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Céline Ertalif

Céline Ertalif

Je suis directrice des services municipaux d'une commune de 9000 habitants. Dans le milieu des collectivités locales depuis 25 ans, j'ai cependant aussi exercé en tant que profession libérale. Mes centres d'intérêt se portent notamment sur la politique et sur la communication. J'aime les engagements concrets.

Tableau de bord

  • Premier article le 06/09/2006
  • Modérateur depuis le 01/12/2006
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Céline Ertalif Céline Ertalif 9 mars 2016 23:03

    @Haltocon . Je suis d’accord avec cette observation, et ce n’est pas négligeable... Car cette carte Nickel, un vrai succès, j’en ai une dans ma poche, ça échappe aux banques et c’est un hâvre de sécurité pour les raisons qu’évoquent avec pertinence Daniel Roux. A tel point que les responsables de ce service de paiement ne s’en flattent pas trop...



  • Céline Ertalif Céline Ertalif 8 mars 2016 23:38

    « Ceux qui souhaitent s’orienter sur l’autoconstruction doivent vraiment le faire par choix et par conviction plutôt que sur le critère budgétaire qui est un miroir aux alouettes ».

    Je trouve ce commentaire tout à fait en ligne avec l’article : bizarre, en fait. Parce que le choix de l’autoconstruction tend à devenir un choix de vie certes, mais fortement encouragé par l’impossibilité d’accès au revenu... Et, dans ce cadre, l’autoconstruction est souvent accompagnée d’entraide, avec les chantiers participatifs, et de permaculture. Dit autrement, l’autoconstruction fait partie d’un choix de vie plus globale que l’autoconstruction elle-même, où les considérations budgétaires et écologiques sont intimement resserrées. Certains de ces pratiquants inverseraient totalement la présentation du problème : le critère budgétaire n’a rien d’un miroir aux alouettes et correspond d’abord à la nécessité de sortir du circuit économique monétarisé, alors s’il y a choix il consiste à associer un ensemble cohérent pour retrouver une qualité de vie différente dans une cohérence globale en rupture avec toutes les règles dominantes de production et de consommation.


  • Céline Ertalif Céline Ertalif 12 février 2016 23:20

    Cet article comporte une belle série de clichés. Passons. Les militants verts sont les plus mortifiés qui soient par ce remaniement du gouvernement. Il y a deux raisons majeures :

    1 - depuis le début de ce mandat, on constate que le Président n’est ni écolo ni anti-écolo, il semble avoir une structure de pensée totalement indifférente à la raison écologique. Pour la croissance, pour tenir le rang de la France dans le grand événement de la cop 21, pour calmer l’agriculture productiviste en déroute, etc.
    2 - la dernière raison de soutenir les socialistes du point de vue des Verts, c’était la constance de la gauche en faveur de la sauvegarde des libertés publiques. Cette raison est tombée avec la loi sur le renseignement, puis avec l’état d’urgence et le projet de loi constitutionnelle. Il est particulièrement incompréhensible d’entrer dans le Gouvernement quand Christiane Taubira en sort. 

    Voilà ce que pense la plupart des verts.

    Quand la société change, par une crise écologique et une profonde mise en cause de l’économie fondée sur le salariat et le modèle industriel, avec la privatisation des profits et l’externalisation des pertes, que les gouvernants en sont à réagir par des soubresauts autoritaires, on s’en fiche un peu de savoir qui seront les candidats aux Présidentielles. On en est à se demander comment on met en place un peu de démocratie, des communs à partager, et comment on peut construire sans forcément passer par le modèle de l’action politique tel que les instances publiques officielles nous le présente.


  • Céline Ertalif Céline Ertalif 6 février 2016 16:06

    Article surprenant, aristocratique en diable et anti-démocrate, qui veut que la « langue commune » soit académique.


    Il faut tout de même de l’aplomb pour affirmer que « ignorer l’orthographe, c’est insulter ses origines linguistiques » et que «  fruit d’une longue maturation culturelle, l’orthographe est ce qui ne se réforme pas ». Nos origines, ce sont des patois vernaculaires, parfois des langues différentes, et bien d’autres us et coutumes balayés par l’histoire, ce sont des communs en tous genres souvent complètement anéantis par la loi qui a servi à unir l’état moderne et le marché. L’identité du français tel qu’il est défendu dans cet article c’est l’absolutisme et le bonapartisme réunis ! Comme je suis démocrate, je n’aime pas ça du tout.

    Mais, par ailleurs, il y a de quoi être optimiste pour le français, en pleine progression mondiale et de moins en moins métropolitain. Les chinois viennent de créer à Pékin une chaîne en français pour l’Afrique. Monsieur Gigue ne suffira pas à me désespérer. Évidemment, ce français-là promet plus coloré qu’académique, là dis-don(c) ! J’ai beaucoup aimé le commentaire de l’historien Patrick Boucheron sur France-Inter la semaine à propos d’Alain Finkielkraut : « nous avons mieux à faire que de nous porter au chevet des mélancoliques ». J’ai l’impression d’être ici dans la même ambiance qu’avec le nouvel académicien, avec une petite incertitude quant au simple respect d’une opinion divergente.


  • Céline Ertalif Céline Ertalif 13 janvier 2016 23:45

    @riemann66 J’ai écrit un article il y a quelques mois qui rapporte un prix de revient très bas, mais cela exige par ailleurs beaucoup de temps et de savoir-faire ( http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/construire-ecolo-a-moins-de-100-167657). Il peut y avoir d’autres ressources que l’argent, mais effectivement il ne faut leurrer sur la nécessité de ressources.


    Après cela, il y a aussi un problème social de la construction avec les normes, les règles d’urba, les exploitants de réseaux etc. Il faut revenir sur l’articulation entre le privé et le public, et réintroduire le commun. Il y a bien les offices fonciers solidaires, mais on avance bien timidement - voir http://www.communitylandtrust.fr/&nbsp ;
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