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Les commentaires de Pierrot



  • Pierrot Pierrot 10 mai 2010 16:36

    C’est une information intéressante.
    Il faut mentionner que néandertal n’était pas cet être fruste comme certains le epnsait il y a quelques décennies.
    Il a évolué sous un climat européen rude était un excellent chasseur, avait un sens social et collectif développé, enterrait ses morts.

    La vison d’un néandertal fruste et d’un homo sapiens élégant, intelligent etc. est dépassé.

    Comme les populations étaient très diluées dans l’espace, les rencontres ont dues être relativement rares.

    Beaucoup d’experts admettent que le métissage permet une meilleure adaptation à un environnement changeant, c’est donc quelques chose de « positif » pour la survie de l’espèce.



  • Pierrot Pierrot 8 mai 2010 09:30

    Ce classement ne me semble pas sérieux.
    Prendre en compte le seul critère des émissions de gaz à effet de serre est extrêmement réducteur et ne permet pas de déclaré un pays propre.

    L’impact des émission de polluants métalliques (plomb, mercure, chrome, aluminium...), molécules organiques aromatiques et polycycliques, arsenic, nitrites, ammonium, phosphates, sulfites et sultates, dioxines, furannes, substances influencant la fertilité, virus et microorganismes pathogènes etc. serait plus pertinent et complet.

    Le bon classement de l’Islande est dû, pour l’essentiel, à la faible densité de sa population.

    Mais si l’on prend pour critère les émissions par habitant, l’Islande n’est pas aussi bien classé sur les critères que j’ai mentionnés plus haut.



  • Pierrot Pierrot 7 mai 2010 12:33

    Les questions du journalistes ne sont pas claires.

    Sur le fond, il faut noter que les activités d’enrichissement de l’uranium en isotope 235 (fissile) sont légales au sens du TNP et des règles de l’AIEA.
    Simplement cette activité doit être déclarée et visitable à tout moment (addidif dit 93 + 2).
    C’est ce qui pose problème.

    L’acivité de l’Iran se résume à l’obtention de 1400 kg d’uranium enrichi à 4,5 % en isotope 235.
    Ce n’est rien du tout et cela ne présente pas une activité militaire.

    L’Iran n’a même pas de réacteur plutonifère permettant de fabriquer les isotopes 239 et 241 du plutonium (c’est la voie quei a été utilisée par tous les pays qui ont acquis la bombe !).
    Seul le tout petit réacteur ARAK (50 MW) en est au prémisse de la réalisation.

    Cela laisse du temps, au moins une décennie, pour l’action de la diplomatie (AIEA et le Conseil de sécurité de l’ONU) pour trouver une solution pour fournir de l’uranium enrichi à 19,5 % en isotope 235 pour le petit réacteur de Téhéran destiné à la production d’isotopes à vocation sanitaire (99Tc, 131I ...).

    La France, via AREVA a les moyens technologiques et scientifiques de résoudre ce problème si elle était sollicité.



  • Pierrot Pierrot 6 mai 2010 10:08

    Le texte est un peu « fourre tout » et je ne voie pas ce que cherche à démontrer l’auteur.
    Les données sont exacts : l’aviation civil représente environ 3 % du total des 30 milliards de tonnes annuelles d’émissions anthropiques de CO2.

    C’est relativement faible par rapport à l’ensemble transport et encore plus faible par rapport à la production d’énergie, ou l’industrie ou l’habitat...

    Les émissions récentes du volcan islandais sont très faibles en terme de CO2, de poussières microniques et d’oxydes de soufre, cela n’aura aucune conséquence sur l’évolution climatique.

    La spécificité du volcan islandais est qu’il était surmonté d’un glacier et que l’eau s’est brutalement transformée en vapeur à environ 1100°C ce qui a projetté les cendres à environ 8-10 km d’altitude soit au niveau du trajet des avions.

    Mais le glacier s’épuisera rapidement même si les émissions se poursuivaient pendant plusieurs années ses conséuences redeviendraient négligeables (sauf pour les islandais).



  • Pierrot Pierrot 29 avril 2010 10:28

    Il faut être intellectuellement honnête et dire la vérité.

    La géothermie présente des avantages mais son développement sera freinée par ses inconvénients qui restent permanents dont ceux que j’ai cités : il faut un site favorable au gradient thermique, les coûts d’investissements de forages et de maintenance sont parfois élevés.
    C’est une énergie locale (en cas de production d’eau chaude) pas dans les cas de production d’électricité via la vapeur d’eau surpressée.

    Par contre, l’Islande bien pourvue en volcans actifs et aquifères chauds produit 20 % de son électricité via la géothermie, le reste par l’hydraulique et les énergies fossiles.



  • Pierrot Pierrot 27 avril 2010 12:55

    Il me semble peu probable que l’éolien soit une solution énergétique d’avenir.

    Cette énergie ne se développe actuellement, en France et dans le monde que parce qu’elle est grandement subventionnée.

    Pourquoi pas !
    Mais ce ne sera pas une solution pérenne surtout si la crise économique dure longtemps encore.

    Cette énergie a l’inconvénient d’être très diluée, sujet aux aléas de la météo (20-25% du temps d’utilisation), très cher.

    Son caractère aléatoire impose l’adjonction de centrales thermiques et donc le bilan en terme d’émissions de CO2 est globalement négatif (même l’ADEME commence à l’admettre).

    Sa dispersion géographique sur le territoire impose la construction de nombreux réseaux électriques.

    L’avenir de l’éolien est plus certain avec l’éolien off shore dans la mesure où la maintenance des équipements sera devenue très fiable.

    Mais le vrai avenir me semble être les « hydroliennes » genre d’éoliennes au fond de la mer, actionnées par les courants marins.
    En effet la masse spécifique (ou densité) de l’eau de mer est environ 800 fois plus élevé que celle de l’air et compense très largement la plus faible vitesse du fuide de telle sorte que la puissance électrique est plus élevée.

    De plus pas de rejet esthétique par les habitants ou touristes ... peut être par les marins pêcheurs mais ils sont moins nombreux.



  • Pierrot Pierrot 27 avril 2010 12:36

    Il est vrai que la géothermie est une énergie pleine d’avenir.

    la France est relativement bien pourvue dans ce domaine avec des régions favorables dont l’Alsace, l’Aquitaine, le massif Central et la région parisienne...

    Cependant ce type d’énergie n’est rentable que si le site possède un gradient thermique élevé comme les anciennes régions volcaniques (Islande, Nouvelle Zélande, Mexique, Indonésie, Italie, Californie ...).

    L’autre difficulté concerne la prévention de la corrosion des tubes d’acier du forage par les sels dissous dont les composés chlorés et soufrés. Cela augmente les coûts de maintenance.

    Par ailleurs, en dehors des sites produisant le l’électricité via la vapeur très chaude, les autres sites ont un intérêt seulement local du fait que l’eau chaude ne se transporte pas sur des longues distances.

    Ce qui fait que globalement ce type d’énergie ne se développera que relativement lentement dans le futur.



  • Pierrot Pierrot 27 avril 2010 12:27

    L’évolution d’un « nuage » de cendres" même micronique s’évalue selon des modèles qui ont fait la preuve de leur efficacité.

    C’est certes, évolutif comme tout phénomène météorologique.

    L’auteur ne semble pas avoir une once de connaissance scientifique.



  • Pierrot Pierrot 24 avril 2010 08:52

    Une petite erreur, c’est Becquerel qui a découvert la radioactivité et non Pierre et Marie Curie qui ont découvert le polonium.



  • Pierrot Pierrot 23 avril 2010 16:00

    En fait, actuellement, la production de pétrole augmente peu : de l’ordre de 1 % par an.

    On peut imaginer que pour le futur proche (2020-2040) elles seront stables et pour le futur plus lointain (2040-2060), elles diminueront de 1 % par an.

    Le raisonnement de la durée d’exploitation commerciale est donc juste.

    La principale faille est que, par définition, on ne peut évaluer la quantité de gisements qui n’ont pas été découvert.
    Soir un nombre d’années complémentaires inconnu.



  • Pierrot Pierrot 23 avril 2010 15:55

    Merci Didier Barthès pour vos explications justes.

    A long terme, il me semblerait judicieux de n’utiliser le pétrole (et le méthane) comme matière première chimique et non comme combustible.

    Il conviendrait de mieux extraire le pétrole avec de l’eau surchauffée et donc surpressée grace à une autre énergie que les combustibles fossiles, nucléaire ?



  • Pierrot Pierrot 23 avril 2010 15:42

    Encore un fantasme d’un analphabête !

    Revoir vos cours de sciences du lycée.



  • Pierrot Pierrot 23 avril 2010 15:40

    Il n’a rien compris où il ne lit rien ?



  • Pierrot Pierrot 23 avril 2010 15:39

    Ce qui est caractéristique des émissions du petit volcan islandais c’est la présence d’un glacier au dessus de la chambre magnatique.

    L’eau du glacier ayant été portée vers 1100 °C les fines particules sub microniques de silice ont été projetées à une altitude d’environ 8 Km, altitude où volent les avions commerciaux.

    Rien à voir avec les tempêtes de sable d’origine Sahara ou d’autres volcans sud américain.



  • Pierrot Pierrot 23 avril 2010 15:35

    Des services publiques qui marchaient en France ?

    jamais vu.



  • Pierrot Pierrot 23 avril 2010 15:34

    Les chasseurs bombardiers ne volent pas à la même altitude que les avions commerciaux.

    Elémentaire !



  • Pierrot Pierrot 23 avril 2010 15:32

    Un nuage de particules à 10 micromètres est invisible.

    Elémentaire.



  • Pierrot Pierrot 23 avril 2010 15:31

    Exact Bernard Dugné, la particularité des émissions du volcan islandais est la présence d’un glacier au-dessus de la chambre magmatique.

    L’eau est instantanément portée à une température proche de 1100 °C de telle sorte que les fines particules de silice montent brutalement jusqu’à environ 8 Km d’altitude altitude proche de l’altitude où volent les avions commerciaux.

    La aérosols de silice fondent ensuite dans la chambre de combustion des réacteurs entrainant leur arrêt donc leur chute.



  • Pierrot Pierrot 23 avril 2010 09:37

    Le volcan émet essentiellement de la vapeur d’eau générée par l’évaporation du glacier.

    Il émet marginalement du CO2 et encore plus marginalement des oxydes de soufre et des aérosols de silice.

    Tout cela est négligeable en terme d’impact pour la planète.



  • Pierrot Pierrot 23 avril 2010 09:26

    à captain beefheart,

    les avions représentent bien 3 % des émissions de CO2 mondiales.

    le calcul est simple à faire à partir des tonnages de kérozène utilisés pour les avions.

    Cela est bien inférieur à l’ensemble des combustions du pétrole pour les transports, le chauffage etc... ainsi que la totalité de la combustion du gaz naturel, du charbon du bois et autres matières carbonées.

    Pour ce qui concerne l’arrêt du vol des avions en Europe, le gain d’émission de CO2 est nul car il ne s’agit que d’un report des transports.

    En effet, pour l’essentiel, les passagers bloqués : Américians qui rentrent dans leur pays, Européens en Turquie, Tunisie, Maroc, Grèce, Inde, Chine etc... ils ont pris l’avion quelques jours après et non le train ou le bateau bien évidemment.

    Donc environ 40 millions de personnes gênés, perte de quelques centaines de d’euros pour les compagnies aériennes ... compensées par des gains pour les hôtels ... et aucune conséquence en terme de pollution de l’air ou de variation climatique.