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jidejeandominique

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Français né en 1946. Après une vingtaine d'années comme "humanitaire", principalement dans le domaine juridique, j'ai enseigné le droit pénal international. Je suis docteur en droit et titulaire d'un master de sociologie. Je me suis depuis quelques années spécialisé dans le droit des conflits armés et je réponds à des missions d'enseignement de cette matière dans plusieurs pays du proche-orient. Ma thèse a porté sur "L'amnistie des crimes de masse applicable à de simples exécutants". Par ailleurs, et dans le domaine de la sociologie, je prépare plusieurs livres en rapport avec l'adolescence.

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  • Premier article le 05/10/2006
  • Modérateur depuis le 05/10/2009
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Derniers commentaires



  • jidejeandominique jidejeandominique 5 octobre 2006 17:59

    Merci de vos compliments. Il est en effet légitime que les bailleurs de fonds (qui ne sont pas nécessairement les donateurs, c’est à dire ceux qui sortent l’argent de leur poche) souhaitent voir l’utilisation qui est faite de leurs dons. Ils ont eux-mêmes des comptes à rendre.



  • jidejeandominique jidejeandominique 5 octobre 2006 17:36

    A cause de la rigidité des contrats passés entre les ONG et leurs bailleurs de fonds, qui interdisent de tels transferts.



  • jidejeandominique jidejeandominique 5 octobre 2006 14:19

    Il est en effet très fréquent de retrouver sur les marchés des produits distribués par les ONG ou les agences de l’ONU. Cette situation peut résulter toutefois de processus divers. Par exemple, j’ai dirigé une très grosse opération de distribution de « kits familiaux » au Kosovo, juste avant l’hiver 1999-2000 ; pour des motifs techniques, il aurait été impossible d’adapter ces kits aux compositions exactes des 60000 familles bénéficiaires (nombre, âge et sexe des enfants) ; nous savions donc parfaitement, bien qu’avoir composé nos kits avec le plus de rigueur possible, que des trocs s’ensuivraient, et pourquoi pas des mises sur le marché. Ce n’est pas trop grave dans la mesure où ce que nous souhaitions c’est d’aider les plus vulnérables, que ce soit avec les produits de nos kits (vêtements, hygiène...) ou avec l’argent qu’ils obtiennent par leur revente. Ce que je dénonce, et que vous semblez dénoncer également, c’est la distribution à des personnes qui n’en ont pas besoin, au détriment naturellement de celles qui en auraient vraiment besoin. Ce que je dénonce également, c’est cette course folle à la visibilité, qui oppose les ONG les unes aux autres, malheureusement au détriment des populations meurtries.



  • jidejeandominique jidejeandominique 4 octobre 2006 18:52

    Ma réaction, ou plutôt la piste de réflexion que je propose c’est un examen de la situation des collèges et des lycées français concernant la place toujours plus prépondérante des femmes parmi les enseignants de ce niveau. En disant cela je ne veux pas dire que les auteurs de ces agressions n’auraient pas agi de la même manière si leur prof avait été un homme ; mais, comme ancien principal de collège (il y a 30 ans !), je pense que des jeunes aussi lâches - et il y en a - y auraient peut-être regardé à deux fois avant d’adopter un comportement aussi agressif, si leur prof avait été un homme. La mixité du corps enseignant est une richesse, mais sa féminisation quasi complète me paraît extrêmement préjudiciable à la formation des élèves et problématique pour la sérénité des établissements secondaires.



  • jidejeandominique jidejeandominique 4 octobre 2006 16:50

    Ce n’est certes qu’une ligne sortie de votre article, mais elle ne plaide pas en votre faveur. Je vais quand même vous accorder le bénéfice du doute, puisque nous parlons de justice, et vous apprendre ceci : le pape n’est pas infaillible, ce qui serait grotesque ! L’infaillibilité du pape, qui est un dogme reconnu par l’Eglise catholique, ne s’applique que dans des circonstances tellement exceptionnelles qu’il est au mieux (ou au pire) invoqué une fois par siècle ; la dernière fois remonte à 1950, pour proclamer l’Assomption de Marie, à laquelle la grande majorité des catholiques croyait depuis longtemps. Sans rancune.

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