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Les commentaires de Mor Aucon



  • Mor Aucon Mor Aucon 29 juin 2011 12:15

    Pour compléter, vous pouvez trouver des exemples de gestion du capital dans la nature. Les fourmis par exemple, qui font jusqu’à de l’élevage, forment un capital de manière totalement collectiviste. Mais elles sont génétiquement adaptées à ce collectivisme et à la spécialisation du travail, ce qui n’est pas le cas pour l’espèce humaine. Cette négation d’une nature biologique humaine déterminante est d’ailleurs, à mon sens, la cause profonde de la faillite des systèmes économiques collectivistes centralisés et totalement planifiés. Nous ne sommes ni des fourmis ni des ours solitaires.



  • Mor Aucon Mor Aucon 29 juin 2011 12:01

    Non madame. Le simple fait de vouloir construire une maison exige la formation d’un capital, même si dans les sociétés auxquelles vous vous référez, il consiste plus en force de travail qu’en biens. Vous vous laissez aveugler par le mot capital.
    L’économie est un fait naturel qui se développe dès qu’une espèce interagit avec son milieu, c’est pourquoi l’espèce rationnelle qu’est l’humanité se doit de la domestiquer. Vous pouvez détecter facilement dans votre propre économie familiale, à une échelle beaucoup plus réduite bien sûr, des mécanismes de formation puis inversion de capital.
    Sans formation de capital, nous serions des chasseurs-cueilleurs, pas encore agriculteurs, vivant au jour le jour. Personnellement ça ne me dérangerait pas trop mais il me semble qu’il y a beaucoup de gens qui ne seraient pas très d’accord. Vous sentez-vous capable de leur imposer votre romantisme ?



  • Mor Aucon Mor Aucon 29 juin 2011 11:39

    Épargnez-moi une nouvelle manipulation, cette fois plus ou moins victimiste, en faisant allusion aux couleurs qu’auraient mes opinions.

    Vous savez très bien où sont les problèmes chez vous. Ce sont justement vos dirigeants, ceux-là même qui laissent grandes ouvertes les portes des matières premières aux requins néolibéraux généreux avec les portiers mais qui ne donnent que des conneries inutiles au peuple. Ces abus se réduiraient considérablement avec un marché international régulé. Mais vous préférez les monétaristes néolibéraux. Ceux qui ont démontré depuis toujours qu’ils ont besoin de laquais dans le tiers-monde pour leur tenir les portes.



  • Mor Aucon Mor Aucon 28 juin 2011 22:43

    Franchement, vous y croyez à votre dialogue ? Justement Keynes a toujours commencé par exiger l’intégrité des dirigeants des institutions publiques, et non pas basée sur une confiance aveugle idiote sinon sur un contrôle démocratique efficace. Et nous revoilà avec la clique des autrichiens Hayek, Von Misses, Menger, etc.. La pseudoscience appliquée à l’économie. Tout en intuition, pas besoin de chiffres.
    Les néolibéraux descendants de ces illuminés ne sont pas mieux. Regardez les résultats obtenus par les théories de Friedman suivies avec enthousiasme par le nouveau gouvernement formé par le parti de l’indépendance ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_de_l%27ind%C3%A9pendance ) islandais. Au lieu d’inventer des contes de marabout à dormir debout, si vous voulez critiquer Keynes ( ce qui est très possible ) faite-le, s’il vous plaît, sans manipuler et avec du réel.
    Le plus drôlement cynique dans tout cela est que vous attribuez à Keynes les pires défaut du néolibéralisme pour cirer les godasses de ce dernier. Déprimant.



  • Mor Aucon Mor Aucon 28 juin 2011 19:53

    Je pense que vous vous trompez d’ennemi et que cette méprise est provoquée par le groupement sous le terme capitalisme de toutes les modalités de formation et inversion du capital qui est le moteur essentiel de toute économie. Qu’il soit d’état ou de propriété privée, le capital est indispensable à la création de projets même d’envergure réduite. Ce capitalisme existe depuis la révolution agricole du néolithique. Celui né au temps de la révolution industrielle est un cas particulier, une variante particulièrement inadaptée à résoudre les problèmes en vue de l’intérêt général et non de celui du détenteur du capital avant tout.

    Tout le problème réside dans le contrôle de l’usage de ce capital, rendu très difficile voire impossible grâce à des sophismes comme le concept actuel de liberté économique. Celle-ci, tout en étant parfaitement défendable et même indispensable, doit avoir des limites de la même manière que la liberté individuelle de disposer de son propre corps permet de se transformer en machine à tuer en s’entraînant 12 heures par jours aux arts martiaux, mais ne va jamais donner la liberté de l’exercer sur les autres.

    Un autre sophisme est celui de considérer la loi de l’offre et de la demande comme un fait naturel et ainsi prôner sa totale dérégulation puisqu’il est censé s’équilibrer naturellement. Or, le système de formation puis inversion du capital n’a pu naître que grâce à la domestication de la force naturelle des grands fleuves (Nil, Tigre, Euphrate ) aux bords desquels, les premières civilisations agricoles se sont développées. Aucun fait naturel n’est totalement bon ou mauvais pour l’homme, il existe et peut devenir l’un ou l’autre, selon les circonstances. Seul son contrôle par la domestication permet de le rendre, au moins, prévisible et donc bénéfique la majeure partie du temps.

    Je pense, donc, qu’il doit exister une forme de capitalisme moral c’est à dire, respectueux du plus grand nombre d’individus où qu’ils soient situés par rapport au capital. Pour le théoriser, il suffit d’abandonner les idées reçues d’un côté et le cynisme intéressé de l’autre. C’est le pas le plus difficile à faire. J’ai comme l’impression que ce n’est pas pour demain. Mais souvent les cataclysmes font réfléchir et nous y sommes presqu’au bord.



  • Mor Aucon Mor Aucon 28 juin 2011 16:46

    Je trouve très intéressantes toutes les critiques à la mondialisation, sauf quand elles ne sont exposées que par des tracts car je me refuse à n’être qu’une machine à bouffer du télégramme. Je ne vous dis pas cela comme une critique à ce que vous proposez contre la mondialisation dont vous parlez puisque, justement, mon parti-pris contre les tracts m’empêche de télécharger celui vers lequel vous nous dirigez. Si vous pouviez développer ce que vous pensez, je pourrais, peut-être, critiquer ou être d’accord, tout est possible.

    Pour ma part, oui je pense qu’une certaine mondialisation est inévitable et même très bénéfique pour tout le monde. Celle qui est actuellement en marche est, au contraire, catastrophiquement préjudiciable. La cause en est assez simple à voir au final, bien que les solutions à promouvoir le soient beaucoup moins. Il n’y a actuellement, aucun principe de base, commun à tous les peuples, qui puisse réguler l’activité économique mondiale. Contrairement aux droits de l’homme, presque universellement reconnus ( il reste du travail à faire, bien sûr ), qui ont apportés une base solide sur laquelle ont pu s’appuyer les législations locales, dans l’économie la place est vide. Il n’y a aucune base rationnelle et juste qui puisse servir de socle à tout le reste.

    Pourtant, le problème au niveau conceptuel ( qui est bien le premier à régler avant d’espérer pouvoir passer à la pratique ), la solution apparaît évidente, à mon avis. Déclarer des droits économiques universels de l’homme. Un exemple : toutes les délocalisations, qui détruisent les économies productives locales, ont, pour leur majeure proportion, leur origine dans le déficit démocratique ( droits des travailleurs, etc...) existant dans les pays qui les reçoivent et sans que ce déficit n’ait de répercussion sur les coûts de leur production. Bien au contraire, il se transforme en avantage commercial.

    Le protectionnisme depuis l’intérieur leste et appauvrit toujours les économies qui le pratiquent. La mondialisation du protectionnisme ( si je puis dire ), entendue comme une compensation des échanges entre les pays ayant des coûts démocratiques différents me semble la seule voie possible. Compliqué, difficile, long à mettre en place, certes, mais inévitable si on ne veut pas avoir à choisir entre rabougrir la croissance ( la vraie ) ou se voir envahis de produits chinois et autres. Les avantages pour les travailleurs de ces pays seraient évidents aussi, puisque le déficit démocratique cesserait, peu à peu, d’être un avantage commercial important.

    L’adaptation à la demande des marchés locaux auxquels ils sont destinés, des biens circulant sur le marché international devrait aussi être un facteur tenu en compte par ce système de compensation. Les gosses du monde entier n’ont rien à gagner à tous jouer avec les mêmes jouets, par exemple. Cela peut s’extrapoler à une grande quantité de biens culturels et de consommation.

    Pour finir, tout cela ne peut être envisageable, sans un contrôle strict des marchés financiers et des échanges monétaires internationaux à travers, eux aussi, de ce système de compensation. Voila les idées de base que j’aimerai voir, pour ma part, prises en compte à l’heure d’aborder le problème de la mondialisation.

    En résumé, la mondialisation est un phénomène inévitable mais pas celle du fou laissez-faire que nous vivons aujourd’hui. Le but de l’économie est, avant tout, d’éliminer la pauvreté, comme disait Keynes.



  • Mor Aucon Mor Aucon 26 juin 2011 23:16

    M. Santi, ne laissez pas tomber. Les lecteurs d’ici ont besoin de lire vos propos. Beaucoup trop peu de gens osent descendre du carrosse et mettre les pieds dans la gadoue. Pour ma part, je vous en suis reconnaissant.



  • Mor Aucon Mor Aucon 26 juin 2011 23:03

    Quelle comparaison ! La dette de guerre de 1918 en parallèle avec la dette grecque, portugaise ou irlandaise. Lumineux, vraiment.
    Comment pouvez-vous comparer ces deux situations qui n’ont aucune analogie ? Tout cela pour s’accrocher à l’interprétation d’un mot : faillite. Alors d’accord, la cessation de paiement n’est pas la faillite d’un état. On fait quoi maintenant ? On parle de l’article ou on continue à tourner autour du pot.
    Ensuite quand vous dites que ceux qui ne payent pas s’en sortent mieux, à qui vous référez-vous, à l’Islande ? Si c’est le cas étudier un peu plus les détails de l’affaire, la structure de son économie les créanciers hollandais et anglais qu’elle a encore sur le dos, etc... Vous verrez bien.
    Franchement je vous trouve tous très gonflés d’avancer des non sens de tels calibres pour critiquer un article manifestement écrit par quelqu’un qui s’y connaît un tout petit peu plus que vous et moi. S’il se met à écrire techniquement, personne ici ne va rien y comprendre. Alors un peu de bon sens ne vous fera pas de mal.
    On peut ne pas être d’accord, mais dans ce cas il faut argumenter quelque chose de sensé.



  • Mor Aucon Mor Aucon 26 juin 2011 22:39

    Bien dit Goc. Les nouveaux « communistes libertaires » déroulent le tapis rouge sous les pieds de l’ultra-libéralisme. Le surréalisme est mort pour l’art mais survit dans la vision politique, plutôt myope, de ces nouveaux « contestataires ». De la folie douce qui peut terminer assez mal.



  • Mor Aucon Mor Aucon 26 juin 2011 21:35

    Normal qu’un singe ait comme maître à penser économique, un autrichien illuminé comme Von Misses. Mais lisez les propositions de cette clique d’Autrichiens, s’il vous plaît. Ça en devient insupportable. Von Misses et à Keynes ce que Ptolomée est à Einstein.



  • Mor Aucon Mor Aucon 26 juin 2011 21:28

    Tout à fait. M. Santi, et les États-Unis y sont au bord, de la cessation de paiements.

    Les plus navrants de tous ces commentaires sont ceux qui assimilent un ministre des finances à un financier et donc, selon cette vision ubuesque, ce ministre favoriserait le saccage de l’économie par la spéculation.
    C’est tout le contraire messieurs et mesdames illuminés, s’il n’y a pas de police c’est le règne du vol. Bien sûr, que ce ministre peut être plus ou moins de mèche avec les requins, mais ce n’est pas en laissant le poste vide que ça peut s’arranger. Avec des propositions pareilles, il est plus que compréhensible que la grande banque réussisse à faire pression sur les politiques en leur disant : vous voyez ils sont dingues, ne les écoutez pas, ce serait l’’anarchie.

    Un trésor européen et une politique fiscale commune et équilibrée sont les seules chances qu’a l’Europe de s’en sortir. Son éclatement serait une catastrophe, pour tous et chacun des pays qui la compose, de proportions jamais encore connue, à part les guerres mondiales et encore puisque quand les guerres s’arrêtent l’économie redémarre.

    Qui paye les pots cassés lors de genre de cataclysme ? Les moins favorisés. C’est bien la raison pour laquelle La Gourre à Vox m’apparaît comme un repère de petits bourgeois sans cervelles en mal de révolutions romantiquement très connes.Arrêtez de regarder la télé et ouvrez des bouquins d’histoire, Che de salon de thé.



  • Mor Aucon Mor Aucon 26 juin 2011 18:20

    Je ne comprend pas de quoi l’on s’étonne. Elle défend très exactement les mêmes « valeurs » que son père, mieux habillées, moins vociférantes et plus hypocrites, certes ,mais exactement les mêmes. Que ceux qui veulent la voter l’assument d’une bonne fois pour toutes.



  • Mor Aucon Mor Aucon 26 juin 2011 18:06

    À l’auteur,

    Il est tout de même un peu catastrophique votre article. Personne ne peut se réjouir d’une chute de l’économie américaine. Ni les européens, ni les chinois, ni le BRICS tout entier, ni le tiers-monde, personne.

    Par contre on peut se réjouir, à mon avis, de voir que leurs problèmes offrent l’opportunité de forcer plusieurs changements vitaux pour l’économie mondiale comme par exemple :
    - abandon du dollar comme monnaie de référence
    - nationalisation totale ou au moins ampliation du pouvoir du Conseil sur les régions de la Fed ( difficile à cause de la spéciale idiosyncrasie américaine mais pas impossible, après tout )
    - interdiction de pratiques bancaires actuellement à la limite de la légalité
    - contrôle effectif de la finance internationale
    - interdiction des paris sur les marchés mondiaux

    Et tout un tas de mesures d’assainissement des mécanismes qui régulent le flux des capitaux. C’est maintenant ou jamais, je crois. Le problème est qu’en Europe, il n’y a pas grand monde pour oser s’attaquer à la sacro-sainte liberté économique à l’américaine. C’est un bras de fer avec eux qu’il faut, pas un feu de joie, à mon avis.



  • Mor Aucon Mor Aucon 24 juin 2011 23:44

    Non, Monsieur, vous ne démontrez que le fait que vous vous laissez tromper par des propagandes intéressées et pas très futée.

    Une qualité est une propriété qui peut être bonne ou mauvaise. Quand l’émission monétaire folle de Mugabe provoqua un taux d’inflation de 100.000 %, elle reflétait très exactement la qualité de l’économie du Zimbabwe : nulle, morte. C’est très exactement ce que vous explique l’auteur en disant qu’une monnaie stable et à forte demande, reflète une économie en bon état, malgré tout les problèmes qu’on veut lui voir et aussi ceux qu’elle a réellement.

    Profitant du Zimbabwe, vous dire que c’est l’exemple parfait du pourquoi le gouvernement ne peut contrôler la planche à billet et de la nécessité qu’une banque centrale soit autonome.

    D’autre part, la monnaie n’est pas émise par les banques. celles-ci créent une partie de la masse monétaire par le biais du système fractionnaire de réserve.Sans cette croissance de la masse monétaire comment tourneraient les biens dans une économie en croissance, dites-moi ?
    Vous confondez la spéculation qui rogne des centimes de partout en millisecondes grâce au marché continu, les opérations au bord de la légalité comme le camouflage d’actifs pourris et d’autres carrément délinquantes avec le rôle de la banque dans l’économie qui est vital quand il est sainement tenu. Sans financement que faites-vous ? Vous attendez vingt ans pour acheter un bien comme une maison, 4 pour une voiture, 30 pour monter une entreprise malgré que vous ayez une idée géniale,etc.. ?
    Il y a une large différence entre vouloir contrôler la finance et vouloir la faire disparaître ? C’est absurde, ce raisonnement qui fleurit partout. Ça peut se comprendre mais il faut voir la réalité au lieu de croire aux fantasmes. D’ailleurs je vous conseille de chercher qui est à la source de ce genre de théories. Vous allez avoir des surprise et pas des moindres. 



  • Mor Aucon Mor Aucon 23 juin 2011 23:26

    Pour suivre votre métaphore, la création monétaire entendue comme le reflet de la création de richesses dans un espace économique serait quoi, selon vous ? De l’essence, plus ou moins, oui. Du vinaigre aussi, quand la planche à billet est mise en route sans retenue. Avez-vous entendu parler de la rigidité de l’or comme monnaie ?
    Il ne faudrait peut-être pas tout confondre en mettant tous les mécanismes monétaires dans le même sac. Les histoires de retour à l’or sont des comptines à dormir debout. De même que la sortie de l’euro qui parait, pour certains, un discours raisonnable mais n’est que pure chimère irréalisable, heureusement d’ailleurs. Ces discours enveniment les esprits des gens les faisant réclamer des mesures qui, en cas d’être adoptées, iraient clairement contre leurs propres intérêts. Tout cela, plus ou moins habilement manipulé par bon nombre de politiques démagogues cherchant à deviner le sens du vent dans la rue, au lieu de pratiquer le discours clair au sujet de programmes à, au moins, moyen terme. Vous avez l’exemple de la Grèce. Si dès le début de 2010 des mesures énergiques, logiques et rationnelles avaient été adoptées, au lieu de louvoyer un oeil sur les intentions de votes et l’autre sur les compteurs de chacun son morceau du gâteau, l’Europe n’en serait peut-être pas là où elle en est, aujourd’hui. Le pire est que cela continue.



  • Mor Aucon Mor Aucon 23 juin 2011 14:53

    Il me semble que vous dérivez vers le concept fallacieux, tel que présenté par la vidéo ronge-cervelle intitulée Zeigeist et ses séquelles ( Z2, Z3, ..., à la rambo ), d’argent-dette. Comment pouvez-vous nier que la qualité de la monnaie est une des mesures de la qualité de l’économie, de l’espace où l’on opère avec cette monnaie ?
    J’attendais de l’auteur, un technicien ( qui sait donc de quoi il parle, bien plus que nous tous réunis, en tout cas ), une inférence, ouvertement exprimée, vers la situation de l’euro attaqué aussi bien de manière politique ( mieux dit : politicarde, c’est à dire, profitons-en que dans le cochon tout est bon), que monétaire ( mieux dit : il vacille, est en danger, gagnons des sous ).
    Mais il reste assez neutre et c’est louable. Ce n’est tout de même pas une raison, pour lui répondre avec un argument bidon comme l’argent-dette.



  • Mor Aucon Mor Aucon 23 juin 2011 14:15

    Et bien consultez Jorion , lui est sorti de la fac et a mis les mains dans le cambouis jusqu’aux épaules.



  • Mor Aucon Mor Aucon 23 juin 2011 13:32

    Vous avez parfaitement raison de vouloir dénoncer la discipline chimiquement correcte que l’on impose à certains enfants. Par contre, je trouve très dommage que vous vous en serviez pour insinuer une intention de contrôle mental de la population de la part des dirigeants ( pas besoin, il y a la télé pour ça ) et que vous fassiez un gros amalgame avec les drogues, toutes les drogues mises dans un même grand sac fourre-tout.



  • Mor Aucon Mor Aucon 22 juin 2011 11:30

    Ça c’est plus que vrai et c’est un phénomèrne très étudié, depuis peu.
    http://www.blog-anto.be/article-depenalisation-du-cannabis-77291018.html



  • Mor Aucon Mor Aucon 21 juin 2011 23:39

    Bon. Avec ça :

    « bon ceci dit si on quittait le monde des bisounours pour entrer dans le monde plus reel des MENGELE et FRANKEINCHTEIN »

    puis ça :

    « Koprowski est issu de la communauté juive, donc par extension nous sommes obligés d’accorder tous ses actes comme vertueux et formellement interdit de lui reprocher quoi que ce soit. »

    Le problème est résolu. Frankestein, Koprowski ainsi que Iceberg mais pour un autre bateau, sont tous des juifs donc les coupables de tout ce qui bouge et qui coule aussi. D’ailleurs je crois savoir selon des sources que je ne peux pas dévoiler parce que le Mossad est très balaise que le SIDA est juif. Il a changé de nom pour dissimuler. Fo pa cherché pu loin !!!!!!!!!!!!!

    Misère de misère, je m’en vais chez les ours, je crois qu’ils pensent, eux.