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jjwaDal

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Un petit bonhomme d'une curiosité exceptionnelle qui considère la recherche de la réalité comme une des plus belles expériences de la vie.

Tableau de bord

  • Premier article le 23/06/2008
  • Modérateur depuis le 02/08/2008
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Derniers commentaires



  • jjwaDal jjwaDal 28 février 07:21

    @berry
    Se souvenir que notre ineffable ministre de l’économie avait prédit que « nous allions mettre à genoux, l’économie russe », quand Jacques Sapir nous explique qu’elle a probablement connu en 2023 un taux de croissance entre 3,5 et 4%, contre 0,9% chez nous.
    Ils ont complètement pété les plombs et géré de manière abyssale la crise covid, ont été incapables d’anticiper les conséquences économiques des sanctions prises contre la Russie et seraient capables d’anticiper les conséquences d’un conflit direct avec la Russie ?
    La France ne fera rien du tout sans l’accord express de l’OTAN, donc des USA. Or, pas mal d’indices indiquent que si l’OTAN attaquait l’armée russe en Ukraine, il ferait face à une armée homogène (même langue mêmes matériels) avec une armée hétéroclites parlant dix langues, avec des matériels hétérogènes, des chaînes logistiques et de maintenance multiples, le tout sous l’oeil de la surveillance russe (qui n’est pas celle de l’Irak).
    En PPP, la Russie est plus puissante que l’Allemagne et est un producteur majeur d’armements dans le monde, ils ont donc l’industrie pour renouveler leurs stocks de consommables, pas nous.
    L’unique chance de victoire de l’OTAN impliquerait l’intervention en force de l’armée US, ce qui signifie un affrontement direct sur le sol ukrainien entre deux nations nucléaires et la doctrine militaire russe indique explicitement l’usage de frappes nucléaires (en Ukraine donc) pour se désengager si la Russie est menacé.
    Qui alors lancerait de son territoire des frappes nucléaires sur la Russie pour riposter ? Anyone ?...
    Donc, oui du théâtre.



  • jjwaDal jjwaDal 27 février 20:22

    Vous semblez oublier que contrairement à Obama qui a toujours refusé l’envoi d’armes létales en Ukraine, Trump est le premier président US a l’avoir autorisé. On peut aussi le remercier pour l’assassinat de Soleimani qui nécessitait son autorisation.
    Sinon, Macron a très vite été lâché par l’ensemble des européens. Nous n’avons ni les effectifs ni les stocks, ni l’outil de production pour affronter la Russie sur le sol ukrainien.
    Quel serait d’ailleurs l’objectif ? Reprendre la Crimée et les deux républiques qui devaient rester ukrainiennes dans les accords de Minsk ? Celles fortement russophiles qui demandaient depuis 8 ans le rattachement à la Russie tout en se faisant canarder par les ukrainiens ? Reprendre la Crimée qui ne veut pas en entendre parler ?I

    Il faudrait pour cela attaquer le territoire russe au risque ,en cas très improbable de recul de l’armée russe, d’une frappe nucléaire sur sol ukrainien ?

    Toute riposte à l’identique de notre part ferait de notre territoire une cible à une frappe nucléaire. Tout cela pour reprendre des régions qui veulent rester en Russie, contre le souhait de leurs habitants ?
    Envoyons plutôt nos militaires défendre les palestiniens à Gaza qui sont sur leur terre victimes d’un massacre. Curieusement notre président n’a pas envisagé une seconde cette option...



  • jjwaDal jjwaDal 27 février 13:39

    @titi
    La charge de la preuve vous incombe concernant les multiples assassinats en Russie d’opposants (souvent de pacotille) à Poutine. Ses vrais adversaires politiques sont évincés sans bain de sang, par des magouilles dignes du Russiagate aux USA contre Trump.
    Il y a tout l’appareil d’Etat derrière Poutine et il peut éliminer tout opposant sans verser une goutte de sang, quelle blague. Les résultats électoraux sont ce que veut le pouvoir et il est notoire qu’aux dernières présidentielles le score du PC a été révisé « à la main » pour satisfaire l’heureux élu. Pas bien différent de la dernière présidentielle aux USA ou le Congrès National des Démocrates avait annoncé au préalable que quel que soit le résultat de l’élection, Biden serait le prochain président. Vous voyez des bisounours dans un camp peut-être et pas dans l’autre ?
    Le seul dont Poutine aurait dû prendre en charge le coût des funérailles est Prigojine, très probablement.
    Une tentative d’insurrection en temps de guerre ne pardonne pas...
    Il y a des éléments ultranationalistes en Russie qui sont parfaitement capables d’éliminer toute tête qui dépasse appelant à revenir aux années 1990 (en substance), l’Ukraine a prouvé sa capacité à tuer sur le territoire russe et nous avons en occident les services spéciaux pour ce genre de sales besognes si besoin. Les incidents au « Novitchok » portent la signature de ces services par ex.
    A qui profites ces crimes sinon au narratif des USA ? Voyez la mort de Navalny qui ne peut profiter qu’aux USA et sûrement pas à Poutine.
    Comme nous la Russie n’est nullement démocratique, elle n’a jamais connu d’ailleurs le régime politique qui est le nôtre.
    Rappelez-moi le nombre de journalistes tués par des gens que nous soutenons inconditionnellement dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre 2023.
    La France n’étant plus un pays souverain et les médias de masse sous contrôle, nul raison de chercher à évincer un gestionnaire de région par un autre qui ferait la même politique. Les enjeux pour la Russie serait bien plus considérables.



  • jjwaDal jjwaDal 26 février 13:33

    @alinea
    Ils n’ont jamais été démocrates et comme les premiers rédacteurs de notre Constitution, la seule idée de démocratie leur fait horreur.
    Ceci dit cette dérive autoritaire est à la fois pleinement permise par le système (qui donne tous les pouvoirs au sommet et aucun garde-fou au peuple) et causé par la crise majeure que ce système rencontre, dont le peuple n’est nullement responsable.
    Plus les problèmes ingérables par le système (qui est la cause de ceux-ci) s’accumulent plus l’incapacité de nos dirigeants à gérer ceux-ci apparaît en pleine lumière et plus il leur faut dissimuler, mentir et finalement réprimer.
    Cela pourrait aller bien plus loin que pendant la crise sanitaire du Covid-19. L’OMS finalise un plan « taille unique » en cas de future « pandémie » qui en pratique nierait l’existence même du droit individuel à gérer sa santé et à refuser un traitement expérimental.
    Il n’y aura pas d’échantillon témoin lors de la prochaine pour vérifier a postériori les conséquences de jouer à la roulette russe avec la santé de centaines de millions de personnes.
    Ils nous prennent à la fois pour des enfants et du bétail, ce que Monique Pinçon-Charlot décrit bien comme du « mépris de classe », que l’actuel président incarne magnifiquement.
    J’ignorais qu’on éduquait les enfants en leur mentant en permanence. Nouvelle méthode, j’imagine.



  • jjwaDal jjwaDal 26 février 13:07

    @S. Lampion
    Le « Patriot Act » visait la vie privée des citoyens américains à fin de surveillance. Elle n’a pas empêché de vives critiques à l’invasion de l’Irak au motif inventé de la présence d’AMD. Je parle surtout du retour à une posture bien connue des Etats où celui qui divulgue des vérités dérangeantes pour les dirigeants est considéré comme un ennemi de l’Etat à dénigrer, décrédibiliser, effacer socialement.
    L’arrivée du journalisme porte-parole du pouvoir, traquant les âneries du citoyen mais pas les délits des dirigeants, escamotant les sujets pouvant fâcher et oubliant toute investigation quand ça sent mauvais pour la carrière est bien un retour à la situation antérieure.
    Jean Claude Bourret décrivait récemment comment au moment des grandes manifestations pour l’école libre (début des années 1980) il avait échappé de peu au massacre après avoir obtenu et divulgué les chiffres du Ministère de l’Intérieur sur l’ampleur de la manifestation, qui n’étaient pas censés être rendus public en raison du camouflet pour le pouvoir d’alors (Mitterrand).
    Là avec les lois US, celle en discussion en Irlande et le fameux article 4 de la loi sur les dérives sectaires, chez nous, on passe de la sanction professionnelle à la criminalisation de propos souvent bien plus proche de la vérité que le discours officiel.
    Avec ces lois quelqu’un qui aurait dit en 2021 que les vaccins à ARNm ne protégeaient ni le l’infection, ni de la transmission, ni de l’hospitalisation, qu’ils ne sont pas sûrs déjà pour contenir des traces d’ADN et par manque de recul et que les masques ne servent à rien contre les virus respiratoires, aurait été passible des tribunaux.
    Or, tout était vrai et connu très vite pendant la campagne de vaccination...

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