Alain Alain

@pacifico
 Il n’y a pas de double négation.
“Aucun de ceux qui sont achevés, ne fonctionne toujours pas normalement, quand il fonctionne.”
“toujours pas normalement” : c’est le toujours qui fait qu’il n’y a pas de double négation.
La tournure est peut-être incorrecte en tout cas très lourde. Pour qu’elle soit plus explicite, j’aurais dû écrire en gardant la même phrase : “Aucun de ceux qui sont achevés, a fonctionné normalement...”
C’est guère mieux mais vous n’auriez pas trouver de double négation.
L’idée c’était de signaler depuis leur mise en place qu’il y a toujours eu des problèmes.

@pemile

“« pour idiotifier son auteur »

En relevant une erreur bénigne et courante ???!!!”

Non pas en relevant une erreur bénigne mais comme le fait TOLZAN en jugeant que : “Cela est d’ailleurs révélateur d’un certain flou intellectuel chez l’auteur.”

@Tolzan

Tous les lycéens potaches de mon époque s’amusaient de ces citations latines les plus connues comme sed lex dura lex, fiat lux, veni vidi vinci, etc.
Et donc je n’ai eu besoin que d’un tout petit effort de mémoire.
En revanche j’observe que vous connaissez la page web où les trouver toutes.
Pour ma part c’est une parodie du personnage interprété par le professeur Rollin dans la série TV Kaamellott qui multiplie les citations latines et ensuite avoue ne pas savoir ce qu’elles signifient mais trouve plaisant de les réciter.
Attentif à la forme, c’est bien.
Mais sans intérêt sauf à flatter le contempteur et prôneur.
Attentif au fond, c’est mieux.
Si la véritable intention est de s’y intéresser vraiment.

@pemile
“double négation”
Non.

“Aucun ne fonctionne” : c’est correct ;
“toujours pas normalement” : est une seconde proposition où l’adverbe “pas” ne se rapporte pas au verbe “fonctionner” mais à l’adverbe “normalement”.
La tournure est en effet un peu lourde.
L’auteur

@Tolzan
"révélateur d’un certain flou intellectuel chez l’auteur”

Ne retenir qu’un solécisme d’une longue chronique riche en informations instructives pour idiotifier son auteur révèle la fatuité du contempteur.
Certes « homo homini lupus ».
Mais surtout « vanitas vanitatum et omnia vanitas ».
Ou, en immitant Destouches, « la critique est aisée mais la réflexion est difficle ».
L’auteur