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  • Premier article le 13/02/2009
  • Modérateur depuis le 13/04/2009
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  • Le petit département éclairé 17 février 2009 16:18

    Un impot progressif augmente avec le revenu de l’individu ou du ménage. C’est le cas de l’impot sur le revenu. Son but est d’atténuer les inégalités de revenus que produit spontanément l’économie. Un impot proportionnel taxe à l’identique tous les revenus ou tous les actes économiques (ex la TVA) A priori il est neutre en termes d’échelle des richesses. 

    C’est justement ce qui convient aux néolibéraux dont le souci est de permettre aux individus de récolter le bénéfice de leur effort, de ne pas être découragés par l’Etat. Pour reprendre une belle expression de se courant de pensée, lutter contre la progressivité de l’impôt c’est permettre à chacun d’être l’entrepreneur de lui même...Cela passe , dans un premier temps, par une "activation’ des aides sociales puis par le bouclier fiscal

    Ex : un rmiste qui accède à un smic paie des taxes nouvelles et perd des aides ...il n’est plus incité à travailler donc on le subventionne via la PPE (s’il est à temps plein). Pour aller plus loin on met en place le RSA qui est plus universel et touche un plus vaste public parmi les plus modestes. 

    Pourquoi "stade suprême du néolibéralisme" ? 
    Le but de ce genre de réforme est de lisser la façon dont les taux d’imposition augmentent avec le revenu et même de fixer un plafond ,le plus bas possible (ex : bouclier fiscal à 50%) Dans l’idéal néolibéral tout le monde devrait imposé au même taux. C’est l’impôt proportionnel. L’idée est qu’il vaut mieux que tout le monde paye un pourcentage modeste de son revenu que concentrer l’impot sur une minorité de "riches" tellement préssurés qu’ils cherchent à frauder, à explorer des niches fiscales ou se délocaliser. . 
    L’impôt proportionnel est aussi le plus transparent car facile à comparer entre lespays. 

    Le vieux libéralisme prenait acte du souci des société démocatiques de combattre les inégalités de revenu. Le néolibéralisme s’en sépare totalement. Ce qui compte c’est de donner aux individus de bonnes incitations ...le marché rémunérant les résultats et non pas les bésoins ou les mérites. A la limite on aidera les plus démunis à condition qu’ils travaillent et on préfèrera le RSA a" l’assistance". 






  • Le petit département éclairé 16 février 2009 13:19

    OK pour la Taxe Tobin mais à la racine des transferts d’épargne de l’Asie émergente vers les Etats-Unis il y a une incongruité remarquée par Michel Aglietta : l’absence de société salariale des deux côtés du pacifique qui conduit au surendettement et à un financement marchand de la protection sociale. Qui a dit que la social démocratie n’avait pas d’avenir ? 



  • Le petit département éclairé 16 février 2009 13:19

    OK pour la Taxe Tobin mais à la racine des transferts d’épargne de l’Asie émergente vers les Etats-Unis il y a une incongruité remarquée par Michel Aglietta : l’absence de société salariale des deux côtés du pacifique qui conduit au surendettement et à un financement marchand de de la protection sociale. Qui a dit que la social démocratie n’avait pas d’avenir ? 



  • Le petit département éclairé 16 février 2009 12:38

    L’hypothèse de la "trappe à liquidité" repose explicitement sur une rémunération nulle ou faible de la monnaie. Le privilège de la monnaie étant sa liquidité, Il suffit que l’anticipation d’une dévalorisation des créances négociables soit partagée par une majorité d’acteurs pour que la monnaie devienne une valeur refuge. On peut se demander si une telle situation n’est pas sérieusement envisagée par les autorités monétaires américaines. En effet, la FED vient de déclarer qu’elle était prête à utiliser des mesures exceptionnelles et en particulier à acheter des titres d’Etat pour pallier une pénurie de demande en provenance des angents privés. C’est la bonne vieille méthode de "planche à billet" , qui est le seul moyen de financer une relance budgétaire en cas de préférence absolue des agents pour la liquidité.

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