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danielle bleitrach

danielle bleitrach

danielle Bleitrach, sociologue, universitaire, militante, spécialiste des questions internationales en particulier l’Amérique latine et la Chine. A écrit une quinzaine de livres, dont trois sur la classe ouvrière et l’urbanisation, trois sur l’Amérique latine. Licence de lettres, d’histoire et de sociologie, diplôme d’Etudes supérieure avec Duby sur l’iconographie médiévale. Thèse sur les politiques urbaines des élus locaux français. Prépare actuellement une licence de chinois. Ancienne respondable politique (PCF) n’est plus membre d’aucun parti, ni aucune association. A été rédactrice en chef adjointe de l’hebdomadaire Révolution et par ailleurs membre du Comité national du CNRS. Conseillère régional PACA, responsable aux questions culturelles. Par goût et par profession a travaillé en Afrique, puis en Amérique latine et Caraïbe, le tout sans jamais pratiquer le tourisme... mais beaucoup le taxi-brousse et le campement... Et je continue...

Tableau de bord

  • Premier article le 11/05/2010
  • Modérateur depuis le 20/07/2010
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Ses articles classés par : nombre de réactions













Derniers commentaires



  • danielle bleitrach danielle bleitrach 22 juillet 2010 09:28

    Quelle étrange monde et quelle bassesse que celle où l’on reproche à une femme sa vieillesse... Ce monde là est condamné...
    Danielle Bleitrach



  • danielle bleitrach danielle bleitrach 22 juillet 2010 07:27

    Celui qui vient d’écrire ce morceau d’anthologie de la stupidité et de la lâcheté est un courageux anonyme, un corbeau croassant qui pourrait étaler son nom d’ailleurs sans danger parce qu’il n’a nule histoire, rien de marquant aucun engagement que ce minable exercice d’écrire des lettres de dénonciation sur le voisin... En ce qui me concerne il dénonce mon âge qui serait trés vénérable, comme le disait mon ami Aragon à ce falstaff de Cohn Bendit : « c’est avec les juenes cons que l’on fait les vieux cons »...
    Je souhaite au corbeau qu’à mon âge, 70 ans, il soit en état d’écrire , de lire , d’aimer, de nager, marcher dans la campagne provençale et d’écrire des articles et des livres comme il ne le saura jamais...
    Je souhaite qu’il soit aussi beau que ce que j’ai pu l’être et le soit encore mais il arrive un âge où l’on a le physique que l’on mérite et lui ne mérite que la haine qui lui tort les traits, le sentiment d’avoir raté une vie par médiocrité...
    Puisqu’il est fait état de moi, saxchez que j’ai et j’ai eu la plus belle vie qui se puisse imaginer, à 15 ans en pleine guerre d’Algérie, j’adhère au Parti tout en menant des acctivités clandestines, je rencontrez mon magnifique époux qui a trante ans de plus que moi et est un héros de la résistance, avec lui nous allons faire du travail clandestin contre Franco, c’est l’époque où celui-ci garotte, mais nous frranchissons la frontière avec « mundo obrero ».
    En même temps je poursuis des études universitaires(histoire, lettres, sociologie) qui vont faire de moi un chercheur en sociologie puis un prof de fac. J’adore mon métier autant que militer, ma cellule de fac, mes compagnons sont un infini bonheur, je suis membre du comité national du CNRS, je me bats pour défendre les chercheurs sur le plan syndical, je deviens membre du comité central du PCF . Avec mes étudiants nous partons faire des stages d’étude en Afrique, je suis envoyée dans tous les coins du monde, j’en profite pour faire des reportages, je suis devenue en effet rédacteur en chef adjoint de l’hebdomadaire Révolution, j’ai une amitié fabuleuse avec Aragon et si vous voulez me voir à cette époque (les années quatre vingt) prenez son album dans la pleiade... C’est alors que commence une période très noire, celle de la fin des années quatrevint, Aragon meurt, puis mon époux d’une longue et terrible maladie, j’écris un livre , un de mes six romans publiés « un bouquet d’orties » et mon enfant tombe dans la maladie mentale... C’est l’écroulement de l’Union soviétique... Je erre proche de la folie et je vois se multiplier les renoncements, les abandons, moi j’ai tant donné et ceux autour de moi aussi, j’ai vécu avec de purs héros d’une droiture et d’un courage infini, je ne peux pas dénoncer cela... Je l’ai écrit ce fut un grand soleil rouge, de désintéressement total et de don de soi aux autres, et je errais au milieu des ruines, la mort, la folie...
    C’est alors qu’à Chandigar en inde j’ai rencontré un autre homme magnifique, digne de mon époux disparu deppuis pratiquement dix ans et que je pleurais encore, x’était un personnage célèbre, il l’est toujours, il a conduit les contingents cubains en Afrique et a aidé à la liberation de ce continent et à la fin de l’apartheid. Grace à lui je suis allée à Cuba, j’ai découver cette île où l’on resistait, leur pauvreté et leur dignité... Cet homme aujourd’hui est mon frère de lutte et d’idéal, il continue jusqu’à son dernier souffle à se battre... Oui nous sommes vieux mais nous avons le coeur plein de lumière... Il n’a pas cédé devant l’empire le plus puissant, le plus terrible, le plus inhumain qui se puisse imaginer.
    Mon mari avait été torturé par la gestapo, il n’avait pas parlé, il avait déclanché la révolte de la centrale d’Eysses et il avait été déporté dans le train de la mort à Dachau. Dans ce train, wagon à bestiaux en plein mois d’août ils étaient vingt et cent, et dans les autres wagons ils devenaient fous de soif, mais dans celui de mon mari c’était des communistes, ils se sont organisés, laissant le peu d’air au plus mal en point et mon mari me disait : « si tu veux survivre en camp de concentration, il faut t’oublier et penser aux autres ». Mon ami cubain lui aussi avait été torturé par batista, les ongles arrachés il n’avait pas parlé...Il s’était oublié, il continuait, il continuera jusqu’à la mort....
    Voilà je pourrai vous en raconter encore encore sur nous les communistes, sur l’immense bonheur de cet engagement... Voilà ce que fut , ce qu’est une vie de combat, d’amour , de souffrances, une vie comme je la souhaite à tous, il suffit pour cela de vous oublier et de penser aux autres, d’affronter les puissants, les riches, ceux qui vous interdisent le droit à la parole et qui la monopolisent pour vous faire taire , pour vous opprimer.
    Oui les « dissidents cubains » sont de la merde, ils ne pensent qu’à baffrer, à recevoir du frixc de l’empire, à trahir leur pays, à se faire caresser par ceux qui ont le pouvoir, je sais ce qu’est un combat et croyez moi ceux là, les Zoe valdes ne sont que des gens qui ont abandonné leur dignité et ils le savent...
    La très vieille dame indigne vous salue bien et elle crache sur les corbeaux, les lâches anonymes ...

    Danielle bleitrach



  • danielle bleitrach danielle bleitrach 21 juillet 2010 13:40

    Alors c’est à cela que se résume tout ce gros chahut, je n’aurais pas reconnu les besoins d’intimité... Mais si tout à fait, la meilleure preuve je regrette que ceux qui revendiquent leur intimité avec leur famille et se plaignent de conditions d’éloignement n’aient pas une pensée non seulement pour les condamnés de Guantanamo dont on sait désormais que 85% d’entre eux étaient de parfaits innocents qui ont été livrés par les seigneurs de la guerre contre monnaie aux troupes nord-américaine... Mais surtout pour les 5 cubains qui ont eu un procès inique et à qui on interdit à leur épouse et leurs enfants de venir les voir en prison... Relisez le texte attentivement... Ah ! J« oubliais vous quittez la classe, dommage je tablais sur des progrès...

    Comme je le disais à mes étudiants la phrase la plus intelligente du monde est »je ne sais pas", tant qu’on la pas prononcé on apprend rien et on se contente d’entretenir ses préjuges...

    Danielle Bleitrach



  • danielle bleitrach danielle bleitrach 21 juillet 2010 12:48

    je dis que je suis assez fière de moi et de mes dons pédagogiques, en effet vous venez de franchir une étape importante sur le plan intellectuel et il faut vous encourager.

    Hier vous m’avez effrayée, on aurait dit une bande de gamins boutonneux en train de se mesurer le zizi dans la pissotière de l’école... Aujourd’hui vous parlez enfin du sujet.

    Donc il vous reste pour aller de l’avant et activer des neurones visiblement à l’abandon depuis pas mal de temps à lire l’article que j’ai écrit. Vous constaterez que je rapporte fidélement les propos des « dissidents » simplement moi je dis aussi ce que cache votre presse favorite, la manière incroyable dont ils ont traité les espagnols, le dénigrement de leurs conditions d’accueil. Donc si vous lisez l’article vous vous apercevrez que ceux qui omettent une part de la vérité c’est votre presse favorite et pas moi. Donc plaignez vous à eux, cela renforce d’ailleurs ma démonstration.

    Cela dit vous avez beau faire du bruit comme si vous représentiez la majorité vous êtes toujours un petit groupe de 12% qui a décidé d’empêcher les autres de travailler.

    Bon l’essentiel est le petit progrès accompli, maintenant que vous avez compris qu’on ne se mesure plus le zizi en public mais qu’on s’intéresse au sujet pour qu’il y ait débat, il faut que vous franchissiez deux étapes mais je suis sûre que vous en êtes capable :

    lire le texte dont on tente l’explication, et quand on commente, on critique, on ne se met pas le doigt dans le nez, on n’insulte pas, on échange des arguments poliment.
    je vous le répète je suis sûre que vous en êtes capable, je reviendrais quand la classe aura décidé de travailler correctement...

    A bientôt j’espère, je finis par vous trouver attachants mais un peu lassants parfois...

    Danielle Bleitrach



  • danielle bleitrach danielle bleitrach 21 juillet 2010 09:52

    C’est ce qu’on appelle de l’obstruction et de la provocation : si je regarde les votes nous en sommes toujours à 12% d’opposants à l’article, le chiffre n’évolue pas, ce sont toujours les mêmes qui interviennent pour des dires des insultes, des âneries sans la moindte argumentation, le niveau est réellement affligeant.
    Cela vole trés bas et prouve à quel point le petit personnel du capital est incapable de renouveler ses neurones...
    D« un côté il y a des faits incontournables qui n’émanent pas de »l’ambassade’ mais de l’ONU, du PNUD, et d’autres sources, de l’autre il y a l’insulte gratuire et l’absence de logique la plus élementaire.
    Bon ça suffit on a assez joué, j’ai autre chose à faire...
    Danielle Bleitrach

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