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Hervé Hum

Hervé Hum

Chacun doit être son dernier maître et son premier disciple. Telle est ma devise. Ma conviction est que nous sommes devant la porte d entrée d une nouvelle dimension de conscience d être. Soit nous y entrons, soit nous périssons. Cette porte s'est ouverte fin 2012....

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  • Premier article le 17/07/2012
  • Modérateur depuis le 01/08/2012
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Derniers commentaires



  • Hervé Hum Hervé Hum 25 septembre 2014 13:34

    Merci Hasard, pour ce grand moment de télé vérité !



  • Hervé Hum Hervé Hum 24 septembre 2014 19:51

    Qaspard Delanuit

    je vous invite à lire le dernier article que j’ai publié sur Agoravaox qui s’appelle

    droits, devoirs, responsabilité et nouveau paradigme,

    c’est une approche de l’histoire par le biais du principe de responsabilité. Il devrait être suivi d’un ou deux autres articles pour le compléter.

    J’aimerai avoir votre avis, que vous pouvez formuler sur l’article lui même pour ne pas polluer plus celui de maQiavel



  • Hervé Hum Hervé Hum 24 septembre 2014 14:27

    @ Norbert,

    Hélas, nul n’échappe aux aberrations du cerveau.

    C« ’est vrai, Einstein avait supprimé l’idée de l’éther, mais vers la fin de sa vie il paraît qu’il s’en était repentit.

    Sinon, effectivement, à quoi bon s’interroger sur une substance dont on ne peut pas rendre compte.

    En fait, l’unique intérêt de parler d’éther plutôt que de vide réside dans le fait de dire que le vide n’est pas rien , mais est tout l’espace de l’Univers et au delà (ici, nous sommes confronté à une aberration classique du cerveau, celle de se dire qu’il y a toujours plus grand que grand et toujours plus petit que petit !)

    C’est à dire, que le vide exprime une valeur fondamentale absolu depuis laquelle tout s’anime, mais qu’il est impossible à réduire ou diviser de quelque manière que ce soit (en opposition à notre volonté de compartimenter, réduire, délimiter).

    Je pense que c’est la raison pour laquelle Einstein est revenu à nommer le vide par l’éther, seulement pour lui donner une valeur propre, unique et absolu.

    De fait, la dialectique philosophie ou métaphysique conduit à penser que le vide ou éther, exprime l’espace comme une valeur indivisible. Ce n’est pas l’espace qui se divise, mais ce que nous nommons le temps. C’est ici que le processus itératif intervient, mais c’est une autre histoire !
    Donc, oui, on peut ignorer l’éther pour ne garder que le vide, l’inconvénient est que dans notre imaginaire, notre construction mentale de l’Univers, le vide n’interagit pas avec la matière, alors que notre représentation de l’éther si. L’éther, donne une consistance au vide pour lequel nous ne pouvons que constater les effets et dont la cause n’est autre que les effets constatés. Autrement dit, nous nous trouvons face à un mur qui renvoi systématiquement vers soi même, au sens que nous donnons à la vie, bref, au temps.

    Conclusion, nous nous trouvons bien face à une aberration du cerveau humain qui s’interrogeant sur la cause de sa propre existence ne fait que la nier, donc, de plonger dans le néant de sa propre existence.

    Comme disait Desproges, »étonnant non !!!"



  • Hervé Hum Hervé Hum 24 septembre 2014 11:47

    Gaspard, j’ai écris mon dernier commentaire sans avoir lu ton/votre dernier commentaire !

    Avec lequel je suis en complet accord et si j’insiste sur le temps, c’est précisément pour faire ouvrir la conscience sur le fait que l’enjeu est le temps et non l’espace qui lui est UN et indivisible sinon par le temps de vie de chacun.

    Cela revient à la philosophie de la monadologie.



  • Hervé Hum Hervé Hum 24 septembre 2014 11:44

    Certes Gaspard, mais tu notera qu’on a tendance à oublier ce préalable, tout comme on a tendance à oublier que l’état n’existe pas en tant que sujet, tout comme une multinationale ou une banque.

    Conséquence, on finit par s’en prendre au marteau et non à la main qui le tient, au plus grand bonheur de celui qui te frappe sur les doigts !

    Alors il me paraît plus utile de revenir à la cause de sa masturbation et non à la conséquence. L’enjeu c’est le temps, simplement parce que nous sommes des êtres vivant dont ce qui est le plus précieux est le temps de vie où l’espace est un moyen et non une fin en soi. Bref, on ne se fait pas la guerre pour l’espace, mais pour le temps que cet espace permet d’acquérir (je suis resté longtemps à penser que l’enjeu était seulement l’espace sans tenir compte du temps).

    Pour rappel, on ne peut pas accroître son propre temps de vie comme avec l’espace, la seule manière d’accroitre son propre temps de vie, c’est de prendre celui d’autrui, le dédier à son service. Ainsi, quand on parle d’une création monumentale comme les pyramides, on parle de pharaons, non des architectes et des ouvriers qui l’ont construite alors même que nous savons bien que les pharaons ne l’ont pas construit par miracle.

    A chacun sa méthode pour se rendre maître du temps de vie, celle d’aujourd’hui consiste dans la monétarisation de l’économie où l’argent n’est autre que la mesure de la valeur du temps de vie dédié au service d’autrui ou à son propre service pour celui qui la détient.

    Es tu sûr d’avoir déjà vu les choses sous cet angle masturbatoire ?

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