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danielle bleitrach

danielle bleitrach

danielle Bleitrach, sociologue, universitaire, militante, spécialiste des questions internationales en particulier l’Amérique latine et la Chine. A écrit une quinzaine de livres, dont trois sur la classe ouvrière et l’urbanisation, trois sur l’Amérique latine. Licence de lettres, d’histoire et de sociologie, diplôme d’Etudes supérieure avec Duby sur l’iconographie médiévale. Thèse sur les politiques urbaines des élus locaux français. Prépare actuellement une licence de chinois. Ancienne respondable politique (PCF) n’est plus membre d’aucun parti, ni aucune association. A été rédactrice en chef adjointe de l’hebdomadaire Révolution et par ailleurs membre du Comité national du CNRS. Conseillère régional PACA, responsable aux questions culturelles. Par goût et par profession a travaillé en Afrique, puis en Amérique latine et Caraïbe, le tout sans jamais pratiquer le tourisme... mais beaucoup le taxi-brousse et le campement... Et je continue...

Tableau de bord

  • Premier article le 11/05/2010
  • Modérateur depuis le 20/07/2010
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Derniers commentaires



  • danielle bleitrach danielle bleitrach 21 juillet 2010 07:33

    Les Français sont célèbres pour être rationnels et cartésiens, soyons digne de notre réputation de « clarté gauloise » et renouons avec l’élementaire bon sens. Dans bien des domaines, il est mis à mal de manière indécente par des médias, des politiciens qui veulent nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Mais comme en ce moment je suis sur le sujet cubain je voudrais insister sur un point et un seul :

    Nous sommes tous d’accord y compris notre gouvernement sur le fait que les Cubains subissent de la part des Etats-Unis une aggression illégale injuste, qui est condamnée tous les ans par tous les pays sauf les Etats-Unis et israël. Tous les pays y compris le notre. A ce titre la France approuve tous les ans à l’ONU un rapport qui détaille les terribles conséquences de ce que subit le peuple cubain. Ce fait incontestable implique au moins une conséquence : Cuba subit une guerre qui s’attaque en priorité à la population civile et qui par l’étranglement prétend forcer ce peuple à se débarrasser de ses dirigeants, de son système, ce qui relève d’une ingérence inadmissible et d’une guerre ignoble contre une population civile, guerre qu’aucun prétexte ne justifie.

    Donc si nous sommes d’accord, et je ne vois comment nous ne le serions pas, la conséquence logique est que tout gouvernement a le devoir de se prémunir contre ce genre de chose, et en particulier de sanctionner ceux qui acceptent contre espèce sonnante et trébuchante de collaborer avec l’ennemi ? OUI , nul ne peut dire le contraire.

    Alors ceux qui mènent une campagne active pour trensformer en prisonniers d’opinion, en « politiques » ceux qui sont des agents stipendiés de l’ennemi, veulent simplement que Cuba renonce à se défendre.

    Non seulement ils acceptent l’injustice après l’avoir reconnue année après année officiellement et ne font rien contre ceux qui mènent cette criminelle agression mais celui qu’il veulent sanctionner est le gouvernement cubain et surtout le peuple cubain s’il se défend. Les sanctions prises par l’Europe au titre de la position commune sont non seulement une aggression que rien ne justifie mais une attitude parfaitement illogique que le bon sens français ne saurait cautionner.

    CQFD.

    Danielle bleitrach

     


  • danielle bleitrach danielle bleitrach 21 juillet 2010 04:36

    monsieur s’il s’agit de « votre âme et intelligence » je n’ai pas grand chose à craindre de vous.

    En effet quelqu’un que la haine aveugle au point d’émettre un tel tissu de contre vérité ne brille pas par excés d’intelligence ou de compassion. Vous nous sortez l’habituelle rengaine sur la « férocité » de la répression.

    La répression :

    Je vous signale que selon Amnisty internationale, il y a deux faits incontournables :
    1) Le nombre de prisonniers politiques recensés par la dite organisation était au début de l’année de 52, il sont libérés il n’y a donc plus de prisonniers politiques, ce qui n’est pas le cas des Etats-unis et même de la france.
    2) le seul endroit où l’on torture à Cuba est guantanamo.

    2) la paupérisation
    Il est vraiment extraordinaire de vous lire dénoncer « la paupérisation cubaine sans un mot pour le blocus, et j’ai tous les chiffres entérinés toutes les années par l’ONU qui exposent le coût terrible de ce blocus d’ailleurs condamné tous les ans par la dite ONU y compris par la france, tous les pays sauf les Etats-Unis et israêl.
    Un tel blocus sur l’irak avait occasionné la mort de 5000 enfants par an et madeleine Albright, alors secrétaire d’Etat avait répondu : »C’est le prix à payer". C’est votre raisonnement, c’est celui de vos chers dirigeants ét(asuniens, libre à vous mais ne m’étalez pas votre âme de surcr^poit. parce qu’il s’agit bien d’une tentative génocidaire dirigée lâchement contre une population civile, contre les plus faibles d’entre eux.
    Et c’est un vrai miracle d’intelligence et de coeur au sens de courage et compassion qui fait que malgré ce terrible blocus les Cubains aient réussi à développer un système d’éducation et de santé meilleur que celui des Etats-Unis, le taux de mortalité infantile selon là encore les chiffres de l’ONU (le PNUD) est moins élevé à Cuba qu’aux etats-unis.

    Ce sont des faits et pas vos fantasmes dont vous ne cessez de nous abreuver avec la complicité des grands patrons de presse, de la radio et télé aux ordres et qui ment sur notre propre situation en France alors pourquoi pas sur Cuba, mais les faits sont tétus.

    Enfin, le plus extraordinaire est votre vision de la Colombie, faire de ce pays une démocratie est une franche rigolade si elle n’était sinistre, d’abord c’est le pays ou il y a le plaus d’assassinat de syndicalistes et de journalistes du monde, un pays ou est au pouvoir des gens qui sont des narcotrafiquants et qui s’appuient sur les paramilitaires qui assassinent la population, la force à se déplacer par la violence. Comme en témoigne

    Le Tribunal International pour l’Enfance dénonce les crimes commis en Colombie

    La Colombie fête ses 200 ans et le Tribunal International sur l’Enfance fait remarquer que les crimes contre l’Humanité sur l’enfance colombienne se poursuivent.

    Le sang continue à être versé ainsi que les violations des Droits de l’homme

    Le Tribunal International pour l’Enfance touchée par la Guerre et la Pauvreté de la Mission Diplomatique Internationale Humanitaire RWANDA 1994, à travers de son Président l’argentin Sergio Tapia, Procureur International des Droits de l’Homme du tribunal international de conscience, dénonce qu’en Colombie au jour de son Bicentenaire, continue l’impunité sur les crimes contre l’Humanité sur l’Enfance affectée par le conflit armé. La situation des Droits de l’Homme en Colombie est, sans doute, la pire de l’Amérique Latine.

    « Les exécutions extrajudiciaires, la torture, les disparitions, visant la population infantile qui a continué à être victime du conflit armé, spécialement par le recrutement forcé d’enfants garçons et filles, le déplacement forcés, les homicides, les massacres, les tortures, des mines anti-personnelles et les conséquences des infractions au droit humanitaire contre leurs familles et leurs communautés, dans un pays de 8 millions d’indigents et de 20 millions de pauvres, occupant le premier rang de population soumise à la pauvreté de l’Amérique Latine. »

    Les groupes paramilitaires sont les responsables de l’assassinat, de la mutilation des enfants et des mineurs en Colombie. Il faut se demander combien d’enfants morts, massacrés et recrutés les chefs paramilitaires arrêtés cachent-ils dans leurs déclarations…

    Nous soupçonnons que 10 % des victimes des paramilitaires sont des enfants. Les organisations de la société civile colombienne parlent de 60.000 victimes des paramilitaires. Alors ce serait plus de 2.500 enfants et mineurs massacrés que les chefs paramilitaires ont déclaré … ?

    Depuis des cas de violence sexuelle perpétrés par toutes les parties du conflit, spécialement contre les petites filles, jusqu’à l’occupation des biens civils, comme les maisons privées, les écoles et les postes de santé, en passant par l’utilisation d’enfants garçons et filles dans des activités de renseignement, le recrutement, le déplacement forcés et les adolescentes victimes d’exécutions extrajudiciaires.

    « Dans les villes, les bandes armées recrutent des mineurs tout le temps, et ce qu’il faut se demander , c’est qui est derrière tout cela, à qui appartiennent et pour qui travaillent ces groupes. La violence contre l’enfance en Colombie est très élevée, les groupes armés travaillent avec eux, et au fur et à mesure que le conflit social s’approfondit, l’idée que d’être dans la violence amène à une vie avec de l’argent et du pouvoir obtenu de manière facile, se renforce de plus en plus. Tu te retrouves avec un enfant de six ans qui fait des travaux de renseignements dans les quartiers ou qui transporte des armes.

    En plus du réarmement des groupes paramilitaires, qui recrutent des mineurs, les responsables de l’assassinat de plus de 3000 enfants et mineurs colombiens, devront être traduits devant la Cour Pénale Internationale, et participer aux procès de « Verité et Justice » de la société colombienne. Ma mission comme Procureur international des Droits de l’homme est, bien que je ne puisse pas arrêter les crimes contre l’humanité, au moins de les dénoncer pour qu’ils ne soient pas commis en silence...

    Nous observons aussi, avec une énorme inquiétude, le lien croissant entre des enfants garçons et filles et des adolescents avec des groupes armés illégaux surgis après la démobilisation d’organisations paramilitaires et des bandes de trafic de stupéfiants.

    Un génocide silencieux, qui s’approfondit aujourd’hui avec la crise humanitaire, et qui met en évidence l’exclusion sociale, l’apartheid raciste et l’oubli dont a souffert l’enfance colombienne de la part des acteurs du conflit armé. Finalement, au nom du Tribunal international de Conscience en défense de l’Enfance, nous appelons la communauté internationale à dénoncer ces Crimes contre l’Humanité sur l’enfance colombienne, et à traduire les responsables paramilitaires devant la Cour Pénale Internationale, avec la charge de coupables de Crimes contre l’Humanité et Génocide contre l’enfance, » déclare le Procureur International du Tribunal international pour l’Enfance touchée par la Guerre et la Pauvreté, l’argentin Sergio Tapia.

    Tribunal international pour l’Enfance touchée par la Guerre et la Pauvreté

    Tribunal 24/24 Heures : (+57) 301 5563639





  • danielle bleitrach danielle bleitrach 20 juillet 2010 17:16

    je ne sais pas si ces gens là soutiennent quoique ce soit, le régime sioniste ou autre chose, mais ils sont incapables de se soutenir eux-mêmes, ils sont affligeants de bêtise, ce que je me demande c’est s’ils sont réellement débiles ou s’ils font ça pour interdire toute discussion sérieuse, argumentée... Peut-être les deux...

    Mais il y a du deshonneur à tenter de leur répondre, ils ne parlent pas ils flatulent... Donc j’attendrais qu’il y ait un débat digne de ce nom pour intervenir autrement je les laisse patauger, comme le dit très bien Allard, ils font la preuve du niveau où ils en sont eux et leur CAUSE... Ces défenseurs de la liberté empêchent tout débat, toute pensée... Bravo...CQFD
    Danielle bleitrach



  • danielle bleitrach danielle bleitrach 20 juillet 2010 16:46

    Effectivement Cuba, Fidel, mandela c’est un autre monde que les propos d’ivrogne, l’absence d’espérance... Voici ce que je viens de recevoir de mon ami Jorge Risquet, celui qui a dirigé les contingents cubains en Afrique pour lutter contre l’apartheid, hier était le jour que l’ONU consacrait à Mandela, et mon ami Risquet qui a négocié avec Kissinger m’a envoyé un long article publié le 18 juillet dans Granma, j’en extrait quelques lignes sur un immense prisonnier, LUI... Et sur la relation de reconnaissance qu’il ne cesse d’entretenir avec Cuba qui est le seul peuple à n’avoir pas pillé l’Afrique. je l’ai traduit de l’expagnol parce que je parle espagnol et donc je comprends ce que me disent les Cubains.

    Il y a trois grands faits historiques au XXe siècle où les accusés ont exercé leur propre défense et ils sont devenus, les accusateurs implacables des régimes oppresseurs qui les ont jugés et les ont condamnés : le bulgare Jorge Dimitrov en Allemagne nazie, dans Leipzig, 1933 ; Fidel Castro à Santiago de Cuba en 1953 et Nelson Mandela, en deux occasions, la première, en 1962, alors qu’il fut condamné à cinq ans de prison et la deuxième, en 1964, alors qu’il fut condamné à un emprisonnement à perpétuité.

     Dans le discours qu’il a prononcé en face de la Cour Suprême de Pretoria, Mandela a dit :

    « J’ai dédié toute ma vie à cette lutte du peuple sudafricain. J’ai lutté contre la domination blanche et j’ai lutté contre la domination noire. J’ai nourri l’idéal d’une société libre et démocratique dans laquelle toutes les personnes vivraient unies en harmonie et avec des possibilités égales. C’est l’idéal pour lequel je veux vivre. Mais si c’est nécessaire, c’est l’idéal pour lequel je suis disposé à mourir ».

    Ces mots de feu de Nelson Mandela, le sommet de son argumentation dans le jugement de Rivonia, devant le tribunal raciste qui l’a condamné à un emprisonnement à perpétuité, m’émeuvent toujours quand je les lis, comme si elles résnnaient à cet instant même, comme si je les mêle, était aussi là, dans le banc des accusés des accusés, près de lui, Sisulu, M’beki, Mhlaba, Motsoaledi, Mlangni, tous les Noirs africains, Kathrada, l’Indien et Goldberg, le blanc.

    Mandela qui avait également été son propre avocat de la défense en 1962 devant le Tribunal d’Old Sinagogue qui l’a condamné à cinq ans de prison a prononcé devant la Cour sa plaidoirie profonde et vaste connue sous le titre« Je Suis disposé à mourir ».

    Mandela a cloué au pilori le régime abominable de l’Apartheid, a déclaré illégitime un gouvernement élu par le vote exclusif des blancs pour régir une société où sur 100 personnes 73 étaient noirs, 10 métis, 3 Indiens c’est-à-dire 86 non blancs et seulement 14 blancs.

    Il a décrit avec des données irréfutables les conditions de vie infrahumaine dans lesquelles vivait la population noire, parquée dans des réserves dénommées natives rurales, dans les ghettos urbains et dans les bidonvilles ; l’injustice brutale économique et sociale et la négation absolue de droits politiques dont elle était l’objet.
     
    Il a exposé avec des raisonnements convaincants la ligne politique conséquente du Congrès National Africain (ANC) depuis sa fondation en 1912, basée sur la lutte pacifique pour la conquête de ses droits légitimes. Il a démontré qu’en face de cette manière d’agir de l’ANC, le gouvernement blanc avait répondu, plusieurs fois, aux protestations civiques des Noirs, avec des massacres horribles, en désignant les plus sanglantes leur date, lieu et nombre de victimes, jusqu’à la plus récente dans Sharpeville en 1960, où 69 sont morts sudafricains désarmés.

    Les meurtres isolés de Noirs qui avaient lieu quotidiennement dans toute la géographie du pays,aboutissaient à des chiffres devenus inracontables à force d’être monstrueux.

    Il a expliqué la décision de créer l’Umkhonto we Siziwe (la Lance de la Nation) dont il prenait la tête, comme un instrument en plus de l’ANC, pour appliquer une forme de lutte violente, les actions de sabotage économique et d’actes politique sans victimes humaines. Cette pression se joindrait aux actions pacifiques de masses de l’ANC, et à la fois cela permettrait d’éviter que les partisans de la violence tombent dans des actions terroristes désespérées contre la population blanche, ce qui approfondirait tellement la division que cela empêcherait la cohabitation pacifique de toutes les races impossible dans l’ Afrique du Sud future démocratique et non raciste.

    Avec l’aplomb de celui qui raconte un acte absolument juste, légitime et honorable et le courage d’affronter la peine capitale comme châtiment, il a exposé que si la lutte pacifique de l’ANC, en incluant des formes déclarées illégales comme les grèves ouvrières et les actions de violence dûment contrôlées d’Umkhonto, n’obtenaient pas de résultats dans la situation intolérable dans laquelle le peuple noir vivait, le chemin le plus approprié serait alors la guerre de guérillas.

    Pour s’y préparer, si le déroulement des événements les yconduisait, Mandela a déclaré avec une totale sincerité :

    « J’ai essayé d’examiner tout les types d’autorité à ce sujet, de l’Orient et de l’Occident, en partant de l’oeuvre classique de Clausewitz et en allant jusqu’à Mao Ze Dong et Che Guevara, d’une part, et les écrits sur la guerre des boers, de l’autre ».

    C’est-à-dire qu’il a étudié toutes les expériences, y compris la plus récente, celle de la Révolution Cubaine décrite par la plume incandescente du Guerillero Héroïque.
    La nuit qui suivit sa condamnation à la prison perpétuelle, le leader africain fut conduit auprès de ses compagnons de lutte et de prison à la Ville du Cap et de là, jusqu’à Robben Island, la petite île d’enfermement à la sûreté maximale et de cruauté pour les prisonniers politiques sudafricains : 27 ans de sadisme et une réclusion implacable ! Jusqu’au 11 février 1990

    Mandela nous a exprimés dans Windhoek que visiter Cuba et prendre dans les bras Fidel était ce qu’il souaitait dès qu’il lui serait possible d’entreprendre un long voyage. C’est ce qu’il a fait en juillet 1991.

    Tout notre peuple se rappelle de sa visite, sa participationà ,la célébration nationale du 26 juillet dans la ville de Matanzas, de ses chaleureuses et précises paroles.

    Il y a ici quelques paragraphes :

    "Quel autre pays peut-il montrer une plus grand exemple de désintéressement que celui que Cuba a démontrée dans ses relations avec l’Afrique ?

    Aujourd’hui c’est Cuba Révolutionnaire, Cuba l’Internationaliste, le pays qui a tant fait ppur les peuples de l’Afrique.

    Le peuple cubain occupe une place spécial dans le coeur des peuples de l’Afrique. La contribution des internationalistes cubains à l’indépendance, à liberté et à la justice pour l’Afrique n’a pas de comparaison par son aspect de principe et de désintéressement.

    L’échec écrasant de l’armée raciste dans Cuito Cuanavale a constitué une victoire de toute l’Afrique.

    L’échec de l’armée raciste a finalement permis au peuple combattant de la Namibie d’atteindre son indépendance.

    L’échec décisif des forces d’agression de l’Apartheid a détruit le mythe de l’invincibilité de l’oppresseur blanc.
     
     
    L’échec de l’armée de l’Apartheid a servi d’ inspiration au peuple combattant de l’Afrique du Sud ".

    Et ses mots vibrants la fin :

    « Vive la Révolution Cubaine ! Vive Le compagnon Fidel Castro ! »

    À la fin d’avril 1994, après la victoire écrasante électorale de l’ANC dans une alliance avec le Parti communiste et le COSATU Syndical Central, Nelson Mandela a assumé la présidence de la République d’Afrique du Sud.

    La délégation cubaine à l’évènement historique fut présidée par le Commandant en Chef. Ils se sont à nouveau retrouvés, les deux géants combattants de la liberté des peuples.



  • danielle bleitrach danielle bleitrach 20 juillet 2010 15:37

    non seulement l’auteur ne cesse de mettre les pieds à Cuba mais il vit aux côtés des Cubains, dans les cités populaires comme San Agustin où chez ma copine Carmen qui est fauchée, quand j’arrive je lui demande « ça va », elle me répond : « plus ou moins mais Bush est aux Etats-Unis et pas chez nous ! » Elle est un peu anarxhiste et elle refuse d’aller aux grandes réunions sur la place de la révolution et même aux réunions du quartier, elle fout dehors celui qui vient lui répandre de la fumée anti-moustique en lui disant : « ma maison est propre, tu ferais mieux de t’occuper des poubelles qui n’ont pas été relevées depuis trois jours ! » mais dans le même temps un soir nous rentrions par la cinquième avenue, un homme a arrêté la circulation qui était nulle, et Carmen m’a dit « Fidel est là ! », effectiveemnt quelques minutes après j’ai vu passer une ambulance, deux mercédes noires dans lesquelles il y avait deux silhouette de Fidel (le tout parce qu’il y a eu six cent attentats fomentés par les Etats-unis contre lui. J’ai dit à Carmen : « mais comment tu savais que Fidel allait passer , elle m’a regardé dans les yeux et m’a dit »je suis cubaine, je sens quand Fidel est là !« ...
    J’ai fait toute l’ile de long en large, y compris Guantanamo, et partout j’ai retrouvé ce que décrit Alain Girard : un peuple magnifique, dénué de chauvinisme anti-américain mais prêt à se battre jusqu’au bout. Comme me le disait un coupeur de cannes à sucre descendu de sa machine mais ayant la machette aux côtés : »pour eux comme pour nous il vaut mieux que les yankees ne viennent pas, mais si ils viennent nous les attendons".. ;
    Ce peuple est fabuleux, d’une dignité, d’une chaleur humaine incroyable, d’un haut niveau culturel... Je dis toujours quand on connaît Cuba toute sa vie on a Cuba comme une écharde dans le coeur... Parce que ce peuple est fier, dis ce qu’il pense... Il est tout sauf la bande d’esclaves résignés, abruttis tremblant de peur devant un méchant dictateur... Amllons donc quel pouvoir tiendrait à 150 km du pire ennemi qui se puisse imaginer, comme le dit son héros de l’indépendance (au XIXe siècle) José marti : tranchées d’idées vaut mieux que mur de pierre...
    Danielle Bleitrach

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