit, vous comprenez que ce qu’il développe est « la vérité ». Un texte de droit est un texte de droit. Il peut être contesté dans le cadre d’une jurisprudence et parce que le législateur n’a pas été assez précis et a laissé place à certaines interprétations. Jamais Asselineau n’emploie des méthodes incantatoires. Par conséquent, soit vous vous trompez dans l’usage du substantif « gourou » soit vous n’avez pas suivi les conférences et vous en restez à la superficie des choses. Vous êtes scientifique ? Alors prenez la mesure de ce qu’il analyse, je dis bien analyse et non suggère.



  • Legestr glaz Ar zen 3 janvier 2016 14:00

    @joletaxi

    C’est une évidence que sur mon compte ne figure pas mon argent. D’ailleurs, sur mon compte, ce n’est qu’une monnaie scripturale. L’affaire tient parce que les gens ne retirent pas tous en même temps leur argent. Uniquement pour cette raison ! Vous voyez bien que les lois successives empêchent d’utiliser l’argent fiduciaire. Il est impossible de payer « en liquide » au delà d’une certaine somme. Pour ce qui est des bilans comptables maintenant. Vous me parlez de « romantisme ». Je crois que je me suis mal expliqué ou que... Bien, peu importe. Les banques n’effacent rien du tout de leur bilan ! Un exemple concret. La banque vous prête 100.000 euros sur 10 ans au taux de 2%. Elle n’a pas cet argent. Sur son bilan elle note en débit 100.000 euros mais en face, au crédit, 100.000 euros, c’est à dire la somme à venir, que vous allez rembourser en 10 ans. Le bilan est alors équibré. Lorsque après 10 ans, vous aurez remboursé vos 100.000 euros augmenté des 20.000 d’intérêts, et bien l’affaire sera close. La banque aura prêté 100.000 euros qu’elle n’avait pas, l’emprunteur aura restitué ces 100.000 euros à la banque moyennant une petite commission. Faut bien que tout le monde vive. Vous, vous ramenez l’analyse à une comptabilité qui est surveillée. Les banques ne sont pas surveillées. Si c’était le cas, j’aimerais bien que vous me disiez par qui, par quelle instance, par quelle autorité ? C’est là que se situe toute la supercherie. Lorque j’écris que l’actif-passif est effacé, c’est bien parce que la banque a recouvré, au bout de 10 années, l’argent qu’elle avait prêté et qu’elle n’avait pas. Qu’est-ce qui, dans ce raisonnement, vous dérange ? C’est tellement simple, et même simpliste, que nous en sommes aveuglés. Nous n’arrivons pas à la croire. Le système bancaire fonctionne pourtant bel et bien de cette façon. Dans un précédent post je parlais justement, de la création monnétaire de la BCE. Il s’agit de la monnaie fiduciaire. Celle-ci est, effectivement, de la seule compétence de la BCE, pour l’UE s’entend. C’est bien parce qu’il y a un grand écart entre l’argent crée et l’argent nécessaire que cela pose question. Alors que l’inflation est réduite à environ 2% et que la croissance est de l’ordre de 2%, les observateurs constatent que la BCE met chaque année sur le marché 8% d’argent frais. Cherchez l’erreur. Cela veut simplement dire que la moitié de l’argent fiduciaire mis sur le marché n’est appuyé sur aucun bien de consommation. C’est simplement incroyable. Le système va exploser, c’est certain. Nous vivons avec dans les mains de la monnaie de singe.



  • Legestr glaz Ar zen 3 janvier 2016 11:07

    @joletaxi

    A mon tour de vous remercier pour la qualité de votre réponse. Vous l’aurez compris, je ne suis pas un spécialiste de l’économie. En revanche, je me triture les méninges à chercher à comprendre le processus. De ce que j’ai compris de la question : « pourquoi les banques font faillite ». Les banques prêtent de l’argent à partir de rien et encaissent des intérêts sur de l’argent qu’elles ont prêté et qu’elle n’ont pas. Une fois le prêt arrivé à terme et liquidé, la banque, ayant encaissé les intérêts, l’argent crée pour ce prêt est effacé du bilan « actif-passif ». Le risque, vous le voyez venir, pour la banque, c’est que l’emprunteur fasse défaut. Qu’il ne verse plus les intérêts ni le principal. Le passif de la banque, concernant cet emprunteur, ne sera jamais plus couvert. La ligne du passif reste béante. C’est pour cette raison que les banques ne prêtent pas à tort et à travers. Elles prennent des garanties sur l’emprunteur. Le but de la manoeuvre c’est bien d’encaisser des intérêts sur de l’argent qu’elles nont pas. C’est effectivement très juteux. Mais lorsqu’elles ne sont pas assez prudentes, lorsqu’elles prêtent à de très nombreuses personnes n’ayant objectivement pas les capacités pour rembourser, alors les risques de faillite se profilent à l’horizon. Ce n’est, ni plus ni moins, qu’un système similaire à celui mis en place par Bernard Madoff. Lui, il était seul. En revanche, les banques se regroupent et décident de « règles prudentielles » c’est à dire « jusqu’où ne pas aller trop loin », des règles qu’elles s’auto-administrent. Rester à la limite de leur cupidité c’est la seule question qu’elles se posent.

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