• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

barbarossa

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

  • Premier article le 12/08/2017
  • Modérateur depuis le 15/08/2017
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 26 191 499
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 446 356 90
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : nombre de réactions













Derniers commentaires



  • barbarossa 24 octobre 2017 15:56

    @UnLorrain
    Il est relaté 3 tirs confirmés qui ont fait mouche à des distances étonnantes, soit l’américain Chris Kyle, 1900 mètres, le britannique Craig Harrison, 2475 m. et tout dernièrement un canadien à 3450 m !

    Les 3 événements se sont produits en Afghanistan , et en altitude (où le tir est plus précis).
    Calibre 50 (12.7x99mm).
    Evidemment il y a une bonne dose de chance pour faire mouche à ces distances (et une égale dose de malchance pour les cibles), mais personnellement je me sentirais bien plus rassuré coté crosse que coté bouche.
    Le tir à long distance a pas mal d’adeptes, et un tir réussi à 1600 m. est fréquent. Il y a un stand du coté de Clermont-Ferrand qui organise régulièrement des séances d’entraînement.


  • barbarossa 24 octobre 2017 12:15

    Jusqu’à présent les silencieux avaient la forme et la fonction que Desmaretz décrit très pertinemment.

    C’est à dire des dispositifs assez lourds sur le principe des vases d’expansion, qui avaient pour majeur défaut la perturbation de la précision (due aux gaz qui dépassent les projectiles car le calibre des chicanes est évidemment plus grand de celui de la balle) et une efficacité d’une 30 de décibels.
    Ce pour les munitions à balle. Pour la munition à grenaille on a aussi construit des silencieux en trichant : raccourcissement drastique du canon pour augmenter le volume des vases d’expansion, causant une perte de vitesse important (la vitesse max. d’un projectile étant atteinte après env. 60 cm. de course). Et le recours à de la munition subsonique. Fin des années 80 une société française avait commercialisé un fusil de ball trap sur ce principe (nom : swing trap) et s’est plantée dans les grandes largeurs.
    En été 2016 (juillet et août) deux brevets ont été déposés pour un dispositif inhibiteur de son, très léger (moins de 80 grammes) qui ne perturbe aucunement la précision de la munition, et qui ramène le bruit résiduel d’un coup de feu à 72-76 dbA, soit le bruit d’un claquement de doigts. Ceci valable pour toute arme et toute munition, sauf les revolvers à barillet (à l’exception du Nagant). Une extension du dispositif permet de l’appliquer à toute arme auto ou semi-auto pour éviter que les gaz et le son ne sortent par la culasse.
    Je crois qu’on devrait voir apparaître sur le marché ce dispositif courant 2018.


  • barbarossa 4 octobre 2017 16:44

    @Isabelle Bourdebail

    Hulot devrait racheter Tati, pour un juste retour des choses smiley

    Et partir en vacances en se demandant « quel temps fait-il à Paris ? »


  • barbarossa 4 octobre 2017 16:41

    @Fifi Brind_acier
    je me pose toujours la question sur le sexe des personnes derrière des identifiants à consonance féminine, mais là il y a pas des doutes : tu as l’intelligence d’une femme !!! 

    Cela dit au premier degré.
    (Ce n’est pas de la moquerie, j’ai toujours trouvé que les femmes étaient en général bien plus intelligentes que la plupart des hommes). 
    En tout cas tu as les idées bien claires. Bravo .


  • barbarossa 3 octobre 2017 18:51

    On est en train de pleurer on peu sur notre jeunesse passée en nous rappelant nos premiers pas dans cet univers féerique et prometteur qu’était l’informatique à ses débuts.

    En oubliant les interminables heures de codage machine propres à nous rendre bigleux, et qui ont servi à fabriquer les outils plus sophistiqués de programmation.
    Et le temps des Algol, Fortran, Cobol, Pascal et Apl arriva, avec leurs pseudo-codes et leur runtimers. Puis petit à petit d’autres langages plus évolués - mais aux performances plus restreintes - ont fait leur apparition, aux appétits en mémoire vive démesurés.
    Je me souviens d’avoir utilisé une station de travail programmable IBM, modèle 3741, double floppy, clavier et display au langage propriétaire nommé ACL, qui utilisait 4k de mémoire vive dont 1k pour le système résident et 3k de travail. SI vous saviez ce qu’on a pu faire avec ce joujou !! 
    De contrôles entiers de stocks en temps réel, de la compta, facturation, et j’en passe.

    Actuellement on a des outils et de logiciels complexes, et parfois géniaux.

    Mais la connerie humaine sera toujours la grande gagnante. Pour coller à l’actualité et à la tuerie de Marseille où un taré a réussi à berner toutes les forces de l’ordre par 7 fois en se présentant sous des identités différentes, est-ce qu’il n’y a pas quelque part quelqu’un pour expliquer aux géniaux informaticiens en charge des logiciels ce que c’est un fichier auxiliaire à clé unique dans lequel enregistrer en premier les codes empreintes digitales et adn, opération qui signale une erreur en cas de doublons ?
Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv