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Hervé Hum

Hervé Hum

Chacun doit être son dernier maître et son premier disciple. Telle est ma devise. Ma conviction est que nous sommes devant la porte d entrée d une nouvelle dimension de conscience d être. Soit nous y entrons, soit nous périssons. Cette porte s'est ouverte fin 2012....

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  • Premier article le 17/07/2012
  • Modérateur depuis le 01/08/2012
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Derniers commentaires



  • Hervé Hum Hervé Hum 29 septembre 2014 15:11

    Entièrement d’accord avec vous Katherine.

    Pour moi, être responsable c’est répondre de ses droits et devoirs envers autrui, non envers soi même.

    Vis à vis de moi même, je suis totalement irresponsable !!!



  • Hervé Hum Hervé Hum 29 septembre 2014 13:37

    si tu trouve comment on fait, tu nous le dit ?

    Le dire, c’est facile, lis mes articles et tu verra, mais il ne suffit pas de le dire, il faut le devenir pour l’être.

    Le jour où je cesse d’être moi même un enfant, je te le montre !!!



  • Hervé Hum Hervé Hum 29 septembre 2014 10:43

    @Katherine,

    j’ai longtemps passé mon temps à faire la critique de la société humaine de manière négative, jusqu’à me rendre compte que cela ne servait à rien, sinon à me démoraliser. J’ai donc entrepris de me concentrer à comprendre sans juger, pour essayer de trouver les solutions comme beaucoup d’autres.

    Alors il m’arrive de me laisser aller au défaitisme, mais finalement cela me sert bien moins qu’être positif !

    Les gens sont infantilisé ? Et bien, cherchez comment les rendre adultes !



  • Hervé Hum Hervé Hum 29 septembre 2014 10:39

    Je ne sais pas si Qaspard reviendra voir cet article, mais je voulais répondre à son interrogation laissé sur un commentaire

    Pourquoi les populations ne peuvent-elles pas se satisfaire des véritables raisons connues des dirigeants (par exemple, massacrer une population, déclencher une guerre civile et assassiner les chefs politiques pour s’emparer des matières premières d’un territoire) ?

    et

    Serait-ce parce que si les gens étaient capables d’accepter cela froidement... alors ils seraient capables aussi d’êtres des loups féroces au sein de leur propre nation, ce qui la rendrait impossible ?

    Sans doute !

    Parce que fondamentalement, pour la majorité des gens aspirant à la sécurité et donc à la paix, celle ci repose sur le principe de la justice, de l’équité et non de la spoliation et de la violence.

    Parce que fondamentalement, la majorité des gens ne sont pas disposés à aller se faire trouer la peau ou envoyer leurs enfants mourir pour enrichir un rond de cuir, mais seulement pour des valeurs supérieures comme le patriotisme , la justice ou la foi religieuse. Anatole France ne disait il pas « on croit mourir pour la patrie, on meurt pour les industriels ».

    Enfin et surtout, parce que fondamentalement, la soumission repose sur la peur et celle ci est une position défensive et non offensive. De fait, la position défensive est de chercher le compromis avec le fort en échange de sa soumission qui fait naître le droit du faible.

    Le droit positif fait appel exclusivement aux valeurs morales et éthiques humaines, à sa conscience pour s’imposer à la force, c’est à dire à ceux qui détiennent la force.

    C’est sur l’inversion du rapport de force entre droit et devoir que la bourgeoisie à pu s’imposer à la monarchie. C’est à dire, en plaçant le droit au dessus du devoir qu’incarnaient la noblesse.

    C’est sur cette base que le système de gouvernement des états occidentaux repose, sur la supériorité du droit face à la force brute. Que les grandes nations ont crée l’ONU pour établir les statut quo entre eux. Admettre user de sa seule force brute pour piller les ressources d’autres pays plus faible, c’est admettre l’inanité de son propre mode de fonctionnement et considérer qu’il n’existe en réalité qu’une seule forme de gouvernement, celle de la force brute. Mais alors la question qui vient de suite « que reste il de la révolution de 1789 ? » Que reste il de la charte des droits de l’homme ? De l’ONU ? De la paix ?

    Cela indiquerait donc clairement qu’il n’y a pas eut de révolution et qu’elle reste à faire ! Que toutes les instances internationales sont vides et que nous sommes dans la même situation qu’avant la 1ère et 2ème guerre mondiale et donc, vivons sous le régime exclusif de la terreur des uns face aux autres, sans moyens d’en sortir sinon qu’en renversant nos propres systèmes de gouvernements.

    Le principe de la démocratie repose sur l’adage « force est à loi » (sous entendu au droit) et non ’droit est à la force« , qui est l’adage des régimes monarchiques et dictatoriaux.

    Donc, les dirigeants se doivent de maintenir l’illusion de la supériorité du droit sur la force (devoir), le problème étant que le sens de la responsabilité tient de l’équilibre entre droit et devoir et non de la supériorité de l’un sur l’autre.

    Je développe cela dans mes article, notamment dans le dernier que j’avais mis en lien (qui fais suite à l’article »droits, devoirs et responsabilité) et pour lequel j’aurai aimé l’avis des uns et des autres.



  • Hervé Hum Hervé Hum 28 septembre 2014 11:10

    @Qaspard,

    je ne sais plus qui disait qu’on ne tue jamais aussi facilement et sereinement que sous la bannière de la religion.

    Voyez vous, la loi est la philosophie du plus fort, mas le droit est la somme des concessions faites par le plus fort au plus faible en échange de sa soumission.

    Comprendre, qu’un état pour être gouvernable, se doit d’établir des règles admises par la majorité dominé et ces règles reposes sur le principe d’équités que l’on appelle justice. De fait, il s’agit de morale quand elle tire sa source de la religion et d’éthique (de réciprocité) quand elle tire sa source de la philosophie. Il faut donc justifier d’une valeur morale ou/et éthique pour faire accepter le sens du sacrifice à une majorité aspirant à la sécurité et dont cette dernière à besoin de règles sur lesquelles les personnes peuvent s’appuyer, car sinon ne reste que l’arbitraire où il n’y a aucune sécurité. Bref, c’est une forme de boucle dont il est très dangereux de sortir car alors, toute la structure peut s’effondrer. Le colonialisme justifiait la colonisation et l’exploitation des peuples africains sur le racialisme, mais aujourd’hui, le racialisme est officiellement interdit et même combattu !Ne reste donc que les grands principes démocratiques où le cynisme est toujours aussi présent.

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