jjwaDal

@Werner Laferier

Pas mieux ...  

Il faut souhaiter bonne chance aux Suisses, car le problème de la création monétaire et sa « rémunération » est le « scandale des scandales ».
Son mode actuel de fonctionnement permet de rançonner les individus comme les Etats, au point de vampiriser la richesse concrète des peuples.
Un système dans lequel l’argent manque pour financer des dépenses sociales vitales, voire plus simplement pour ne pas asphyxier la consommation est un système à minima gravement déficient, a maxima conçu pour transférer les vrais pouvoirs à des intérêts privés et plus concrètement à une infime minorité non élue de la population.
Comment l’argent peut-il manquer alors qu’on le crée en « claquant des doigts » ?
Pourquoi a t’on condamné les Etats à se faire rançonner par les marchés financiers alors qu’une banque centrale publique (Dakota du Nord) peut à la fois prêter à l’Etat à taux zéro et « rançonner » les banques de prêts au profit de la puissance publique (qui d’un côté à des emprunts moins lourds à rembourser et de l’autre à une source de revenus) ?
Comment l’argent créé en « claquant des doigts » (pour l’essentiel) peux voir sa rémunération croître au détriment de celle du travail ?
On peux d’ailleurs se demander si le banquier qui vous prête 200 000 € pour financer une construction de maison ne se rémunère pas mieux que celui qui la fabrique... A ce tarif on pourrait tous se reconvertir...
Pas le temps de détailler mais un sujet crucial à explorer pour tout le monde.

@joletaxi
Dominique Plihon :« « La monnaie crée se concrétise par une inscription au compte du client emprunteur qui figure au passif du bilan bancaire ; la contrepartie est inscrite à l’actif à un poste créance sur le client. Le remboursement du crédit aboutira, de façon symétrique, à une destruction de monnaie en diminuant à la fois l’actif et le passif du bilan bancaire. La masse monétaire, constituée essentiellement par la monnaie scripturale, s’accroit lorsque les flux de remboursements sont inférieurs aux flux de crédits nouveaux (…) » (Dominique Plihon est professeur d’économie à l’université Paris Nord où il dirige le DESS « Banque, finance, gestion des risques » après avoir occupé la fonction d’économiste à la Banque de France et au Commissariat général du Plan ).

Maurice Allais : « Par essence, la création monétaire ex nihilo que pratiquent les banques est semblable, je n’hésite pas à le dire pour que les gens comprennent bien ce qui est en jeu ici, à la fabrication de monnaie par des faux-monnayeurs, si justement réprimée par la loi. Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule différence est que ceux qui en profitent sont différents »
Il a juste eu un « prix Nobel » de sciences économiques.

Evidemment du petit gibier face à vos lumières dans le domaine bancaire... :_))

Très bel entretien et beaucoup de remarques frappées au coin du bon sens.
Après, ça doit piquer les yeux à quelques-uns de voir un chef d’Etat légitimement élu par son peuple demander qu’on daigne laisser les syriens (tous les syriens) décider de leur avenir en commun, sans qu’un modèle étranger leur soit imposé.
Chez nous (en occident) demander son opinion au peuple, passe de plus en plus pour du populisme (Pourquoi demander à des « cons » (preuve ils nous ont élus) de décider à notre place à quoi ressemblera leur avenir ?...
J’admets que c’est plus simple de décider depuis la France qui a fait quoi à l’origine, et qui a porté les premiers coups et avec quelles intentions, avec quel support étranger, tout ça... et je vois même que l’attaque chimique du « boucher de Damas » qui n’a pas convaincu le président des USA a convaincu un intervenant (il a de meilleurs services de renseignements à n’en pas douter).
Mais ce qui est plus déconcertant est de voir qu’après que nous ayons transformés plusieurs pays en zones de « non-droit » et camps d’entrainement du terrorisme, on s’alarme de voir que la Syrie pourrait échapper à ce terrible sort.
Il va sans doute falloir s’y faire.

@lisaf74paca

Triste à dire (à en pleurer même), mais c’est mon frère qui a choisis la thérapie pour son fils et la maman qui a lâché sa vie professionnelle pour devenir la spécialiste (« mondiale » comme elle disait) de son fils...
Les premières années sont cruciales je pense. Ne lâchez rien...