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Pierre

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Je suis passionné par l'Histoire des nations. Je pense qu'on ne peut pas trouver de solution à un conflit si on n'a pas profondément étudié l'Histoire des parties en présence.
Je suis l'actualité internationale depuis plus de 35 ans.
J'aime me ressourcer en montagne. Longs treks dans les Alpes ou dans l'Himalaya, seul ou avec des amis.

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  • Premier article le 27/08/2011
  • Modérateur depuis le 01/12/2011
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Derniers commentaires



  • Pierre Pierre 28 novembre 2013 14:28

    Je suis d’accord avec OuVaton. Les valeurs « universelles » occidentales ne sont pas sur le point d’être acceptée en Ukraine. Je veux dire : le mariage pour tous, la profanation du sacré, la venue d’immigrés non slaves, le prosélytisme d’une autre religion que l’orthodoxe, etc. 



  • Pierre Pierre 28 novembre 2013 00:59

    @ Bruce Baron,

    Je plaisantais évidement. Votre idée est sympathique mais il faudrait d’abord définir de quelle Europe on parle. Un marché économique ? Une puissance politique ? Une puissance militaire indépendante ? Les trois à la fois ?
    Vous excluez la Russie mais depuis Pierre le Grand, elle fait partie de l’Europe. Elle a participé aux guerres européennes, contre la France de Napoléon ou avec la France lors des deux guerres mondiales. Et son apport littéraire à l’Europe : Pouchkine, Tolstoï, Dostoïevski, Tchekhov... En musique : Tchaïkovski, Stravinski, Chostakovitch... En peinture : Kandinsky, Chagall, Soutine... c’est quand-même pas des Mongols !
    Historiquement, l’Ukraine ou la Bielorussie n’ont jamais plus fait partie de l’Europe que la Russie.
    Je vais vous dire le fond de ma pensée. Si l’Europe, celle de l’Union européenne, n’était pas une sous-province des États-Unis, il y a longtemps que l’Europe aurait été jusqu’à l’Oural et même au-delà



  • Pierre Pierre 27 novembre 2013 23:52

    Heu... Si l’Europe va jusqu’à l’Oural, il faut y inclure la Russie d’Europe. Dans ce cas, autant aller jusqu’au Pacifique !  smiley



  • Pierre Pierre 27 novembre 2013 23:37

    Moi, je garde un très mauvais souvenir de cette place. Cela date des années 70.



  • Pierre Pierre 27 novembre 2013 23:26

    Bonsoir Joukov,

    Merci de continuer à nous informer des évolutions de ce dossier ukrainien.

    J’en fais de même de mon côté.

    Voici quelques conclusion auxquelles je suis arrivé aujourd’hui.

    • Les Européens ont été complètement abasourdis par la décision de Victor Ianoukovitch de suspendre la signature de l’accord. Ils ne s’y attendaient pas et on les voit maintenant se rejeter la responsabilité de cet échec entre eux.

    • De grands groupes européens comptaient sur cet accord pour investir le marché ukrainien et par ce biais pénétrer le marché russe sans devoir négocier un accord avec la Russie. Ils en sont pour leurs frais. Ils comptaient aussi faire main basse à vil prix sur les fleurons de l’industrie ukrainienne. Là aussi, c’est raté.

    • Une majorité d’Ukrainiens désire ce rapprochement avec l’Occident mais ne connait pas les termes de cet accord qui est d’ailleurs quasiment secret.

    • L’énorme majorité des Ukrainiens ne veut pas entrer dans l’OTAN et veut rester hors des alliances. Ils feraient bien d’apprendre ceci : «  Il se trouve que l’accord d’association que s’apprête à signer l’Ukraine comporte une clause sur la coordination de la politique militaire extérieure. Proprement dit, l’armée ukrainienne comme telle sera anéantie et il ne restera qu’un « Centre des opérations spéciales » qui devra participer aux opérations militaires de résolution des crises aux côtés de l’UE. Ainsi, sans être encore entrée dans l’OTAN, l’Ukraine se retrouvera, par-rapport à la Russie, de l’autre côté de la barricade. »

    • Ce dossier est très important pour les États-Unis. Il fait partie de la stratégie de refoulement de la Russie avec le guerre du gaz et le bouclier anti-missiles.

    • Barack Obama ne peut pas se permettre de laisser Vladimir Poutine obtenir une nouvelle victoire politique. Les États-Unis ont investi énormément d’énergie dans le dossier ukrainien. Il y a un lobby militaro-industriel néoconservateur aux États-Unis qui continuera à mettre une énorme pression sur le président.

    • Le conflit syrien va se terminer dans les prochains mois sans doute à l’avantage de Bachar al Assad et il permettra aux Russes de revenir au Moyen-Orient. Attendons-nous à une très dure confrontation entre les États-Unis (via l’Europe) et la Russie sur le dossier Ukraine en contrepartie.

    Voici ce que je répondais à Hieronymus il y a deux jours : « J’ai l’impression que cette affaire ne fait que commencer et qu’il va encore y avoir beaucoup d’éléments nouveaux. Je suis en mode « wait and see » pour le moment. »

    J’ai l’impression que les prochaines semaines vont être assez tumultueuses.

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