Gelezinis Vilkas

Intéressant. Merci.

Farage, marié à une allemande, n’est même pas capable de comprendre l’idée européenne. C’est cela qui est pathétique, même si le personnage est par ailleurs plutôt sympathique. En outre, dénoncer l’immigration de roumains ou de bulgares sans dénoncer celle issue d’une commonwealth, c’est simplement idiot.

Quant à vos insultes, elles m’honorent car elles démontrent que j’ai raison. Vous êtes dans l’invective, donc dans la crétinerie. Ca ne m’étonne pas des europhobes, dont les thèses reposent sur du vent, et encore je suis trop gentil.

Quant à vos élucubrations sur la non-virilité de vos interlocuteurs, je la prends pour ce qu’elle est, à savoir que vous prêtez à autrui vos propres défauts.

UPR venu en masse : +7
Laurent Watrin tout seul : -6

Les hyènes triomphent toujours d’un lion isolé. Ca n’en fait pas des lions pour autant.

Cher Hunter,

Que d’insultes inutiles dans votre propos. Quand on parle de « patrie européenne », ça veut dire qu’on n’est pas un apatride, ni un cosmopolite. Ca veut dire qu’on considère que le pays de ses pères, c’est l’Europe. Et c’est une évidence. Vos « nations » n’ont objectivement que deux siècles d’existence... même si un processus d’unification plus ancien était souvent à l’oeuvre.

Qui est patriote ? Celui qui veut l’Europe aux Européens !
Qui est anti-patriote ? Celui qui veut d’une France souveraine ouverte aux flux migratoires du monde entier.

Quant à la nationalité française, donnée à n’importe qui, elle n’a en effet plus aucune valeur. Il faut donc oser la supprimer purement et simplement pour la remplacer par une nationalité européenne qui, elle, sera réservée aux seuls ayant droits naturels.

Quant à la langue de l’Europe, c’est fondamentalement la langue-mère parlée par nos ancêtres il y a 7000 ans au moins, langue qui a engendré 99% des langues européennes modernes, le « proto-indo-européen ». Avant le latin, avant le grec. Avant le français, l’anglais et l’allemand.

@ Sarah

C’est bien vu. Une telle obstination à vouloir nuire à l’idée d’Europe unie ne peut que servir les intérêts des mondialistes de Washington et de Bruxelles.

Qu’on le comprenne bien. Les technocrates de Bruxelles sont au moins aussi europhobes qu’Asselineau et consorts. Ils ne sont pas l’Europe véritable. C’est elle que nous devons bâtir. Contre les nationalistes de Paris ou de Berlin, contre les mondialistes de Bruxelles et de Strasbourg !