• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Garnier Denis

Garnier Denis

Pour moi l'écritire permet de clarifier sa propre pensée et la lecture de la faire évoluer. Pour réaliser un arrêt sur image, ou sur connaissances, j'ai publié deux livres qui exposent les conséquences de l'économie mondialisée sur le monde du travail.
"Libérez-vous ! De l'économie contre le travail" et "l'Hôpital disloqué"
A lire absolument.
 

Tableau de bord

  • Premier article le 22/01/2008
  • Modérateur depuis le 19/07/2008
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 41 112 985
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 13 12 1
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : nombre de réactions













Derniers commentaires



  • Garnier Denis Garnier Denis 25 août 2011 19:12

    A la lecture de cette note il apparait que Frédéric Lordon est un brillant universitaire mais pas un révolutionnaire. L’économiste qu’il est et sa vision de ce qu’il faudrait faire est intéressante.

    Pour le reste, je sais que j’aime le bon vin mais je ne sais pas le faire. Les viticulteurs ne me rejettent pas pour autant car il faut beaucoup d’amateurs pour qu’ils puissent vivre de leur travail. Il faut beaucoup de livres et de textes pour partager le savoir nécessaire au changement.



  • Garnier Denis Garnier Denis 25 août 2011 13:26

    Frédéric Lordon est un économiste que je lis. Ses analyses sont pertinentes. Il y en a beaucoup qui partagent ce point de vue et qui souhaitent un retour de l’économie réelle. Sauf qu’ils sont quasiment interdit d’antenne ! Reste internet et le livre.

     



  • Garnier Denis Garnier Denis 25 août 2011 13:20

    Je trouve votre commentaire meilleur que mon texte. Non c’est pour jouer !

    Mais sans jouer, il est trés bon !



  • Garnier Denis Garnier Denis 25 août 2011 07:57

    Outre le fait que votre diatribe est un peu longue pour être compréhensible, je pense que vous devriez écrire des articles pour fixer votre pensée plutôt que de seulement commenter ceux des autres.

    Sur le contenu rien à dire, c’est votre pensée. La seule question qui me vient c’est : avez-vous la volonté de convaincre ? Je ne le crois pas ! Vous fustigez tout le monde de l’extrême droite à l’extrême gauche en passant par les syndicats. En partant du principe « j’ai raison vous êtes tous des cons » on s’interdit d’attirer des partenaires. Donc, vous avez certainement raison, mais tout seul. C’est un peu léger pour transformer le monde. Ce qu’il y a de certain c’est que le monde est réel. Il y a dedans des gens d’extrême droite à l’extrême gauche, des syndicalistes, j’en suis, et des anarchistes et même des gens comme vous. Il faut faire avec. On joue avec l’équipe que l’on a, et l’on arrivera à changer le monde si patiemment on est convaincant. Vous avez raté une occasion.

     



  • Garnier Denis Gardarist 15 août 2011 10:34

    « dépenses publiques 58% du PIB »

    C’est certainement vrai. Rien que celles de la sécurité sociale représentent 450 milliards par an et le budget de l’Etat environ 300 milliards. Si l’on ajoute a cela celles des collectivités territoriales votre chiffre doit être le bon. Et alors ?

    J’ai, avec d’autres intervenants dans ce forum, tenté d’expliquer que si le système d’avant 1973 était resté en l’état, il n’y aurait pas de dettes aujourd’hui. Rappel, les intérêts payés annuellement représentent 50 milliards d’euros, (3% du PIB) soit plus que la collecte de l’impôt sur le revenu et plus que les dépenses totales de l’éducation nationale. Vous pouvez ainsi comprendre (en partie) comment les banques obligent les Etats à dépenser plus qu’ils ne gagnent. Le poids de la dette ne cesse d’augmenter. En l’annulant le budget est en quasi équilibre.

    Concernant les dépenses qui vont au delà des recettes (sans parler des intérêts de la dette) il s’agit essentiellement de l’investissement. Vous dîtes 3% du PIB, cela représente 54 milliards d’euros par an.

    Le déficit annuel de la France se résume en fait au poids des intérêts de la dette et l’investissement.

    Donc je suis d’accord avec vous : « La classe moyenne socialiste fiscalisable en a marre de supporter le poids fiscal de ces choix politiques »

     

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv