• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Pr ELY Mustapha

Pr ELY Mustapha

Professeur d'université et Expert international. Pluridisciplinaire.
Spécialiste chaine pénale. Lutte judiciaire contre le terrorisme et la criminalité organisée.
IBM certified. Informaticien réseaux et systèmes, cybersécurité (CEH Certifié) , forensics (anticorruption, fraude) .
Fonctions occupées : Chef de Mission consultance G5 Sahel -Sécurité et Développement. Expert judiciaire principal (K1) pour la lutte contre le terrorisme en Afrique du Nord et au Moyen Orient (CT-MENA -Projet Européen). GPN/ExpRes -UNDP.
Domaines d'intervention et de recherche : Gouvernance démocratique, réformes judiciaires, sécuritaires et pénitentiaires.
Une quinzaine d'ouvrages spécialisés (Sciences juridiques, économie, finances publiques, management public, fiscalité, TIC), de romans et d'essais publiés.

Tableau de bord

  • Premier article le 25/06/2011
  • Modérateur depuis le 29/06/2011
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 77 135 1153
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 209 208 1
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Pr ELY Mustapha Pr ELY Mustapha 28 juin 2012 15:12

    Alois Frankenberger


    Tout à fait d’accord. Il y a, chez beaucoup de croyants une confusion réelle entre la parabole religieuse et le message divin.
    Peut-être aussi qu’ils trouvent refuge dans cette ignorance voulue car plus sécurisante. 



  • Pr ELY Mustapha Pr ELY Mustapha 28 juin 2012 14:58

    Cher tou(te)s,


    Ceci n’est qu’un essai. Son intérêt n’est pas de justifier la position d’un quelconque mouvement politique ou politico-religieux, mais de contribuer à une réflexion sur le dialogue entre des les tenants de positions tranchées qui peinent à communiquer. Cette situation est d’ autant plus préjudiciable que face à cette absence de dialogue les positions se durcissent et cèdent à la violence. Une violence qui prend sa source non pas forcément dans une conception idéologique des rapports politiques, mais dans la frustration qui naît du silence des autres ou leur supposé passivité.
    Le dialogue peut résoudre bien des dissensions et prévenir les violences.

    @Leo Le Sage

    Je partage avec vous votre pensée. Le combat c’est d’abord celui des idées.

     matsada 

    Beaucoup d’écrits ont été publiés sur cette question voici un résumé rapide sur ce lien : 


    « Le wahhabisme a été fondé dans la péninsule Arabique, au XVIIIe siècle, par Muhammad ibn Abd al-Wahhab. Il représente un courant traditionnel qui se distingue par une lecture littérale de l’islam et par son aspect rigoriste et puritain. Il condamne en particulier toute innovation par rapport à l’enseignement originel de l’islam et considère que l’Etat doit fonctionner exclusivement selon la loi religieuse. Le pacte entre Ibn Abd al-Wahhab et Ibn Séoud, le fondateur de l’Arabie saoudite, fera de ce pays le berceau du wahhabisme. 

    Le salafisme, né à la fin du XIXe siècle, est un courant très proche du wahhabisme, auquel il peut pratiquement être assimilé dans sa version la plus conservatrice. La principale divergence entre les deux écoles porte sur le thème de l’Etat islamique : le wahhabisme se satisfait d’un dirigeant local - un roi, par exemple - s’il respecte et fait respecter la charia, tandis que le salafisme souhaite revenir au califat pour l’ensemble des croyants, même si la plupart d’entre eux acceptent l’idée d’un émir local pour quelque temps. Il tire son nom du mot salaf, qui désigne le premier compagnon du Prophète. Dans les années 1980 naît dans les camps de Peshawar, au Pakistan, sur fond de guerre en Afghanistan, le « salafisme jihadiste », une version radicale qui va séduire de nombreux jeunes musulmans, y compris en Europe. Les salafistes appellent surtout à purifier l’islam de toute trace culturelle étrangère. » (Source : Dictionnaire mondial de l’islamisme, Plon.)

     Le salafisme dispose-t-il d’une organisation, de représentants religieux ? 

    Les salafistes par définition ne reconnaissant pas l’intermédiation religieuse, répugnent à l’organisation autoritaire temporelle . Ils sont à cet égard considéré comm très individualiste (socialement parlant) . Voir à ce propos les écrits de Samir Amghar sociologue spécialiste du salafisme. Auteur de Le salafismed’aujourd’hui. Mouvements sectaires en Occident, (éd Michalon).)

    Les salafistes reconnaissent-ils certaines fatwa ? (j’imagine que non...) 

    Les salafistes dans leur conception originelle ne reconnaissent pas les fatwas (des autorités religieuses institutionnalisées dans le monde islamique), ce qu’ils reconnaissent se sont les directives et orientations de leurs guides spirituels du moment (qu’ils ne considèrent ni comme des saints ni comme des chefs).

    joelim 

    S’il est vrai qu’une telle description est transposable à tous les mouvements religieux du type des salafistes, alors il n’est pas vain d’universaliser mon essai pour le dialogue qu’elle que soit l’obédience religieuse.





  • Pr ELY Mustapha Pr ELY Mustapha 19 mai 2012 19:44

    Chères toutes et chers tous,


    Merci pour l’ensemble de vos réactions. Hélas, venant juste de poser pied dans un pays d’afrique centrale après 3 jours de voyages (entre transits et contrôle aux frontières), je n’ai pu animer avec vous ce débat. Je remercie M. Regnier pour ses commentaires sur l’ensemble de mes articles, je leur accorde un grand intérét. Sa remarque est bien à-propos et je la comprends.

    Venant donc de tout lire à l’instant, je comprends effectivement, qu’ il y a énormément de points de commentaire sur lesquels j’aurai aimé réagir à chaud. Heureusement, le débat a été trés contradictoire et enrichissant, mais je tacherai la prochaine fois avant de proposer un article à publication de ne pas entreprendre de voyages du type : Tunis-le Caire-Addis-abeba-Nairobi- bujumbura et de prendre une semaine sabbatique. LOL. 

    Je ne manquerai pas dans mes prochains articles de revenir sur des sujets qui nous interpellent et qui s’enrichissent de votre discussion.

    Merci infiniment pour tout ce temps précieux que vous prenez pour me lire. Le vôtre.

     Cordialement.


  • Pr ELY Mustapha Pr ELY Mustapha 28 février 2012 22:01

    Au-delà de certains commentateurs qui se sont affichés en noir et blanc et qui auraient aussi pu être muets pour remporter l’Oscar de l’indélicatesse, je n’ai vu nulle part, un argument convaincant et qui s’opposerait à ce que j’ai dit et que je maintiens :

    Les prophètes ont la couleur de ceux qui les vénèrent. Il n’est du droit de personne de représenter ce qui relève de la croyance des êtres et de leur conscience collective et spirituelle.

    Tout le reste, relève de l’histoire de la domination des peuples.



  • Pr ELY Mustapha Pr ELY Mustapha 15 novembre 2011 16:21


    Formidable !

     Tant de réactions à la suite de cet article montre qu’il a été lu.
     En long en large, de travers, de biais, au pied de la lettre, entre les lignes, qu’importe.

    Qu’on l’ait compris à sa façon, sincérement, hypocritequement, obscurément, complaisamment, qu’importe.

    On l’a lu. Et ce qui importe, ce n’est pasde juger de ce que chacun en pense.

    Ce qui importe c’est encore moins ce que je pense puisque je peux changer d’idées quand je suis convaincu de ce que intellectuellement on m’avance. Hélas ! dans toutes les réactions à cet article, je n’ai pas trouvé une consistance quelconque.

    Quelques phrases jetées à la va-vite. Des attitudes qui tirent d’avantage d’un réglement de compte d’une pensée, ou d’une religion que l’on reprouve que d’une pensée sage et raisonnée . En somme rien de très palpable et auquel un être doué de raison puisse s’intéresser.

    Regretterai-je d’avoir écrit un tel article pour faire comprendre c’est qu’est une attitude modérée dans la religion musulmane ? Bien sûr que non.

    Irai-je répondre à des exclamations et à des onomatopées ? Certes, non.

    Alors ?

    Alors, je ne ferai pas quand même l’affront à ceux qui ont eu l’obligeance de me lire, de les ignorer sans leur dire, à tous : Chacun est libre d’exprimer ses idées, faudrait-il cependant le faire sans haine et sans passion.

    Parculièrement à  Alain Colignon, qui écrit :

    "Répondez, Monsieur ELY à une question simple et essentielle : Peut-on, oui ou non caricaturer Mahomet ?
    Si votre réponse est « oui », alors vous êtes modéré ! Si vous répondez ’non’ vous êtes un intégriste !
    J’attends donc votre réponse !« 

    Je dirai : Cher Alain, ne savez-vous pas que le temps de l’Inquisition est révolu ? Et que dans cet article il ne s’agit pas de moi, pour que j’ai à vous répondre.

    Mais qu’à votre question j’ai la sincérité de dire »NON". On ne doit pas enfreindre ce qui est sacré chez les religions et les peuples. Mais que pourtant pour cela, tout en protestant pacifiquement, je n’irai ni brûler, ni agresser. 


    Quant à  Ossian, je dis : Rassurez-vous, dussais-je n’être pas lu, je continuerai d’écrire. Par conviction, non pas que je détienne la vérité, mais parce que se taire est quelque part une lâcheté. Merci pour votre post.
     

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv