La crise sanitaire a bon dos. En fait, il s’agit surtout
d’une question de multiplication des lapins sur le papier.
Puisqu’une voiture rapporte un certain bénéfice pour le
constructeur, plus il en fabrique, plus il espère gagner. Il n’est pas question
de tenir compte de la demande qui est bien inférieure puisqu’il s’agit de
modifier les normes des contrôles techniques pour imposer le renouvellement de
voiture.
De ce fait, les parkings sont pleins de voitures invendues :
400.000.
Bien sûr, on va nous proposer des réductions.
Mais ces véhicules ne correspondent pas aux normes qui
seront appliquées en 2021. Donc, il s’agit du principe de la patate chaude en
refilant des véhicules qui d’avance ne sont plus aux normes.
Il est question de "conversion vers les véhicules
propres"
La voiture électrique est une ineptie vis-à-vis de
l’écologie. De plus, les batteries sont intégrées au châssis. Ainsi, lorsque la
batterie aura perdu ses capacités, il faudra revendre le véhicule.
En revanche, on attend toujours que l’exemple vienne
d’en-haut. Ceux qui nous imposent ces véhicules les ont-ils en voitures de
fonction ou à titre personnel ?
Pour ce qui concerne les économies, avec LINKY il faut bien
comprendre que les taxes actuelles sur les carburants passeront sur les tarifs
de l’électricité.
« 400 000 emplois industriels »
Ca y est, le réveil a sonné. On découvre maintenant que les
accords internationaux sur le libre échange ont permis aux multinationales de
délocaliser pour accroître leurs profits.
Depuis 40 ans la France perd 150 emplois industriels par
jour.
A quand la relocalisation de tous les emplois industriels ?
Il ne faut pas oublier que ce qu’on économise sur
l’achat de produits fabriqués dans les pays à faibles coûts, on le paie sur le
chômage et par les impôts.
Nos chers dirigeants, qui regardent régulièrement ce qui se
passe à l’international pour nous imposer des mesures toujours plus
contraignantes, pourraient également regarder les systèmes fiscaux de pays tels
que Singapour.
Les dépenses de la Cité-Etat y sont fixées par la loi à 16%
du PIB. Chez nous elles n’ont pas de limites et représentent 56,5% et l’Etat et
les collectivités territoriales ne cessent de les augmenter au profit de
qui ?
On attend toujours la décision permettant aux hôpitaux non
surchargés par cette maladie de pouvoir reprendre les opérations qui étaient
programmées avant le confinement.
Il y a malheureusement d’autres patients en attente de soins
et dont l’état de santé se dégrade en attendant d’être pris en charge.
La protection de la vie privée dans ce qu’on appelle une « Dictature
molle ».
Big
Brother is watching you… avec la possibilité de prendre en main à
distance les micros ou cameras de nos appareils ou d’intercepter nos données au
passage.
Il en est de même avec :
Les compteurs communicants tels que LINKY (CPL pouvant se
mélanger au CPL privé) et les futurs appareils ménagers connectés qui
permettront de savoir ce qu’il y a dans le réfrégirateur, les vêtements qui
seront insérés dans les lave-linge et les fréquences de lavage…,
Les voitures connectées (dont le bouton d’appel d’urgence),
Les smart TV connectées qui permettent de savoir ce qu’on
regarde,
Les téléphones mobiles,
Les téléphones fixes,
Les ordinateurs,
Les cartes bancaires,
Les cartes de fidélité,
Les assistants tels que Google Home,
…
Nos données personnelles qui transitent par internet :
Fournisseurs d’accès internet,
Fournisseurs de webmails,
Opérateurs de réseaux de communication,
Constructeurs d’appareils,
Editeurs de systèmes d’exploitation (Cortana…),
Editeurs de navigateurs,
Editeurs d’anti-virus,
Editeurs de logiciels,
…
Où est la sécurité ?
A revoir le documentaire "Apple, Google, Facebook… Les
nouveaux maîtres du monde"