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De l’escroquerie du péril covidien à l’escroquerie du péril russe ou La vanité de la parole

Rendez-vous compte : si en mars 2020, aux premiers jours du confinement, Emmanuel Macron avait lu AgoraVox, les articles, entre autres auteurs, de votre serviteur (voir ici, ici, ici ici, ici ou ) lui auraient permis de faire économiser à la France la bagatelle de plusieurs centaines de milliards d’euros. Et d’épargner « en même temps » aux Français moulte souffrance et ineffables misères. Depuis les ravages économiques et sociaux des confinements et des couvre-feux, jusqu’aux conséquences parfois tragiques des injections expérimentales supposées vaccinales, imposées à coups de passes. A moins que Macron les ait lus, ces articles. Et qu’il ait décidé de s’en taponner le coquillard et de confiner quand même. Parce qu’en tant que Young Leader de la French American Foundation et du Forum Economique Mondial de Davos (il porte les deux casquettes), monsieur le Président a d’autres priorités. Oui, madame Michu. Il poursuivait des objectifs très éloignés de l’intérêt général et de la santé publique. Pour la faire courte, vous mettre sur la paille, les chaînes aux pieds. A tout hasard donc, nouvel éclairage sous psychose antirusse vers course aux armements. C’est-à-dire pour une nouvelle phase du Grand Dépouillement (Great Reset) et la poursuite de l’équarrissage de l’Europe et de la France, au profit des Etats-Unis. Des fois que l’Elysée nous lise et qu’il ne soit pas le monstre de cynisme et de trahison que nous observons et décrivons depuis trop d’années. En vain, je le sais bien, madame Michu…

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« Nul n’est prophète en son pays » disait en substance le Christ, bien placé, à maint titre, pour épuiser la question…

Pas facile, en effet, d’ouvrir les yeux de ses compatriotes. L’époque, riche en mensonges, en offre de multiples illustrations. Parmi beaucoup d’autres, et sans remonter aux fondations de la Ve République, les escroqueries majeures des périls covidien puis russe sont particulièrement édifiantes.

 

La terreur fabriquée

Dès le premier jour du confinement, le 17 mars 2020, il était évident que le Covid était le moyen d’une effarante escroquerie. Car dès avant cette date, des études officielles avaient clairement établi que le virus tuait surtout de grands vieillards et des personnes victimes de lourdes comorbidités. Face à ce Coronavirus, la plus grande partie de la population ne risquait pas plus qu’avec une grosse grippe. Pour le dire simplement, rien ne justifiait tout ce pataquès.

A partir du 17 mars 2020, avec quelques autres observateurs, nous étions une petite minorité à l’époque, j’en ai expliqué l’évidence dans une série d’articles publiés sur AgoraVox (comme déjà mentionné plus haut, voir ici, ici, ici ici, ici ou ).

Bien entendu, c’était pédaler dans la choucroute : on pouvait bien, études et données officielles à l’appui, démontrer par A + B l’absurdité de la panique covidienne, rien n’y faisait. La psychose clairement infondée au regard des chiffres et des études, l’arnaque était évidente. Pourtant, impossible aux petites voix d’AgoraVox de contrer la puissance de feu des grands médias unanimes affirmant le contraire, et relayant, appuyant 24h/24 le très alarmiste narratif gouvernemental.

La charte du journaliste impitoyablement piétinée, on n’interrogea plus aucun chiffre. Les affirmations les plus saugrenues furent dispensées du moindre questionnement. Un grossier mensonge fut désormais réputé aussi incontestable qu’une vérité cristalline.

Nous bûmes ainsi le calice viral jusqu’à la lie. Confinements, couvre-feux, masques obligatoires, auto-attestations, tests PCR en série, injections expérimentales, fermetures des bars, des restaurants, des cinémas, passes sanitaire puis vaccinal…

Au gré d’un bourrage de crânes véritablement permanent, entre injonctions contradictoires et décisions arbitraires, de mois en mois, d’année en année, rien ne nous fut épargné…

Les articles pouvaient s’accumuler sur AgoraVox pour répéter encore et toujours que la fallacieuse comédie covidienne avait assez duré, hurler aux effroyables dégâts économiques et sociaux en cours, aucun argument ne semblait pouvoir arrêter cette psychose inepte savamment orchestrée.

L’hypnose était telle que toute prise de conscience semblait rendue impossible.

Signe des temps, en octobre 2020, Macron déclara devant la France entière, les journalistes qui l'interrogeaient n’y trouvant rien à redire, que la létalité du Covid-19 s’établissait à… 0,6 % ! Chiffre certes exagéré, mais qui démontrait à lui seul l’absurdité de la psychose. Et l’inanité des mesures draconiennes prises depuis des mois… Mesures draconiennes qui allaient pourtant encore s’amplifier pendant plus d’un an ! Avec, au bout de la route, les injections expérimentales quasi obligatoires. Y compris pour les jeunes ! Alors même que Macron reconnaissait dans le même entretien d’octobre 2020 avec Anne-Sophie Lapix et Gilles Bouleau que « 90 % des morts du virus avaient plus de 65 ans... ».

Il faut l’avoir vécu pour le croire…

 

Splendeurs et misères de l’impunité

Pour ma part, au début de ce colossal micmac, je pensais naïvement que passé l’émoi artificiel dénué de fondement et fallacieusement fabriqué, une fois la dangerosité réelle du Covid-19 (0,1 % de mortalité au maximum) devenue évidente pour tout le monde, viendrait la prise de conscience de l’escroquerie. Dans mes rêves enfantins, j’imaginais que cette lucidité retrouvée entraînerait finalement le procès de tous les responsables de l’arnaque géante aux centaines de milliards d’euros. Ces affabulateurs devraient s’expliquer de leurs mensonges et de leurs desseins devant un tribunal. Il n’en fut rien. Mieux encore : réélu dans un fauteuil en 2022, Macron coule des jours tranquilles à l’Elysée. Sur X, il a pu célébrer les cinq ans de l’opération covidienne comme une grande victoire. Et distribuer les bons points, notamment aux Français. Tous ses complices étant évidemment libres comme l’air.

Impunité garantie, le mensonge peut désormais se poursuivre sous une autre forme. Avec cette fois, à la place du Covid, Poutine dans le rôle de l’ennemi public numéro 1. Qui veut tous nous tuer.

Dans un précédent article, nous avons montré que loin de défier les Etats-Unis, ce plan belliciste antirusse porté par Macron et ses complices anglais et allemand, eux-mêmes vassaux serviles comme ils l'ont illustré, chacun à sa façon, dans l'affaire Nord Stream, fait à nouveau le jeu du grand frère américain. Cette option va permettre de continuer à remplir les caisses de l’Oncle Sam. Siphonner la vieille Europe pour financer la résurrection de l’éternellement jeune Amérique.

La France cacochyme déjà ratatinée sort esquintée de huit ans de macronisme. Le moignon de pays en charpie, son outre-mer (rescapé de la Grande Lessive de 1958-1962) dévasté, les banlieues désintégrées (issue en grande partie de l’ancien outre-mer liquidé par la Grande Lessive) en sécession, la pauvreté galopante, l’économie en déclin, l’État dévoyé, destructeur et ruiné…

Pour ce pays chancelant qu’est la France en 2025, tout appellerait une politique de réparation, pour panser ses plaies. Or voilà que Macron précipite la moribonde dans une nouvelle psychose ruineuse. Cette fois sur le thème de la guerre. Ouvrant sur une course aux armements qui s’annonce déjà si coûteuse qu’on fait d’emblée appel au bas de laine de madame Michu, 500 euros comme premier minimum annoncé. Au lieu de prendre soin d’un pays en perdition, on l’emmène sur le sentier de la guerre… Et comme la ficelle n’est jamais assez grosse, au comble du cynisme, pour le coup d’envoi de sa nouvelle opération, le fossoyeur de la France a invoqué pour la première fois la « Patrie »… pour mieux lui porter l’estocade !

Sans surprise, devant ce spectacle effarant et cousu de fil blanc, les médias se comportent exactement comme au temps du Covid. Ayant définitivement perdu tout sens critique, ou plutôt se bornant à l’exercer uniquement contre les opposants du narratif présidentiel, toute la presse subventionnée, toutes les télés et toutes les radios ou presque font chorus avec le joueur de flûte de Hamelin doublé d’un Néron.

On sait d’avance le scénario : si tout se passe comme prévu, dans quelques années, nous nous apercevrons que, comme le Covid, la Russie de Poutine n’était pas un si grand péril. Mais comme avec le Covid, on continuera de faire comme s’il l’avait bel et bien été.

Pourtant, si effarant que cela puisse paraître, avec cinq ans de recul, en 2025 on peut l’affirmer : s’il n’y avait eu ni confinement, ni masque, ni injection, ni surtout déploiement démentiel de mensonges gouvernementaux à grand renfort de propagande médiatique, tout se serait passé sans même qu’on s’aperçoive de l’existence du Covid. En tout cas pas davantage qu’une grosse grippe telle qu’il en arrive régulièrement

De même, on s’apercevra trop tard que la Russie de Poutine n’était pas plus agressive que n’importe quelle grande puissance, qu’elle pouvait même se montrer extrêmement conciliante et constructive, et que rien ne justifiait de la présenter comme un danger.

Et comme pour le Covid, on réalisera que les centaines de milliards d’euros, les sommes pharamineuses que nous aurons dépensées, et toutes les difficultés voire les malheurs individuels et collectifs qui vont avec, n’auront servi à rien.

 

Question de mayonnaise

A rien ? Pas vraiment.

Cette nouvelle fable fondée sur la peur aura permis, une fois de plus, comme avec le Covid, de spolier les populations et de ruiner l’État. C’est l’effet bien connu d’une course aux armements. Surtout quand elle est absurde. Car évidemment, l’armée française, méprisée comme le reste depuis des années par un Etat trop occupé à saigner le pays pour ses maîtres ploutocrates et à l’affaiblir par tous les moyens, l’armée a grand besoin d’être mieux dotée, notamment sa flotte, puisque nous disposons encore du deuxième domaine maritime mondial. Mais on ne saurait être dupe du narratif euro-macronien, qui nous engage non pas vers un réarmement opportun et raisonné, mais vers une course aux armements absurde dirigée contre un faux ennemi. Le but macronien n’est pas de nous réarmer pour nous protéger, mais tout au contraire de nous ruiner pour mieux nous achever.

Si la mayonnaise belliciste prend aussi bien que celle du Covid, il est probable qu’elle permettra par-dessus le marché un nouveau tour de vis contre les libertés publiques. En restreignant encore la liberté d’expression. Le régime macronien, qui, après bien d’autres musellements, vient d’éliminer C8 et d’interdire d’élection Marine Le Pen, n’a-t-il pas souvent démontré son goût pour la censure ? Or s’opposer à la guerre, n’est-ce pas se rendre coupable de trahison ? D’outrage à la Patrie ? Passible de prison ?

Bien sûr, si la Russie avait attaqué gratuitement l’Ukraine, si Poutine était un dirigeant impérialiste de longue date hostile à l’Europe, on pourrait comprendre que le réarmement antirusse soit plus qu’une nécessité : une priorité. Mais ce n’est pas le cas. Comme nous l’avons déjà expliqué avec d’autres, pour des raisons aussi bien géographiques, démographiques, pétrolières, gazières, territoriales, etc. la Russie n’a aucun intérêt à affronter militairement l’Europe. Au contraire, elle a tout intérêt à s’en faire une alliée pour briser le grand échiquier de Brzezinski.

Ce n’est pas la guerre, c’est la paix qu’il faut faire d’urgence avec la Russie.

A l’exemple de ce que fait Trump.

Ce sera, au passage, le meilleur moyen d’empêcher l’homme orange à mèche d’or, bref le Donald, de prendre le Groënland…

Et d’éviter, pour ce qui concerne les Français, de finir tous tondus et enchaînés, oui madame Michu, à la fin...

Sans doute ces lignes, gouttelettes dans l’océan de l’information se mêlant à d’autres, échoueront complètement à changer le cours des choses. Comme il y a cinq ans avec l’abominable Poutine, pardon, avec l’abominable Coronavirus qui allait tous nous tuer.

Mais à force de rester sans réagir, hébété dans la broyeuse, ça risque vraiment de mal, très mal finir pour les veaux et les gogos…

Pourtant Dieu sait que c’était gros…


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47 réactions à cet article    


  • DACH 9 avril 12:41

    =....Ce n’est pas la guerre, c’est la paix qu’il faut faire d’urgence avec la Russie. ...=

    La Russie de V V Poutine veut une Ukraine russifiée et pas seulement.

    Il suffit de lire, d’écouter et de lire les propos russes de V V Poutine et de ses soutiens pour comprendre qu’ils veulent des territoires, par la guerre ou par la négociation, dans l’esprit de : « ce qui est à moi je le garde, ce qui est à toi est négociable. » Il suffit d’identifier toutes les actions de guerre hybride... Depuis 2007. V V Poutine démontre qu’il ne veut pas la paix. « La Russie n’a pas de frontières. » Dans l’esprit des ambitions à l’ouest de Tolstoï, qui rappelle que « la guerre est dans l’ADN de la Russie  »

    L’Ukraine et les Ukrainiens ont choisir leurs destins de ne pas redevenir sous occupation russe. Le général L Ivashov, dans sa déclaration de mars 2025 le réaffirme, lui qui avait déjà en janvier et février 2022 dénoncé et condamné les ambitions de guerre de V V Poutine. Et fournit des prévisions pessimistes. L’entêtement de V V Poutine mènera la fédération de Russie à une catastrophe.

    De plus, refuser de se réarmer, sur tous les plans, face à des menaces avérées signifie que l’on veut se choisir un destin de victimes par des liens de soumission. C’est un choix qui ne convient pas au citoyens français sauf aux futurs collaborateurs.


    • Com une outre 9 avril 18:42

      @DACH
      Vous en faites un beau vous de collabo, à n’en pas douter. Vous écrivez vraiment n’importe quoi. Trop vacciné ?


    • DACH 9 avril 18:46

      @Com une outre=Toujours dans une argumentation de maternelle, pipi caca. Vous ne savez même pas que vous existez !!!!!! Que du plaisir.


    • Com une outre 9 avril 21:11

      @DACH
      Vous volez au-dessous des pâquerettes, votre réponse est aussi stupide que votre précédente intervention.


    • Doume65 10 avril 21:37

      @DACH
      « L’Ukraine et les Ukrainiens ont choisir leurs destins de ne pas redevenir sous occupation russe »
      Les Ukrainiens, la dernière fois qu’ils ont eu le droit de s’exprimer, ont voté à 73 % pour celui qui leur permettait la paix et non la guerre de Porochenko. Ça, c’est un fait, pas une interprétation.


    • Doume65 11 avril 19:28

      @Doume65
      Qui promettait et non qui permettait. Sorry !


    • DACH 9 avril 12:48

      =...Mais ce n’est pas le cas. Comme nous l’avons déjà expliqué avec d’autres, pour des raisons aussi bien géographiques, démographiques, pétrolières, gazières, territoriales, etc. la Russie n’a aucun intérêt à affronter militairement l’Europe. Au contraire, elle a tout intérêt à s’en faire une alliée pour briser le grand échiquier de Brzezinski....=

      Voilà une affirmation gratuite qui en rappelle une autre : « la Russie n’a aucun intérêt à envahir l’Ukraine ». Et pourtant la Russie l’a fait. La Russie ne veut pas d’alliés en Europe, elle veut des vassaux que l’on qualifiera d’alliés. Et si elle doit obtenir cet objectif par la guerre, elle fera la guerre. Ce qu’elle a commencé depuis 2007.


      • jjwaDal jjwaDal 9 avril 19:12

        @DACH
        Mais qui donc a bien pu dire que « La Russie n’a aucun intérêt à envahir l’Ukraine » ? Dès 2008, Merkel et Sarkozi avaient compris que l’annonce d’une future appartenance de l’Ukraine à l’OTAN serait perçu par les russes comme un camouflet et une atteinte à leur sécurité. Les deux opérations de l’OTAN en Serbie et en Libye (en violation du Traité fondateur qui ne parle que d’assistance à un pays membre agressé pour le défendre), le coup d’Etat pour inverser le résultat des élections en Ukraine (le peuple avait porté au pouvoir un partisan de la neutralité entre l’Occident et la Russie) ont convaincu les dirigeants russes (Poutine en dernier d’ailleurs) que l’armée US allait (par proxy d’abord) s’installer sous leurs fenêtres, le reste est connu.
        Dès 2015, le géopolitologue américain, J. Mearsheimer disait dans une conférence que nous allions détruire l’Ukraine en nous servant de l’armée russe, l’invasion pour sécuriser les régions russophones et se donner un espace « non hostile » à l’ouest, était donc prévisible.
        Les faits sont têtus, le passé en particulier. Poutine a eu 20 ans pour bâtir une armée d’invasion dont il ne disposait pas en février 2022, quand il envoya une armée famélique avec des effectifs inférieur à 200 000 hommes quand il lui en aurait fallu dix fois plus pour envahir son voisin. Un oubli de sa part ? Il avait 20 ans pour la constituer de 2000 à 2022...
        Si l’Europe entière a désarmé après 1990, c’est bien parce que tout le monde savait (par les observations et la surveillance) que la Russie ne présentait aucune menace et que son armée n’était plus que l’ombre de sa grandeur passée.
        Dès Clinton l’OTAN a avancé vers la frontière russe malgré les promesses et protestations russes sans véritables réactions de la Russie et nos dirigeants qui ne sont plus des chefs d’Etats pensaient que la Russie se coucherait devant le fait accompli. Ils ont juste été surpris le froc sur les chevilles et le mouvement de balancier pour justifier cette faute géopolitique majeure était prévisible.
        « Nous n’avons aucune responsabilité dans ce merdier et les russes sont entièrement responsables ». Pratique...


      • DACH 9 avril 19:30

        @jjwaDal=Mais qui donc a bien pu dire que « La Russie n’a aucun intérêt à envahir l’Ukraine » ?...=
        En2022 et avant, en dehors de nombreux acteurs politiques occidentaux, même des acteurs politiques russes l’affirmaient. Mais eux, parce qu’ils savaient vers quelle sinistre pente leur pays glisserait. En 1990, l’URSS puis la Fed de Russie présentaient des menaces moindres qu’avant. Enfin. Mais depuis 2007, il est visible de tous que les menaces russes s’accroissent. Elles sont identifiées. En 2025, l’armée russe rassemble plus de 1.500.000 hommes. Ce n’est pas pour aller développer la Sibérie !!!!!
        Comme les dirigeants de ce pays ne veulent tenir aucun compte de ce que veulent leurs peuples comme leurs voisins, étonnez-vous qu’ils n’aient comme mode de gestion du pays que celui de faire la guerre. En inventant au besoin, comme dans les années 2000. Cf. Attentats commis par le FSB et attribués aux Tchétchènes pour justifier une guerre à ambition génocidaire. . 


      • jjwaDal jjwaDal 9 avril 20:53

        @DACH
        Vous confondez la cause et la conséquence. Je vous signale inutilement sans doute que l’armée des USA est en effectif quasi équivalente et ils ne sont pas en guerre que je sache, quand au « mode de gestion du pays », j’ai cru un instant que vous parliez des USA qui sont en guerre permanente depuis la seconde guerre mondiale et parfois sur plusieurs théâtre d’opérations.
        Je partage l’opinion de nombreux analystes américains qui voient dans la longue litanie de « portes dans la gueule » envoyées au visage de la Russie post démantèlement de l’URSS, la cause de cette boucherie en Ukraine.
        Et donc de 2007 à 2022, 15 ans, un impérialiste n’aurait réussi à former qu’une armée de moins de 200 000 hommes, alors qu’en 3 ans il s’est doté d’une armée de 1 500 000 hommes, au milieu des pires sanctions économiques qu’un pays a jamais subis.
        Bah comment il a pu faire en 3 ans ce qu’il ne pouvait en 15 sans les sanctions économiques ?
        J’ai même lu sous une autre plume que la vôtre que les russes ont refusé l"intégration des républiques séparatistes pendant 8 ans pour faire croire qu’ils faisaient mine de privilégier la voie diplomatique pendant qu’ils se préparaient au combat ...
        Pour aboutir à un contingent de moins de 200 000 hommes qui piétinent dans l’est ukrainien depuis 3 ans.
        Ouah l’armée de conquête,trop fort les russes.


      • DACH 10 avril 09:40

        @jjwaDal=dans toute votre argumentation de salon, vous oubliez 2 faits :

        1. ce que veulent les peuples veulent : protection de l’OTAN et liberté dans un progrès économique qu’assure l’UE, contrairement au développement russe poutinien.
        2. ce que veulent V V Poutine et ses soutiens : reconquérir par l’annexion ou par la vassalisation tout ce qui est possible à l’ouest. Pour ce faire : économie de guerre et recrutement intensif. Voilà ce qui est vu et reconnu par la majorité des analystes. « La Russie n’a pas de frontières. » L’UE a des frontières, celles de ses adhésions consenties par les peuples. 

         

      • Eric F Eric F 10 avril 09:52

        @DACH
        ’’ce que veulent les peuples’’ est une expression généralisatrice, les Ukrainiens de l’Ouest tendent vers l’occident, notamment avec l’influençage étasunien lors de Madan, et ceux de l’Est tendent vers la Russie, notamment l’influençage russe dans le déclenchement séparatiste ;
        Le bon sens et la raison auraient donc du éviter l’écartèlement du pays, en lui conservant une neutralité garante à la fois de son unité et sa sécurité.


      • agent ananas agent ananas 10 avril 11:01

        @DACH
        Mais depuis 2007, il est visible de tous que les menaces russes s’accroissent. Elles sont identifiées.

        Il parait même que les missiles russes fonctionnent avec les pièces dérachées d’électroménager.

        https://www.bfmtv.com/economie/international/pour-reconstituer-des-armes-la-russie-se-rue-sur-l-electromenager_AV-202210310275.html

        https://www.tf1info.fr/international/video-guerre-en-ukraine-pourquoi-la-russie-s-interesse-a-nos-appareils-electromenagers-2239196.html

        La Russie serait donc une menace avec un tel arsenal ?
        On nous prend pour des cons ...


      • DACH 10 avril 11:07

        @Eric F=notamment avec l’influençage étasunien lors de Madan, et ceux de l’Est tendent vers la Russie,...=
        Et les Russes de VVP ne cher’chent-ils pas aussi à influencer ? 
        C’est NON, c’est faux pour avoir séjourné dans les 2 parties de l’est de l’Ukraine. Ils ne tendent pas vers la Russie de VVP, surtout au vue des réussites de la gestion de ce pays par VVP. Les opinions des citoyens de 2025, occupés ou libres, confirment leurs choix d’avant 2014. Vivre en Ukraine libre. 

        =...Le bon sens et la raison auraient donc du éviter l’écartèlement du pays, en lui conservant une neutralité garante à la fois de son unité et sa sécurité.=
        Tout le monde, y compris, les intéressés savent depuis 2014 la nullité de telles propositions qui ne tiennent pas la route devant les ambitions affirmées de V V Poutine. « L’Ukraine n’existe pas. L’Ukraine est une erreur de l’Histoire. »
        Ils ne veulent pas être neutres, ils veulent être libres de choisir librement leurs destins. raisons principales des échecs et futurs défaites russes. 


      • DACH 10 avril 11:11

        @agent ananas=...La Russie serait donc une menace avec un tel arsenal ?On nous prend pour des cons ...=
        Vous vous prenez don pour un con ! Ce n’est pas parce que plus de un million de morts et de blessés graves dans les rangs russes que la Russie n’est pas une menace ! Accrochez-vous aux paroles, aux écrits et aux actes des russes de VV Poutine et vous vous contraindrez à reconnaître ce que vous n’avez pas envie de voir(. 


      • jjwaDal jjwaDal 10 avril 11:52

        @DACH
        Le progrès économique pour qui ?... La zone « euro » connaît un des plus faibles taux de croissance parmi les grandes zones économiques et cela en empruntant, donc en s’endettant. Certains pays européens s’en sortent bien en profitant des largesses des pays donateurs (la France donne 10 milliards d’euros net par an au budget européen) et de la délocalisation des productions manufacturières chez eux, vu le niveau local des rémunérations.
        On a vu ce qu’est la notion de liberté de choix lors du vote des traités avec tous les grands médias se transformant en outils de propagande, allant jusqu’à stigmatiser le choix des citoyens quand il ne plaît pas (TCE par ex ou Roumanie plus récemment). On ne va pas parler de la chasse aux partis dits d’extrême droite en Europe qui ne seraient pas ce qu’ils sont si la majorité des citoyens étaient contents des politiques suivies. Les « extrême droites » sont des symptômes de la crise européenne, nullement des causes.
        L’Ukraine devient indépendante lors de la dissolution de l’URSS et la direction russe (Poutine à partir des années 2000) auraient attendu tout ce temps pour montrer leur vrai visage impérialiste ? Cela ne tient pas la route et il serait suicidaire pour la Russie de vouloir envahir l’ouest de l’Ukraine. Au demeurant si c’était le cas ils n’avaient qu’à pratiquer la technique US du « tapis de bombes » que l’Occident a régulièrement pratiqué comme alternative au dialogue.
        Avant le coup d’Etat de 2014, très peu voyaient un impérialiste en Poutine et d’ailleurs qui a 800 bases militaires parfois dans des pays dont l’opinion n’a pas été sollicitée (je renonce à en faire la liste, mais la Syrie et l’Irak sont en bonne place), qui parle ouvertement d’annexer le Groenland, le Canada, le canal de Panama, de transformer la bande de Gaza en « Riviera » du Moyen Orient, Poutine ?...
        Pendant 8 ans, il a refusé la demande d’annexion du « Donbass » et ce n’était pas pour gagner du temps (l’armée de 200 000 hommes existait déjà en 2014 et l’Ukraine s’est massivement militarisée pendant ces huit années).
        Tout indique qu’il ne voulait pas toucher aux frontières de l’Ukraine, même si par opportunisme il a récupéré la Crimée qui a moins de la dépeupler voulait revenir en Russie. L’opinion des criméens , on en tient compte ou pas ?...
        Mearsheimer l’a dit en 2015, l’ouest et l’est de l’Ukraine souhaitaient vivre ensemble malgré le tropisme occidental des ukrainiens de l’ouest et oriental de ceux de l’est. C’est le Maïdan orchestré par les USA qui a lâché la bride aux deux extrémismes, souverainisme d’extrême droite à l’ouest et partisans du retour vers la Russie à l’est.
        Sans la politique abyssalement imbécile des USA, l’Ukraine serait aujourd’hui intacte.


      • DACH 10 avril 12:48

        @jjwaDal=....Le progrès économique pour qui ?... La zone « euro » connaît un des plus faibles taux de croissance parmi les grandes zones économiques et cela en empruntant, donc en s’endettant.=
        Il suffit de lire les stats éco sur 20 ans....pour mesurer les avantages de l’UE. Mais comme tout système économique libéral, l’évolution est du type sinusoïdal ascendante. Et la souplesse de ce système permet d’apporter des améliorations dans des moments de crise, contrairement à ce que font des régimes d’une plus grande rigidité. 


      • DACH 10 avril 12:55

        @jjwaDal=...Sans la politique abyssalement imbécile des USA, l’Ukraine serait aujourd’hui intacte.= plaisanterie qui affirme vos crédulités. « L’Ukraine n’existe pas. L’Ukraine est une erreur de l’histoire. » V V Poutine. Donc songer à une Ukraine intacte avec V V Poutine, est du niveau "si ma tante en avait...’’


      • Doume65 10 avril 21:40

        @jjwaDal
        « qui donc a bien pu dire que « La Russie n’a aucun intérêt à envahir l’Ukraine »

        Dash lui-même.


      • Doume65 10 avril 21:51

        @DACH
        « plus de un million de morts et de blessés graves dans les rangs russes »
        Tu la joue petit, en fait c’est dix millions.
        Assertion qui en plus répond à une moquerie des bêtises que peuvent dirent les médias pro otano-kéviens. Faut prendre un peu plus de hauteur, l’ami. Là, tu pédales dans la choucroute.


      • SilentArrow 9 avril 13:22

        @Alexandre Gerbi

        Puisque les USA se retirent de l’Europe, il est absurde de continuer la politique anti-russe chère aux Anglo-saxons.

        Les pays européens doivent quitter l’OTAN et l’UE et participer à la construction d’une entité économico-militaire où la Russie jouerait le rôle de leader.

        Sans cela, les pays européens vont retomber dans leur habitudes millénaires de rivalités et de conflits, rien que par atavisme.

        Mais pour cela, il faudra probablement que les peuples européens saisissent leurs politiciens et leur fassent subir le sort qui fut réservé au couple Ceauşescu, ce qui n’est pas évident quand on voit leur état d’avachissement.


        • Eric F Eric F 9 avril 19:54

          @SilentArrow

          ’’Les pays européens doivent quitter l’OTAN et l’UE et participer à la construction d’une entité économico-militaire où la Russie jouerait le rôle de leader’’


          S’émanciper des Américains, oui, faut le faire ce sont des fourbes qui nous ont entrainé dans une mésaventure puis nous laissent tomber. Mais pas pour se mettre sous la coupe d’un autre suzerain et former un nouveau pacte de Varsovie/Comecon.
          Par contre, rétablir une détente continentale incluant des échanges économiques fructueux (notamment gaz), ce serait l’intérêt général.

        • Goldo Du 9 avril 17:28

          Un article de russonazi complotard... Cela nous manquait !


          • beo111 beo111 9 avril 17:42

            ouh, le vilain virusse smiley


            • Goldo Du 13 avril 22:58

              @beo111
              Quand on voit ta photo, il fout effectivement les jetons le virus !


            • Phil 9 avril 17:52

              « Si la mayonnaise belliciste prend aussi bien que celle du Covid, il est probable qu’elle permettra par-dessus le marché un nouveau tour de vis contre les libertés publiques ».

              Bien vu.

              Merci pour cet article nécessaire et lucide.


              • LeMerou 9 avril 19:33

                @Alexandre Gerbi.

                « Rendez-vous compte : si en mars 2020, aux premiers jours du confinement, Emmanuel Macron avait lu AgoraVox, les articles, entre autres auteurs, de votre serviteur »

                Mais c’est ça de faire parti des gueux, des sans dents, les riens, Gaulois, etc . Les chiens aboient quant la caravane passe.

                Mon cher, vous n’êtes ni Enarque, ni sachant, ni politicien reconnu alors donc, vos avis !!! Je dirais peut qu’ils flirtent même avec le complotisme pro-russe smiley)


                • Eric F Eric F 9 avril 20:00

                  Macron n’a pas été le seul chef d’état à établir un confinement lors du covid, cela a été comme une grande peur mondiale, avec mimétisme des mesures prises par la Chine. On a vu comment les mandarins hospitaliers et les média ont poussé à la roue pour établir des mesures enfermistes. Rappelons-nous, l’objectif était d’enrayer la saturation des urgences en ralentissant la progression. Mais le recours aux urgences en shuntant la médecine de ville était une curieuse procédure.


                  • Com une outre 9 avril 21:23

                    @Eric F
                    Enrayer la saturation des urgences, vaste plaisanterie. Le but était surtout de dissimuler l’état pitoyable des hôpitaux français, la santé des gens étant sacrifiée à la rentabilité du secteur médical. Macron a paniqué devant le covid, comme il panique devant le conflit ukrainien ou face à la situation à Gaza. Et donc prend les plus mauvaises décisions, une constante chez lui.


                  • Eric F Eric F 10 avril 09:37

                    @Com une outre
                    rappelez-vous entre le 12 et le 16 mars 2020, la panique est venue d’Italie qui a confiné d’abord une région puis le pays, et l’ancien premier ministre italien a enjoint la France de faire de même, relayé par les correspondants de presse français en Italie. Donc il y a eu contagion de panique.

                    La saturation des urgences est en effet venue d’une insuffisance de capacité de soins plus générale, autant que d’un afflux supplémentaire (qu’on a connu en janvier 2025, avec le même pic de mortalité que celui d’avril 2020, panique en moins)


                  • Zolko Zolko 10 avril 11:03

                    @Eric F
                     

                    Macron n’a pas été le seul chef d’état à établir un confinement lors du covid, cela a été comme une grande peur mondiale

                     
                    c’est une remarque importante : TOUS les pays, sauf la Chine et le Japon, ont décidé du confinement généralisé LE MÊME JOUR, le 17 mars 2020. TOUS !!! 
                     
                    Concernant la Chine, elle l’a fait quelques semaines avant, et le Japon n’a pas confiné sa population. 

                  • Legestr glaz Legestr glaz 10 avril 11:26

                    @Eric F

                    Mars 2020 voit une vague de maladies respiratoires en France, culminant début avril, officiellement attribuée au SARS-CoV-2. Les données historiques confirment des pics de pollution (PM2,5, NO₂) avant le confinement dans certaines régions, suivis d’une baisse locale après le 17 mars (par exemple, -30% à -44% de PM2,5 à Paris selon Airparif). Cependant, les masses d’air pollué, transportées par les vents, ne disparaissent pas simplement parce que le trafic s’arrête et/ou que les activités humaines sont mises en sourdine.

                    Un premier pic de pollution tendu est observé du 10 au 20 mars 2020 dans le Nord-Est et en Île-de-France ( Lille, Strasbourg, Paris). Les niveaux de PM2,5, en moyenne de 40-60 µg/m³, ont été mesurés dans ces zones urbaines denses, avec des pics locaux liés à des émissions industrielles, au chauffage et au trafic intense juste avant le confinement. Les conditions météorologiques montraient unestagnation de l’air due à un anticyclone persistant mi-mars, piégeant les polluants localement. Mais aussi, des arrivée de masses d’air pollué depuis des régions industrielles voisines (Benelux ou Ruhr en Allemagne), transportées par des vents dominants. D’autres région étaient moins touchées : Sud-Ouest (par exemple, Bordeaux, Toulouse).avec des niveaux de PM2,5 inférieurs, moyenne de 15-20 µg/m³, protégée par des vents atlantiques dispersants et une moindre concentration de sources polluantes. Sur « Ventusky » une carte montre une large bande rouge-orange sur le Nord-Est et l’Île-de-France, alimentée par des masses d’air pollué continentales, tandis que le Sud-Ouest reste en vert-jaune.

                    Les archives (Airparif, Prev’air), elles, confirment des niveaux élevés de PM2,5 début mars dans le Nord et l’Est, avec des alertes pollution avant le confinement. Les masses d’air pollué ne sont pas purement locales – elles voyagent sur des centaines de kilomètres.

                    Un pic « épidémique » est enregistré début avril 2020. Données fournies par le réseau « Sentinelle » : Le taux d’incidence des infections respiratoires aiguës atteint 350 cas pour 100 000 habitants dans ces régions, avec un pic d’hospitalisations ( 7 131 patients en réanimation au 8 avril, concentrés dans le Grand Est et l’Île-de-France). Ceci correspond au délai « de développement de la maladie » en lien avec le taux de pollution.

                    En revanche, dans les régions les moins touchées par la pollution (Su-Ouest) le taux d’incidence se monte à 80 cas pour 100 000, avec peu d’hospitalisations graves. « Nozotorités » parlent d’une « explosion virale » dans le Nord-Est et l’Île-de-France, avec des tests PCR positifs massifs.


                    Le pic des décès (1 417 en une journée le 7 avril) et des réanimations, coïncide avec début avril, avec une sur-représentation du Nord-Est et de l’Île-de-France, régions polluées avant le confinement. Les émissions locales de pollution chutent après le 17 mars (confinement), mais les masses d’air pollué persistent un temps, puis se dissipent progressivement fin mars-début avril grâce à des changements météorologiques (vents plus forts, pluie). Les niveaux de PM2,5 tombent à 15-20 µg/m³ vers le 25 avril. Les infections respiratoire aiguës -IRA- redescendent à 90 cas pour 100 000 fin avril, les hospitalisations s’effondrent (-50% de patients en réanimation entre le 8 et fin avril). Dans les régions moins polluées (Sud-Ouest) la pollution et les -IRA- restent stables et faibles tout au long de la période. La fin de l’exposition aux masses polluées stoppe le stress oxydatif, permettant une récupération progressive des organismes. Pas de « virus qui s’éteint », juste un air qui est redevenu respirable.

                    Le Nord-Est et l’Île-de-France, sous des masses polluées mi-mars, ont subi un pic épidémique, ou d’intoxication collective, début avril, tandis que le Sud-Ouest, moins exposé, est resté en retrait. Le décalage de 15-20 jours entre pollution (mi-mars) et pic d’intoxication (début avril) se superposent. La dissipation graduelle des polluants fin mars-début avril précède la chute des cas mi-avril.

                    Le pic de polution de mi-mars mène au pic d’intoxication début avril , et la fin progressive de l’exposition polluante (fin mars-début avril) coïncide avec la fin de la vague (mi-avril). Les régions moins polluées, comme le Sud-Ouest, échappent au pire, sans signe de contagion.

                    Les « épidémies » sont donc des réponses à la pollution, pas à un virus. Les données réelles (pics avant confinement, baisse graduelle après) s’alignent parfaitement avec cette chronologie.



                  • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 10 avril 12:18

                    @Legestr glaz
                     bonjour,
                     
                    « L’OMS veut ouvertement réduire la population mondiale ! »

                    Pétition de principe OMS, cf. 20è mn :

                     

                     Principe de base : l’OMS a autorité sur la santé mondiale en cas de pandémies ou d’éventualité d’une pandémie, notamment pour imposer une vaccination totale

                     Qu’est-ce qu’une pandémie ? Une épidémie qui nécessite la prise en charge de la santé au niveau mondial, par l’OMS. 20ème mn.

                     Comment sait-on qu’il y une éventualité de pandémie ? C’est quand l’OMS le décide


                  • jjwaDal jjwaDal 10 avril 12:59

                    @Eric F
                    Anecdote personnellement vécu lors de la répétition de 2009 avec le virus H1N1 de la grippe. La « Panémie » était là et Bachelot chez nous battait le tocsin sur les plateaux TV, il allait falloir se vacciner, tous de toute urgence.
                    Les USA ayant une population plus grande et la saison grippale débutant plus tôt chez eux, je suis alors passé sur le site du CDC qui déjà répertoriait la remontée des observations sur une population ayant été touchée par le virus correspondant à une grosse saison grippale en France, par les effectifs touchés.
                    Sur un document PDF en première page de leur site, s’affichait les données les plus précieuses à connaître, à savoir que le virus n’était pas particulièrement létal, quoiqu’un peu plus contagieux que la normale et touchait les populations traditionnelles, les enfants n’ayant jamais connu la grippe et les personnes très âgés et celles atteintes de comorbidités (déjà) à qui une bonne grippe peu donner le coup de grâce.
                    Il n’y avait donc à prendre des précautions que pour les populations classiques. De mémoire l’info était disponible avant le gros de la vague de grippe ici.
                    Sauf que Bachelot avait commandé « large », « très large » et donc il fallait faire perdurer le mythe d’un tueur en série sur le point de mettre au lit le pays entier pour écouler les stocks...
                    La présidente de la commission européenne fera la même « bourde » en 2021.


                  • Legestr glaz Legestr glaz 10 avril 14:20

                    @Francis, agnotologue

                    Depuis l’annonce des USA de quitter l’OMS , d’autres pays ont annoncé leur intention de prendre le même chemin.

                    Sans les USA toutes les velléités de l’OMS d’imposer des vaccinations tombent à l’eau. 

                    Même la « grande grippe espagnole » n’a pas été une « pandémie ». Les pandémies sont des évènements « politiques » pas des évènements « sanitaires » !

                    Il faut changer de paradigme face aux maladies. Mais c’est difficile parce que les « virus » masquent la réalité du terrain. Et lorsque l’on parle de « terrain » il suffit d’écouter et de saluer l’immense intuition d’Antoine Béchamp : « le microbe n’est rien, le terrain est tout » ! Il a même eu l’intuition des microzymas, probablement les « vésicules extra cellulaires » et « exosomes » dont les rôles et fonctions sont aujourd’hui sous la lumière des projecteurs et qui, progressivement, taillent des croupières aux « méchants virus » et permettent de prendre conscience de la fausseté de la « théorie virale ». 

                    La « théorie virale » est le strict équivalent de la théorie des « épicycles » lorsqu’il s’agissait « d’expliquer scientifiquement » le « géocentrisme ». Le principe du rasoir d’Ockham doit s’appliquer aux maladies : l’explication la plus simple doit être retenue et privilégiée ! 


                  • Legestr glaz Legestr glaz 10 avril 14:23

                    @jjwaDal

                    Il n’y a pas de « virus » qui tienne. Il n’y a pas de « létalité virale » plus ou moins prononcée. Ce sont des blagues. 

                    Il y a des épisodes de pollution atmosphérique, plus ou moins tendus, qui affectent les organismes les plus fragiles. 


                  • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 10 avril 19:33

                    @Legestr glaz
                     
                     ’’ Sans les USA toutes les velléités de l’OMS d’imposer des vaccinations tombent à l’eau. ’’
                    >
                    Amha rien n’est moins sûr.


                  • Jean Keim Jean Keim 10 avril 08:24

                    Comment en sommes-nous arrivés là ?

                    Il y a beaucoup de réponses possibles, une, la plus vraisemblable, est que notre mode de penser fait de nous des névrosés chroniques et donc des inadaptés de la vie ; une autre qui aura un auditoire plus large est d’incriminer quatre-vingt ans d’énarchie.

                    Dans tous les cas rien n’aurait pu se faire sans notre tacite collaboration.


                    • Zolko Zolko 10 avril 11:25

                      @Jean Keim : pour certains, la collaboration était plus que tacite, elle était active et voulue. Dans mon club de sport, la présentation d’un passe sanitaire valide était obligatoire, puisque légalement imposé. Mais quand j’ai présenté un passe sanitaire valide  celui de quelqu’un d’autre, mais valide  le petit caporal collabo m’a quand-même refusé. Il aurait simplement pu accepter le passe valide sans se préoccuper du nom qui figure dessus  puisque légalement seulement la police peut demander la vérification d’identité  mais non, plus macroniste que Macron, il jouissait de sa petite autorité. 


                    • Jean Keim Jean Keim 10 avril 11:59

                      @Zolko

                      Ok ! donc collaboration a minima tacite, voire (beaucoup) +


                    • Bernard Mitjavile Bernard Mitjavile 10 avril 14:14

                      J’aime bien le début de l’article. Vous et moi sommes de grands prophètes incompris :). Bon, personnellement j’ai arrêté d’écrire pour AV fin 2023 suite à des problèmes de connexion répétitifs, problèmes qui ont cessé mystérieusement il y a quelques semaines..


                      • Face à la réalité, la thèse d’un monde « judéo-chrétien » contre un monde islamique s’effondre—Youssef Hindi

                        « Prenez ce qui se passe en Arménie : vous avez l’Azerbaïdjan chiite, allié à Israël juif, contre les Arméniens qui sont chrétiens », rappelle l’essayiste.

                        Et de revenir sur le traitement des chrétiens (https://t.me/kompromatmedia/4629) par Tsahal en Palestine :

                        On ne peut pas parler d’un choc des civilisations entre un monde judéo-chrétien et un monde islamique. C’est beaucoup plus compliqué que ça.

                        « La Russie, chrétienne orthodoxe est alliée de la Syrie majoritairement sunnite, de l’Iran chiite et s’oppose aux puissances occidentales dominées par un monde judéo-protestant et largement athée », appuie-t-il encore.

                        Il faut combiner une grille de lecture culturelle ou religieuse à une grille réaliste. Le reste, c’est de la propagande qui sert la politique israélienne et la politique anglo-américaine.


                        • Poutine : « L’Eglise est mise en pièces devant le monde entier ». Des « juifs ethniques sans foi » sont en train « d’exécuter » l’Eglise orthodoxe russe en Ukraine

                          « C’est comme une exécution par un peloton d’exécution. C’est une violation flagrante des droits de l’homme et des droits des croyants », a-t-il dénoncé.

                          Les auteurs « sont des gens sans aucune foi, des impies. Ils se moquent de tout. Rien ne leur est cher de ce qui nous est cher et ce qui est cher à l’écrasante majorité du peuple ukrainien ».

                          En 2024, Zelensky a fait voter l’interdiction (https://t.me/kompromatmedia_2/1130) de l’Eglise orthodoxe russe en Ukraine (UOC), poursuivant le projet de séparation des Eglises russe et ukrainienne déclenché en 2018 par Petro Porochenko, sous l’impulsion de ses sponsors américains.


                        • Puisque le don à une association est considéré comme un acte sectaire.
                          Sans savoir si l’association est une secte comme le CRIF, ou le 16 rue Cadet, par exemple. ! 

                          Que dire quand UVDL, de la commission européenne, oblige les pays de l’U .E à donner des milliards pour financer la guerre en Ukraine.

                          Que dire aussi du W E F qui touchait des dons de l’administration Américaine, donc des impôts du peuple américain.

                          En France,avec de tels psychopathes, < On se marche sur la tête> en se pissant dans la culotte, de rire. !


                          • Qui finance les écolos car à la vue du nombre de bulletins de votes aux législatives, y a un lourd doute voir plus .


                          • LeMerou 14 avril 06:32

                            @Alexandre Gerbi

                            Bonjour,

                            Je relisais votre article et

                            « Ce n’est pas la guerre, c’est la paix qu’il faut faire d’urgence avec la Russie. »

                            Sans être immédiatement qualifié bêtement de « pro-russe », la France, plutôt son peuple n’a aucun intérêt à faire la « guerre » à un autre Pays, d’autant plus que nous ne sommes pas agressé. Ne nous laissons pas abuser par des prédications farfelues, même venant du « sommet » de l’état.

                            La ou les « guerres » de toute façon n’ont jamais construite pour l’intérêt du bon peuple, mais pour l’intérêt de certains, nous le savons tous, mais beaucoup l’oublie, volontairement ou non. 

                            A mon sens nous n’avons pas à faire la « paix » avec la Russie, puisque nous ne sommes pas en guerre avec eux, mais plutôt de retrouver avec elle, les relations que nous avions avant. Notre position devrait plutôt être celle de la diplomatie, malheureusement force est de constater que ce n’est pas le cas.

                            Les origines du conflit Russo-Ukrainien nous sont soigneusement dissimulées et pour peu que des traces subsistent, elles sont enterrées comme il se doit, aidé en cela par une propagande médiatique, marquant les esprits faibles. Toutes vérités n’étant pas bonne à connaître, car elles ne susciteraient pas forcément l’adhésion du bon peuple. 

                            Je suis un peu d’accord avec vous, sur les méthodes employées, les « antivax » d’hier devenant les « pro-Russe » aujourd’hui, c’est absolument indécent et dangereux, cet état de catégorisation systématique qui s’amplifie fortement depuis l’ère Macron. Le camp du bien et le camp du mal...

                            Déclencher une « guerre » est aisé, y mettre un terme est très complexe, arrive aussi toujours le moment ou l’on en oublie presque le pourquoi du comment et pour finir les deux belligérants veulent y mettre un terme, mais sans perdre la face.. Pendant ce temps des « gens » meurent et des deux cotés, c’est pitoyable, l’humanité n’ayant absolument rien retenu de l’histoire. 

                            Pourtant paraît-il, l’homme de l’Elysée est féru d’histoire, mais laquelle ? Celle des grandes batailles ? 

                            Il est clair aussi, que les revirements continus d’opinion, de position, de celui qui représente la France aux yeux du monde, n’arrange pas notre position, nous le constatons aussi, ailleurs dans le monde, perdant des « positions ». 

                            Et le peuple Ukrainien dans tout cela ? Il souffre, il meurt par millier, etc, etc. Oui, c’est vrai qu’il sort à peine de dix années de « guerre » avec une de ses Provinces dissidente et ça recommence. Sauf que là, elle se propage dans lieux jusqu’ici épargnés, continuant à vivre comme si de rien était.

                            C’est vrai que le Dombass c’est très loin de la Capitale et les gens de là bas, n’avaient pas les moyens de répondre, ou du moins à porter le fer, dans le lit de ceux qui les opprimaient. 

                            Bref, Le Président de la France, au lieu de se battre, pour mettre un terme à ce conflit et en sortir avec les « honneurs », car est toujours glorifié celui qui met fin à un conflit armé, plutôt que celui qui le déclenche, ou qui l’aide.

                            Cet homme fait exactement l’inverse, il est vrai que la cours affable qui l’entoure, ne cherche pas à le raisonner, non elle se préoccupe de la succession du Roy. 


                            • https://qactus.fr/2025/04/14/lalgerie-expulse-des-diplomates-et-des-membres-du-personnel-de-lambassade-francais/
                              Algérie : L’Algérie expulse des diplomates et des membres du personnel de l’ambassade français - L’Informateur

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