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ddacoudre

ddacoudre

poète essayiste militant à la retraite.
La vie commande d’être convaincu qu’il y a un absolu où tout ce que nous concevons s'écroule, Il faut donc comprendre que celui qui dispose d’une certitude absolue peut se suicider car c’est un mort vivant et ne peut développer pour vivre que la mort qu’il porte.
 

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  • Premier article le 06/06/2007
  • Modérateur depuis le 27/06/2007
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Derniers commentaires



  • ddacoudre ddacoudre 11 novembre 2009 11:50

    bonjour olivier

    ce débat sur dieu est essentiel car il pose la question, à savoir, vers quoi allons nous attacher notre existence devant l’ignorance des raisons de celle-ci.
    aujourd’hui il nous parait facile d’en traiter car nous bénéficions du legs de nos prédécesseurs, de leurs interrogations et des édifices qu’ils ont dressé, de leurs peurs, pour se rassurer.
    ne pas reconnaitre le caractère politique de la religions est une erreur d’analyse. ce n’est pas parce que notre pays a su faire dans la douleur la séparation de l’église et de l’état que sa fonction politique a cessé, car c’est elle qui a commandé et commande encore, nos valeurs dites républicaines épurées de tous les rituels barbares qui figurent dans les dogmes religieux qui se sont confrontés aux religions grecques romaines.

    également nous ne pouvons pas retenir dans l’analyse, que les civilisations comme celles Égyptiennes, qui comptaient des élites où l’initié instruisait l’initié, et dont le savoir échappait aux population par absence de moyen de diffusion, (ce qui n’est pas notre cas).
    toutes les fresques que nous avons découvertes ne sont pas de l’art comme bêtement parfois nous le disons mais un moyen d’éducation des populations, étaient ignorantes.

    la lecture des textes religieux fait parfaitement comprendre deux choses, un la grande compréhension que les élites de ces temps anciens avaient de l’humain ; malgré les erreurs qui jalonnent ces écrits par leurs interprétations, deux que la vulgarisation de leur savoir par l’usage de la parabole s’adressaient à des populations illettrées.

    c’est ainsi qu’il faut s’affranchir de la lettre pour y retrouver l’esprit. dans l’exemple que tu développes, il est une erreur fondamentale de retenir du massacre des enfants par dieu qu’il est est dieu atroce.
    nous sommes là dans la lecture « intégriste ». alors que si l’on veut, l’on peut y comprendre que les hommes, qui ont rapporté cela,comprenaient la cruauté du monde dans lequel ils vivaient. quand l’on remplace dieu par « la nature » ou « la vie » nous entrons dans un autre paradigme.

    la difficulté des religions est leur analyse par rapport à la vérité, leur écrit sont dogmatiques donc déterministes, si la nécessité d’ordonner des populations qui s’amassent par la sédentarisation dans des espaces restreints a poussé à l’élaboration de modèles déterministes, il est difficile de dire si à leur l’époque ils possédaient la connaissance de l’existence aléatoire du monde que notre « humanité » nous transmet, et qui est source d’évolution, ou d’expansion pour l’univers.
    bien qu’il semble qu’ils aient compris plus que nous que nous n’étions pas responsables de notre existence et que l’on ne pouvaient connaitre le monde objectif que par le changement d’état de notre corps via la mort, comme l’eau devient gaz ou glace.

    il est une erreur bien compréhensible de renvoyer à dieu nos actes atroces que nous commettons tous comme nos actes d’amours. cela signifie que nous sommes incapables de discerner les mécanismes qui nous y conduisent. et qui sont parties intégrantes de la vie « prédatrice »et recyclable.

    aujourd’hui la science ouvre des portes de compréhensions, mais force est de constater qu’il faut lui laisser le temps d’entrer dans les esprits. nous le faisons le plus souvent sous forme de confrontations qui apportent plus de rejets que d’assimilation.
    c’est regrettable mais ce n’est qu’un visage du besoin chez l’homme de ne pas douter. accéder au monde de l’incertitude sans se perdre est une longue route bordée de bifurcations ou l’on peut autant s’y perdre que trouver l’innovation utopique.

    je termine sur une jolie parabole car je ne peux en une phrase expliquer cela, comme les anciens dans un livre ne pouvaient expliquer la vie.

    merci pour ce débat.

    cordialement.



  • ddacoudre ddacoudre 11 novembre 2009 10:37

    bonjour christian

    les erreurs du regard sont bien connus, elles tiennent à la position de l’observateur qui est singulière, la nécessaire affirmation de la perception d’un évènement pour ne pas être pollué par le doute, l’emporte toujours, mais deux explications divergentes devraient nous interroger, certains le fond, chez d’autres la conviction l’emporte. il en est ainsi depuis des lustres, la science en a fait la démonstration, le hors jeu au foot-ball a démontré les affrontements que cela soulevait, ce n’est pas inutile de le rappeler.

    j’ai bien aimé l’humour de furtif et revène sur le sujet il ne faut pas s’en offusquer.

    cordialement.



  • ddacoudre ddacoudre 10 novembre 2009 18:47

    bonjour geneste

    personne n’a relever l’utilité des erreurs. geneste notre existence se déroule sur le mode échec, elle est partout présente et elle nous fait peur.



  • ddacoudre ddacoudre 10 novembre 2009 18:41

    bonjour dugué

    juste mais un peu court, sans moyen de communication comment aurions pu avoir peur d’un événement dont nous n’avons pas connaissance.
    ce qui transforme notre société est moins les événements par eux mêmes que les moyens par lesquels nous les exploitons. les moyens de communications, les médias ou plus justement les faiseurs d’opinions.

     nous jouons plus avec les racine profonde de l’humain où la peur y est inscrite comme moyen de sauvegarde de son existence qui va de la soumission à l’affrontement.
    je crois que le 11 septembre à ouvert la porte à la manipulation de masse à une échelle que ne disposaient pas celles qui se pratiquait avant, et qui brouille les repères et la nécessaire crédibilité et confiance que doivent avoir les êtres les uns envers les autres pour pouvoir former une collectivité ou une communauté sociale. ce débat sur l’identité est le patent reflet de cela. je pencherais plus vers la défiance que vers la peur, car la défiance pourri les rapports humains et désigne toujours un bouc émissaire.

    cordialement.



  • ddacoudre ddacoudre 10 novembre 2009 18:21

    re monica

    oui nous sommes loin de cela, car ce thème est devenu un enjeu électoraliste, car nous avons les moyens thérapeutique de le faire.

    nous sommes entrés dans une phase de régression qui dénote avec l’élévation des connaissance et des savoirs. depuis trop longtemps nous avons confié notre destin qu’a des marchands, et au lieu d’instruire les hommes ils formatent en outils de travail.

    cordialement.

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