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jidejeandominique

jidejeandominique

Français né en 1946. Après une vingtaine d'années comme "humanitaire", principalement dans le domaine juridique, j'ai enseigné le droit pénal international. Je suis docteur en droit et titulaire d'un master de sociologie. Je me suis depuis quelques années spécialisé dans le droit des conflits armés et je réponds à des missions d'enseignement de cette matière dans plusieurs pays du proche-orient. Ma thèse a porté sur "L'amnistie des crimes de masse applicable à de simples exécutants". Par ailleurs, et dans le domaine de la sociologie, je prépare plusieurs livres en rapport avec l'adolescence.

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  • Premier article le 05/10/2006
  • Modérateur depuis le 05/10/2009
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Derniers commentaires



  • jidejeandominique jidejeandominique 15 mars 2010 13:17

    Merci d’avoir corrigé. J’ai donc péché par excès de précipitation. Mais le fond de mon propos demeure



  • jidejeandominique jidejeandominique 3 février 2010 07:52

    Votre article fait peut-être la synthèse de ce qui a été dit et commenté précédemment sur ce sujet, mais il est surtout symptomatique d’une stratégie d’évitement adoptée par les médias et les politiques dans ce domaine.

    En effet, de quoi entend-on parler à longueur de journée ? De la liberté de la femme musulmane d’obéir à une prescription du Coran qui les contraindrait à se voiler intégralement, alors qu’il semble aux Musulmans eux-mêmes - la grande majorité d’entre eux - qu’une telle prescription n’existe pas.

    Pour ma part, je ne vois pas en quoi le voile intégral serait un signe religieux ; c’est une tenue vestimentaire qui ne viole pas les lois de la République en rapport avec la laïcité dans les lieux publics (je suppose que les Soeurs catholiques voilées et portant une Croix, lorsqu’elles se rendent dans leur mairie, sont reçues comme des citoyennes ordinaires, alors que leur costumes est au moins aussi déterminé par une pratique religieuse), sauf si elle ne respecte pas les lois qui demandent le dévoilement d’un visage, pour des raisons de sécurité.

    Le problème n’est pas là.

    Il se trouve dans la conception que certaines personnes - peu importe leur religion - se font de la femme. Nous savons que, pour la plupart des femmes portant la burka, interdite dans plusieurs pays musulmans, il s’agit de la manifestation tangible et ostentatoire d’une contestation de l’égalité de l’homme et de la femme, une des valeurs sur lesquels la plupart des Français se reconnaissent.

    Certes, nous ne pouvons jamais être certains qu’aucune femme choisit librement de s’écarter de la société en se voilant intégralement. Mais la suspicion est telle, mais la provocation est telle, mais la discrimination est telle que cette tenue doit naturellement être proscrite dans tout l’espace publique.

    Mais ce n’est pas suffisant, et c’est là où se trouve l’évitement des politiques et des médias (et accessoirement de l’auteur de l’article que je commente). Ceux-ci prennent en effet toujours garde de ne jamais évoquer le voile simple. Or, à ma connaissance, son port par des femmes musulmanes procède du même esprit de ségrégation, de discrimination et de combat contre l’égalité de l’homme et de la femme. Certes, d’une manière plus édulcorée, plus soft. Mais le principe est le même, que je résume succinctement.

    Une femme doit cacher sa féminité pour ne pas attirer la convoitise des hommes ; sans porter le voile intégral, elle doit tout de même se couvrir entièrement les bras, les jambes et les cheveux.

    Aucune différence donc de nature avec le port de la Burka, seulement une différence de degré.

    Mais voilà ! Ce même monde politique et médiatique n’ose rien dire, de peur de paraître anti-musulman, raciste, que sais-je ? Attaquer les catholiques, c’est sans danger, et personne ne s’en prive. Mais prendre le risque de faire croire qu’on attaque les Musulmans, c’est autre chose. Cela demande du courage.



  • jidejeandominique jidejeandominique 23 décembre 2009 08:09

    Rien de nouveau dans cet article, mais il a le mérite d’être clair et courageux, compte tenu de l’ambiance actuelle. Sur un sujet comme celui-ci, il faut toujours faire preuve de modestie et accepter de ne pas être en possession de tous les éléments permettant d’adopter une position tranchée.



  • jidejeandominique jidejeandominique 3 novembre 2009 07:40

    Même si votre article est sérieux, je suis déçu qu’il ne traite pas le sujet au fond. Or en fait le fond c’est quoi ?

    1. La pédérastie (= attirance pas nécessairement sexuelle d’un homme pour un garçon mineur mais pubère) est-elle condamnable ?
    2. Traite-t-on différemment, dans ce domaine, les « puissants » et les « misérables » ?

    Personnellement, je réponds NON à la première question, et OUI à la deuxième.

    C’est de ça dont il faudrait parler.

    Pour faire court et relier ces deux questions, on est bien forcé de constater avec Goethe que « L’amour des garçons est aussi vieux que l’humanité, et l’on peut donc dire qu’il est naturel, qu’il repose sur la nature ».

    D’ailleurs, nous portons continuellement aux nues des pédérastes notoires, que nous considérons comme des gloires des lettres, des arts, de la politique et du monde de l’éducation. La résurgence des Jeux Olympiques est due à l’opiniatreté d’un pédéraste, la fondation du scoutisme ou des Petits chanteurs à la Croix de Bois également ; les plus grands de nos auteurs de bandes dessinées pour ados étaient pédérastes, etc. etc. Certes ces personnes sont encensées par les médias et l’opinion publique en raison de leurs oeuvres, mais comment peut-on dissocier ces oeuvres de la personnalité et des motivations intimes de leurs auteurs ? L’hypocrisie dans ce domaine, tout spécialement dans les médias et le monde politique, est manifeste.

    Un exemple : comment Chirac a-t-il pu attribuer le nom de Henry de Montherlant à la dernière piscine construite à Paris dans le seizième arrondissement ? Inconscience ou pied-de-nez aux pourfendeurs de la pédérastie ?


     



  • jidejeandominique jidejeandominique 30 octobre 2009 17:49

    Je n’arrive pas à comprendre pourquoi les journalistes n’acceptent pas la mise en place d’une sorte d’ordre professionnel, comme chez les médecins ou les avocats. Je pense que leur crédibilité aurait tout à gagner si une instance professionnelle définissait leurs droits et leurs devoirs.
    Ayant à plusieurs reprises été confrontés à des médias, j’ai constaté à quel point la façon dont les journalistes rapportaient des faits était très approximative.

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