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Luigi Chiavarini

Luigi Chiavarini

Humaniste, Fondateur du thinktank Harmonia Micro-Taxe (www.microtaxe.be) ex-Professeur d'économie et de finance auprès d'Investa Euronext Bruxelles . L'objectif de mes interventions est de donner les clés d'analyses de l'économie afin d'en décrypter les mécanismes pour mieux les maîtriser. 
 

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  • Premier article le 30/01/2006
  • Modérateur depuis le 08/03/2006
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Derniers commentaires



  • Luigi Chiavarini Luigi Chiavarini 15 mai 2007 08:53

    Votre analyse défend avec ortodoxie la pensée unique , votre status d’enseignant pourrait justifier votre position, mais si nous prenons un autre point de vue , moins « politiquement correct » voici ce qui pourrait en resortir :

    Le capitalisme c’est l’exploitation du travail collectif(production de valeur ajoutée) à des fins d’enrichissement personnel , sous l’allibi de la propriété des moyens de production (le capital). La finance c’est la promesse de transférer le capital dans le temps en le faisant croître en ayant pour seul garant la confiance des acteurs dans le systéme (financier). Le neo libélarisme est la doctrine politique qui favorise l’existence des deux réalités précédentes avec pour objectif de les développer à l’exces voire jusqu’au suicide environemental et social. Il découle de ces deux définitions que les trois pilliers du temple libéral sont Capital, Croissance, Confiance si l’un d’entre eux vient à faillir : l’édifice tombe.



  • Luigi Chiavarini Luigi Chiavarini 15 mai 2007 08:23

    ce commentaire se référe à l’idée de frederic lardon qui vise à évter les exces de la finance



  • Luigi Chiavarini Luigi Chiavarini 15 mai 2007 08:19

    Votre approche didactique vous honnores, mais il ne faut pas , par souci de simplification, cacher la vraie finalité de la finance : La promesse de transférer le capital dans le temps en le faisant croître en ayant pour meilleur allié la confiance des acteurs.(et une promesse n’engage que ceux qui y croient) Le probléme est que ce systéme financier est excessif à en devenir paranoïa : Une des raisons majeure de la démesure de l’exploitation des ressources de production humaine et naturelle est la cupidité aveugle et non régulée des détenteurs du capital. Le reflexe absurde qui implique que ce qui est exceptionnel aujourd’hui devienne la règle demain entraîne la financiarisation de l’économie qui exige, « légitimement », des retours sur investissement irraisonnable. Lorsque le capital était encore industriel (détenu par le propriétaire entrepreneur de l’entreprise) un retour sur investissement de 3 à 6 % était considéré comme honorable, aujourd’hui le capital étant devenu essentiellement financier (détenu par les fonds de pension ou autres intermédiaire financier banque-assurance) un taux de 15,20 voire 30% est considéré comme "minimum olympique”. Il est dès lors évident que cette pression à pour effet d’obliger les patrons d’entreprises (à la solde des actionnaires par l’entremise des stocks option, golden parachute ou prime de licenciement honteuse) de mettre sous tensions leurs ressources, jusqu’à des degrés de maltraitance comparable à celle subie par les contemporains de « germinal » ; la solidarité en moins.... Ceci étant posé, l’avidité non normée étant la cause des excès suicidaires de cette oligarchie actionnariale, ne pensez vous pas qu’il serait souhaitable, pour le bien du plus grand nombre, de légiférer sur l’application d’une marge actionnariale limitée, plafonnant le retour sur investissement à un pourcentage soutenable (5-6% par exemple : taux intérêt placement sans risque 3%+ prime de risque 2-3%) ? Tout surplus pourrait être versé au trésor public afin de financer des opérations d’utilité sociale (barrière à la paupérisation, logement pour tous, caisse maladie, éducation, recherche, retraite, rémunération des mères ou pères désœuvré éduquant leurs enfants..) et environnementale (piège à CO², énergie renouvelable, stockage énergie thermonucléaire...). Pourriez vous défendre cette façon de concevoir les politiques nationales dans le long terme permettant de solutionner à court terme les problèmes de précarisation de nos concitoyens et d’envisager la viabilité de l’humanité comme étant possible à l’horizon de ce siècle ?



  • Luigi Chiavarini Luigi Chiavarini 12 mars 2006 11:11

    Vous conviendrez qu’une dette doit par définition être remboursée , dès lors qui le fera si nous n’en sommes pas capable ? Les générations suivantes ? Rembourser qui ? Comment, quelle principe ? Notre système financier en vigueur depuis une trentaine d’année ((bretton Woods) sera t’il encore actif dans 10-20-30 ans ?

    Non décidèmment laissons le virtuel , qu’il s’agisse de l’argent ou des croyance religieuse à ceux qui n’ont pas conscience que nous ne sommes que des poussières d’étoiles qui pouvons avoir conscience de l’être, et c’est là qu’est la seule réalité.

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