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Les commentaires de chems eddine Chitour



  • chems eddine Chitour 12 octobre 2012 17:46

     Le titre n’a rien à voir avec le contenu qui est celui de la francophonie et sa survie et non le sommet des couacs que l’auteur se fait un malin plaisir de repérer en prenant pour cible « les maillons faibles ». Il est vrai que l’auteur a dans un bref renvoi noyé son argumentaire pour en atténuer la pertinence en parlant des dérives de la présidence précédente 

    Sachant bien que les ministres ne peuvent pas faire ce qu’ils veulent. L’autorisation a du être donnée. De plus s’agissant d’une présidence normale le président aurait du prendre lui aussi une ligne régulière... 
    Il reste à connaitre le prix exact de l’utilisation un avion de la République. La quantité de kérosène pour 10.000 km serait de 2000 litres soit 4000 euros. Il n’y aurait pas un zéro en plus ? 
    Pr.C.E.C.


  • chems eddine Chitour 1er octobre 2012 17:08

    A Deneb


    Je ne vous connaissais pas sous cet angle et ma fois j’apprécie vos commentaires. La sensualité n’est pas un Package donné une bonne fois toute.- Il y a tout de même le fond - notamment quand on a affaire à un navet- mais ceci n’obère en rien le capital sympathie pour le livre papier. 
    Pour la petite histoire, je possède encore mes livres du lycée ( livres de poches ) et les pièces de théâtre qui étaient obligatoires à la belle époque . Même bouffés aux mites, je continue à les cajoler... Je dois certainement radoter...


    Pr.C.E. Chitour


  • chems eddine Chitour 27 septembre 2012 20:34

    Superbe texte merci


    Pr ;C.E. Chitour


  • chems eddine Chitour 16 août 2012 19:17

    Ce texte ne fait que confirmer ce que nous savions déjà. Il eut été préférable que l’auteur parle du racisme en général et de l’idéologie des races supérieures qui ont fait tant de mal à l’humanité. A ce titre l’idéologie III e Reich ne fut pas une rupture mais une continuité. Le mythe ds races supérieurs mis en équation par les Renan, Gobineau et même Ferry, ne fut pas seulement une spécificité française En Angleterre il y eut Joseph Chamberlain, Ruydyard Kipling Cecil Rhodes.   La « singularité » voulue des crimes de masse à l’endroit des Juifs ne doit pas nous faire oublier, le martyr des tsiganes.
    En Rappelant que les Arabes sont aussi des sémites, l’antisémitisme a leur endroit est toléré. Cela me rappelle la blague tragique de Coluche parlant de LePen : « LePen a du sans arabe. Peut être mais sur le parechoc de sa voiture ». Plus sérieusement Il n’ya pas de spécificité . L’antisémitisme devrait en toute éthique en toute morale en toute logique être combattu quand il s’agit des Arabes qui subissent dans leur immense majorité la double peine d’être à la fois sémites et musulmans. 
    Sinon à Dieu ne plaise inexorablement le mouvement raciste actuel à leur endroit fera d’eux les futurs victimes de masse. Cela à déjà commencé dans ce XXe siècle : Tous les conflits actuels mettent en jeu la vie d’arabes et de musulmans. Où est la conscience des biens pensants pour dire plus jamais çà après Auschwitz ? 

    Il est vrai que le CIO doit sortir de l’hypocrisie actuel et revenir- n’est il pas top tard ?- à l’esprit olympique et ce n’est surement pas en prenant exemple sur Pierre de Coubertin qu iétait à la fois raciste et misogyne que l’on mettra le cap sur la tolérance.
    Pr.C.E. Chitour


  • chems eddine Chitour 7 août 2012 17:46

    232 réactions plus tard, je remet les pieds dans le plat. J’apporte de l’eau à la controverse en y augmentant l’entropie des idées . Je vous fait part de cette contribution tirée de l’un de mes ouvrages.


    La création de l’univers est-elle due au hasard ?

    Nous savons que la taille de l’univers observable est de l’ordre de 1028 centimètres. A cette échelle , nous disent les scientifiques, la matière a une densité uniforme que l’on peut mesurer avec une précision de l’ordre de 10-5. Or à des échelles inférieures, l’univers cesse d’être homogène : comment l’hétérogénéité régnant à une petit échelle a-t-elle pu engendré un ordre si conséquent à une grand échelle ?

    Le cosmos tout entier repose sur un petit nombre de constantes, inférieures à 15(Constante de Planck, vitesse de la lumière, gravitation de Newton, zéro absolu, densité etc.). S’il y avait eu la modification d’une seule de ses constantes et le monde tel que nous le connaissons n’aurait pas pu se constituer. Un autre exemple de l’extraordinaire réglage : en augmentant de 1 % à peine l’intensité de la force nucléaire qui contrôle la cohésion du noyau atomique nous supprimons toute possibilité aux noyaux d’hydrogène de rester libres : ils se combinent à d’autres protons et neutrons pour former des noyaux lourds. Dès lors, sans hydrogène, plus de combinaison possible avec l’oxygène pour produire l’eau indispensable à la naissance de la vie.

    Si nous diminuons légèrement cette force nucléaire, c’est la fusion des noyaux d’hydrogène qui devient impossible, et alors, sans fusion nucléaire, plus de vie car plus de source d’énergie, plus de soleil. De même pour la force électromagnétique ou la force de gravité. Quels que soient les paramètres la conclusion est toujours la même : « Si l’on modifie un tant soit peu leur valeur, nous supprimons toute chance d’éclosion de la vie et si le taux d’expansion de l’univers à son début avait subi un écart de l’ordre de 10-40, la matière initiale se serait éparpillée dans le vide : l’univers n’aurait pu donner naissance aux galaxies, aux étoiles et à la vie ».

    Les plus éminents mathématiciens ont procédé à des expériences de nombres aléatoires grâce à des ordinateurs, partir d’une règle dérivée des solutions numériques aux équations algébriques, ils ont programmé des machines à produire le hasard. Les lois de la probabilité ont indiqué que ces ordinateurs devraient calculer pendant des milliards de milliards de milliards d’années ( l’esprit ne peut envisager cette durée que comme infinie ) avant qu’une combinaison de nombre comparable à ceux qui ont permis l’éclosion de la vie puisse apparaître. Autrement dit la probabilité pour que l’univers ait été engendré par le hasard est pratiquement nulle.


    A l’origine de la Création, il n’y a pas d’événement aléatoire, pas de hasard mais un degré d’ordre infiniment supérieur à tout ce que nous pouvons imaginer.  Ilya Prigogine, Prix Nobel de Chimie, affirme que le désordre n’est pas un état naturel de la matière mais, au contraire un stade précédent l’émergence d’un ordre plus élevé. Qu’est-ce qui peut provoquer la naissance d’une structure ordonné au sein d’un chaos ?

    Comme H Reeves, Ilya Progogine est arrivé à la conclusion que la vie repose sur des structures dynamiques dont le rôle consiste précisément à dissiper l’influx d’énergie, de matière et d’information responsable d’une fluctuation. Il démontre que l’univers sélectionne et crée des structures de plus en plus complexes mettant en lumière une propriété de la matière qui, au niveau moléculaire, tend à se structurer en une trame qui unit l’inerte, le pré-vivant et le vivant.

    Est-ce que nos connaissances, les plus actuelles sur la matière, nous conduisent, scientifiquement vers l’esprit ? Nous commençons à comprendre que c’est au cœur de la matière, que nous devons les chercher. Prenons comme exemple une goutte d’eau : elle est composée environ de mille milliards de milliards de molécules, chacune d’elles mesurant 10-9 mètre. Chacun de ces atomes est composé d’un noyau encore plus petit ; 10-14 mètres et d’électrons gravitant autour. Encore un saut et nous voici au cœur du noyau : nous y rencontrons les nucléons dont les plus importants sont les protons et les neutrons d’une petitesse extraordinaire puisqu’elles atteignent une dimension de10-15 mètre .

    S’agit-il de la frontière ultime ? Nullement. Depuis une vingtaine d’années, les scientifiques ont découvert des particules encore plus petites les hadrons, composés eux-mêmes d’entités infinitésimales qui atteignent la taille de 10-18 mètre : les quarks, et il n’existe aucune grandeur physique plus petite que 10-18 mètre. C’est dans ce sens qu’il faut intégrer le Boson de Higgs qui donne de la masse à certaines particules (électron, neutrons, mais pas aux photons) . Ces différents stades d’examen de la matière composent une clé. Nous constatons que cette clé est essentiellement faite de vide. Un exemple va mieux nous faire comprendre que l’univers est essentiellement composé de vide. 

    . Le paradoxe d’une multitude d’éléments qui, finalement débouche sur le vide nécessite un exemple : supposons que nous voulions compter tous les atomes d’un grain de sable. Supposons que nous soyons assez rapide pour en dénombrer un milliard par seconde. En dépit de cette performance, il nous faudrait plus de cinquante siècles pour effectuer le recensement complet de tous les atomes contenus dans ce grain de sable et si chaque atome avait la taille d’une tête d’épingle, l’ensemble des atomes composant le grain de sable couvrirait l’Europe entière d’une couche uniforme de 20 centimètres ! Si tous les atomes qui composent notre corps devaient se serrer jusqu’à se toucher, personne ne se verrait : nous aurions tous la taille d’une infime poussière de quelques millièmes de millimètres.

    Si nous tournons nos yeux vers les étoiles, vers l’infiniment grand, que voyons nous ? Un vide énorme et toujours plus loin, à des millions ou des milliards d’années-lumière, le vide intersidéral, une immensité inconcevable, glaciale. Il existe une similitude entre l’infiniment petit et l’infiniment grand avec une différence aussi du fait que les étoiles sont des matériaux visibles et les particules atomiques ne sont pas des grains de poussières.

     L’élément fondamental de la « Théorie Quantique » que le physicien anglais T. Young, réalisa, en 1801 pour la première fois est connu sous le nom « d’expérience de la double fente » et le physicien américain, R Feymann a pu dire qu’elle met en évidence un phénomène qu’il est impossible d’expliquer d’une manière classique. Il renferme le seul mystère, le cœur de la mécanique quantique.

     Rappelons le dispositif : une surface plane percée de deux fentes, une source lumineuse située devant et un écran placé derrière la surface plane. Que se passe-t-il lorsque nous envoyons une source lumineuse sur la surface plane ? On observe sur l’écran une série de raies verticales, alternativement claires et sombres. Comme le fit Young, on peut conclure que la lumière est comparable à un fluide qui se propage grâce à des ondes. Or, Einstein ne donne pas cette conclusion. Pour lui, la lumière est faite de petits grains, les photons : comment des myriades de grains tourbillonnant, séparés les uns des autres, peuvent-ils constituer les bandes cohérentes, successivement obscures et claires ? En décomposant et en détaillant l’expérience, le physicien américain H Stapp, en 1977 a pu dire : comment la particule de lumière, le photon sait-elle qu’il y a deux fentes pour reformer progressivement la trame, les raies verticales claires et sombres, puisque lors de l’envoi des jets de lumière il n’y a aucune visée ?

    Si nous supposons que nous parvenions à repérer par quelle fente passe chaque photon, alors notre photon se comporte exactement comme une particule passant par un des orifices. Au contraire, si nous ne suivons pas ou si nous agissons comme ne vérifiant pas la distribution des photons sur l’écran, alors ils finissent par former une figure d’interférences d’ondes : en somme ils agissent comme s’ils savent qu’on les observe et de quelle façon\ 

     Cette expérience nous amène vers le point de vue de Teihard de Chardin, pour qui, tout dans l’univers, jusqu’à la plus infime particule, est porteur d’un certain degré de conscience. Si la majorité des scientifiques ne partage pas cet avis, le physicien américain Stapp, en 1970, exposa une thèse disant que, puisque tout événement est en dernière instance le produit d’un ou de plusieurs événements quantiques, l’univers est habité par un nombre presque illimité d’entités conscientes, discrètes, généralement non pesantes, qui ont la responsabilité du fonctionnement de l’univers. 

    Pour Newton, l’extension infinie et la conception sublime du cosmos manifestent la gloire de Dieu. Mythes, religions et sciences s’avèrent complémentaires pour répondre à l’éternelle énigme : pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? Marcelo Gleiser, professeur de physique au Dartmouth College, auteur de The Dancing Universe : From Creation Myths to the Big Bang (Plume, 1998).

     Toutes les cultures ont tenté d’expliquer le mystère de l’existence du monde. Notre tradition scientifique ne fait pas exception. Les hypothèses de la recherche présentent d’ailleurs de surprenantes similitudes avec les suggestions avancées par les mythes. A cette différence près : la recherche scientifique évince les explications qui ne cadrent pas avec l’observation, tandis que la foi suffit à cautionner le mythe.*

    La science peut-elle résoudre l’énigme immémoriale de la Création ? Elle n’hésite plus, depuis les années 70, à proposer des modèles physiques pour décrire l’origine du cosmos. Mais chacun d’entre eux se heurte au même obstacle technique : on ne dispose d’aucune théorie capable d’intégrer les fantastiques quantités d’énergie qui prévalent aux premiers instants de l’histoire cosmique.

     A ce stade, un « bon » modèle serait, à la fois, compatible avec les observations et ouvert aux changements. La recherche scientifique est un processus continu – elle ne délivre pas de vérités définitives, seulement une approche de la vérité. Dans son état actuel, la science n’est même pas en mesure de répondre aux questions concernant ses propres fondements : pourquoi l’univers se conforme-t-il aux lois que nous avons découvertes et pas à d’autres ? Nous ne le savons pas. 

    Tiré de l’ouvrage :C.E. Chitour : Science foi et désenchantement du monde Edit OPU Alger 2006

     Bonne bagarre tout en élégance en évitant les attaques ad hominem, il vaut mieux s’attaquer aux idées par un contre argumentaire tout en élégance, que de s’en prendre à leur auteur


    Pr.émer.C.E. Chitour



  • chems eddine Chitour 22 juillet 2012 10:44

    @ Leo Le Sage


    Je vous remercie pour votre pondération et votre...sagesse. Je suis globalement d’accord avec vos remarque qui ne contredisent pas , me semble-t-il, mes propos. C’est avec amertume que l’on découvre l’ambiguïté du discours occidental. D’un côté on nous parle de droits de l’homme, du devoir des races supérieures d’aller vers l’émancipation de ces peuples obscurs, de l’autre on utilise le napalm si cela ne s’arrange pas. Vous savez qu’après le concept de droits de l’homme,- qui ne sont pas valables dans les colonies pour Jules Ferry-, il y eut de nouveaux concepts tels que le devoir d’ingérence, les printemps parfumées, bref tout est mis en oeuvre pour que les peuples ne soient jamais libres.. Comment voulons nous vivre finalement ?N’avons nous tous pas autant que nous sommes , le droit à une égaler dignité qui se décline par un droit à l’éducation, à un smic d’alimentation et de santé. Où allons nous ? La question restera toujours posée tant que l’on ne changera pas de paradigme. 


  • chems eddine Chitour 16 juin 2012 18:33

    La thermodynamique peut lever des verrous technologiques. Imaginons que les recherches nous permettent d’aboutir un jour à des rendements de conversion de chaleur en travail de 60 à 70 % ; C’est le rêve du même coup on consommerait deux fois moins pour avoir le même service. Cela pourrait par exemple nous donnait « un sursis » si nous savons y faire. En clair en ne continuant pas dans cette voie « d’ébriété énergétique » au lieu et place de la « sobriété énergétique ». 

    Décroître d’une façon ordonnée sa façon de consommer l’énergie en mettant le cap sur les fondamentaux de la vie comme le martèle aussi Pierre Rabhi, c’est peut être cela qui va sauver la planète. Faire la chasse au gaspi, consommer local, consommer les fruits de saison, donner une seconde vie aux choses, en un mot changer de paradigme en tournant le dos à cette civilisation de l’éphémère c’est peut être cela qui va sauver la planète. Le clergé néolibéral l’entendra t-il de cette oreille ou continuera-t-il à nous droguer par tous les moyens en faisant de nous des victimes consentantes qui déifient le nouveau veau d’or du money-théisme ? La question est posée 


  • chems eddine Chitour 16 juin 2012 12:12

    Bel article qui pose la vraie question : Qu’est ce qu’être français au XXIe siècle ? Doit on comme de Villiers ou Jean Marie Le Pen arrêter le compteur à Alésa et aux valeureux gaulois d’Asterix ? Il eut fallu pour cela que la France ne soit pas tenté depuis plus d deux siècles par l’aventure coloniale, plus exactement depuis « l’expédition d’Egypte » avec Napoléon. Pendant lus de deux siècles surtout après le traité de Vienne qui vit e tourner hors de l’Europe les rêves d’empire avec les résultats quel’on connait. Chirac disait que près de 15 millions de français sont d’origine étrangère. Quand ces allogènes font gagner la France, ils sont français,,sinon ils sont des beurs même de la dixième génération. Ce marqueur identitaire ne connote que les maghrébins et les mélanodermes. Qu’on le veuille ou non ils sont là . Qu’ils trichent avec la sécu, ce ne sont pas des saints. le vrai problème est qui a été posé d’une façon ironique et élégante est le combat contre la richesse indue, la richesse imméritée qui ne correspond pas à une force de travail, à qui correspond à la collusion du pouvoir et sa proximité avec l’argent Tous les pays à des degrés divers connaissent cela. Il s’agit d’un combat de titans que nous devons mener quelque soient nos latitudes. Réhabiliter l’effort, le devoir bien fait, combattre le néo-libéralisme qui jette sur la paille des pans entiers des sociétés avec des pouvoirs complaisants qui pensent que les rustines posées çà et là régleront les problème. Alphonse Allais martelait avec son humour décapant qu’il fallait chercher l’agent là où il se trouve ,c’est à dire chez les pauvres !!! Il faut changer de paradigme et prôner uen nouvelle forme de justice , car l’adversaire du Français qui sue sang et eau n’est pas le besogneux bougnoule ou mélanoderme mais le rapace qui au grès du vent se barre en Belgique ou en suisse pour profiter des avantages fiscaux.


    Pr.C.E. Chitour
     


  • chems eddine Chitour 26 avril 2012 18:57

    Belle synthèse monsieur Gharbi


    On peut penser aussi en complément de ce combat ,les prémices appelées de ses voeux d’un certain Samuel Huntington, voir aussi d’un Bernard Lewis qui ne sont pas particulièrement tendres avec l’Islam.
    Monsieur Fethi Gharbi vous n’incriminez pas le grand capital qui fait fi des identités et des espérances, car en fait nous ne sommes pas dans une bataille opposant des spiritualités - Il faut savoir, par exemple, qu’après la parousie du Christ, les Juifs devront se convertir au christianisme sinon ils devront être éliminés- La finalité est en fait l’avènement du money-thésime ce Dieu de l’argent contre le monothéisme. 
    Si l’islam sert de variable d’ajustement, c’est tout bénef pour ceux qui sont encore croisés et qui appellent de leurs voeux la fin des temps. 
    L’article termine sur un questionnement : Quel sera le futur de l’humanité dans une Terre de plus en plus invivable ? Allons nous inexorablement après avoir démoli l’Islam vers d’autres guerres -entre eux- ? Ce sera à non point douter la guerre de tous contre tous dont parle Hobbes

    Pr. Chems Eddine Chitour


  • chems eddine Chitour 10 mars 2012 18:55
    Merci pour l’article 
    J’ai posté un commentaire que je retrouve pas. Puis le récupérer ?

    Pr.C.E. Chitour


  • chems eddine Chitour 14 décembre 2011 14:13

    @ Pimpampoum
    Mea culpa , je dois confesser à ma grande honte , je ne savais pas que citation de Thomas Jefferson est sujette à controverse. J’ai appris quelque chose . merci. Pour le reste , je vous laisse libre d’adhérer ou pas à mon plaidoyer . Je pense que le sens global du texte est surtout un questionnement pour tenter d’arrêter cette spiral qui précipite dans les abysses. Il fut un temps béni, où tant bien que mal les Etats Unis avaient un magister moral. Nous avons tous à des degrés divers rêvé de la Patrie d’Armstrong , de l’Américan way of life. Force est de constater que nous sommes dans la période qui parait longue de l’American way of war....

    Cordialement

    Prof.C. E. Chitour



  • chems eddine Chitour 10 décembre 2011 18:37

    Beau texte qui rejoint deux professies. On rapporte que quand Joseph a été jeté dans le puits, ses frères donnèrent la triste nouvelle au père- qui ne voulait pas y croire’ en incriminant les loups. Ces derniers « consultés » jurèrent qu’ils ne furent pour rien et s’anathématisèrent en disant qu’ils vivraient le 14e siècle s’ils avaient f menti ! Nous y sommes en l’an de g^race 1433 de l’Hégire. La deuxième est la professie promettant la fin du mOnde en décembre 2012. le compte à rebours a donc commencé. 

    le balisage du temps est purement hypothétique. Il n’a donc pas lieu de s’affoler Ceci dit, On peut donc raisonnablement qu’un Monde est en train de finir dans l’anomie et qu’un autre émergera nécessairement .
    Espérons qu’il sera plus juste

    Pr.C.E. Chitour 


  • chems eddine Chitour 10 décembre 2011 17:07

    @ l’auteur 

    Quelques petites remarques : Le Soudan est une affaire de pétrole entre le nord et le Sud . la Chine est au premier rang au Soudan. En Algérie, elle n’intervient que pour moins de 10% contrairement à Total qui veut fourguer à l’Algérie aussi son savoir faire sur les gaz de schistes dont l’exploitation lui a été interdite en France.
    S’agissant des énergies, vous n’avez pas dit un mot sur les énergies renouvelables solaires éoliens, géothermie, énergie des vagues qui représentent un potentiel exploitable équivalent à cinq cent fois la consommation de 2010 ;
    Pour le moteur perpétuel, indépendamment de la « théorie du complot » qui veut que les compagnies pétrolières bloquent tout ce qui n’est pas pétrole, je ne sais pas s’il y a une étude ou des études sérieuses sur sa fiabilité . Si tel était le cas , ce sont les fondements de la physique et de la thermodynamique qu’ils nous faudra re-fonder.
    Pour le reste, la situation en France est spécifique. Le scénario en« vogue » à 50 % d’énergie électrique d’origine nucléaire au lieu des 75% actuelles est tout à fait crédible. Le reste c’est une question de volonté politique...
    Cordialement

    Prof ;Chems Eddine Chitour


  • chems eddine Chitour 19 novembre 2011 16:41

    @ l’auteur,

    Bel article qui nous démontre que le clivage n’est pas entre les gens du Nord et ceux d’en bas, entre les Musulmans et les autres ,entre les Arabes et les Autres. Il est entre ceux du Haut et ceux du bas entre ceux qui galèrent et ceux qui palpent. La mondialisation -laminoir pour ne pas la nommer , le capital prédateur sont là pour casser les solidarités et les équilibres séculaires entre les peuples. Rien ne doit s’opposer au divin marché pour reprendre Dany Robert Dufour. La nouvelle religion de l’argent , le money-théisme sera le seul dogme auquel il faudra obéir. Il attend de nous de ne pas penser , mais de dépenser.. si on a le sous. Sinon on est de plus en plus marginalisé et à terme broyée. 

    Professeur Chems Eddine Chitour


  • chems eddine Chitour 8 novembre 2011 17:28

    Merci pour ce texte superbe sobre. Tout y est ! Le procès d’une mondialisation laminoir, l’effilochement des solidarités. la prédation par l’oligarchie financière qui privatise les gains et mutualise les pertes selon les bons mots de Joseph Stiglitz prix Nobel d’économie. Comme quoi nous ne sommes pas seuls à penser ainsi....


    J’ai particulièrement apprécié :"Cette course aux économies prédatrices disloque le travail et provoque de la souffrance là où l’on devrait caresser le mieux-être.

    Merci le combat continue

    Pr.Chems Eddine Chitout


  • chems eddine Chitour 3 novembre 2011 13:35

    A jymb


    Je sens dans votre réaction une détresse et je la respecte. Je vous demande seulement, et sans faire dans la concurrence victimaire de réaliser ce que fut 132 ans déclarée golbalement d’oeuvre positive sans aucune nuance pour les millions de vies broyées. Les guerres et les invasions ne sont jamais propres. les résistances ne sont jamais en définitive jamais pures et sans quelque part. Au lycée, j’ai appris jeune le Chant des Partisans de Joseph Kessel et de Maurice Druon : « Ami si tu meurs un ami sort de l’ombre à ta place ». A la balle au couteau tuez vite..."
    Pour le reste votre dernière phrase ne doit pas être une sanction sans appel. Il y a un espace pour une écriture de l’histoire à deux mains, si on veut qu’un jour on puisse redéfinir une nouvelle relation basée sur le respect mutuel, l’égale dignité et pourquoi pas une réciprocité. A titre d’exemple, l’Algérie a fait plus pour la langue française sans contrepartie que la plupart des pays qui émargent au ratelier de la francophonie... Qu’on se le dise, la langue française que l’on nous avait apprise-grâce en soit rendu à nos instituteurs qui ont su braver des interdits- à dose homéopathique était parler par moins d’un million de personnes -en 132 ans de colonisation . L’Algérie de 2011 contribue au rayonnement universel de la langue française en ayant former plus de 25 millions de personnes en cinquante ans. D’une certaine façon, l’Algérie a fait ce qu’il fallait faire pour la langue française continue à raoyonner dans le monde. C’est dire si elle n’est pas rancunière, elle demande seulement à ce que l’on reconnaisse que la colonisation ne fut pas pour les damnées de la terre que furent les Algériens ,un long fleuve tranquille.

    Prof.C.E. Chitour


  • chems eddine Chitour 22 octobre 2011 15:44

    A mes contradicteurs, Calmos , Never More
    Le moins que l’on puisse dire est que votre parti-pris -injustifiée- est tenace ! Mais bon, si c’est la France des Lumières, la France mère des arts des armes et des loi, la France des Libertés des droits de l’homme .. c’est triste. Ce n’est pas demain que nous écrirons une histoire apaisée de ce qu fut réellement la colonisation avec ses parties lugubres mais aussi dans une moindre mesure, avec ses parties nobles notamment l’éducation. Ce qui fait que je peux vous apostropher dans la langue de Villon, Vauvenargues...
    Pour nous François Hollande serait le moindre mal, mais bon c’est vous qui voyez.. 

    Pour le reste vous vous trompez de combat ! les peuples ont besoin de justice  de se retrouver quelque soit leur latitude pour affronter les vrais problèmes qui traversent les sociétés. Où allons nous avec cette mondialisation -laminoir ? Il faut réhabiliter l’homme , lui permettre quelque soit sa latitude de vivre dignement..

    Pr.C.E. Chitour 




  • chems eddine Chitour 10 septembre 2011 18:43

    @ l’auteure,

    Peut être qu’il faudrait ajouter à ce plaidoyer pour une compréhension plus complète, Le PNAS (Program for American New Centuy) mis en place justement par ce « cabinet de l’ombre ». La ligen directrice est de secouer la torpeur du peuple américain en lui donnant un challenge digne de lui. Pour cela il fallait provoquer un choc du type Pearl Harbor ( cité dans le texte) pour le remobiliser. Toute l’histoire des Etats unis est une suite de provocation -intervention (guerre avec l’Espagne, avec le Mexique.. guerre du Vietnam, guerre avec les Japonais)..

    Cela conforte l’idée que si le 11 septembre n’avait pas eu lieu, il eut fallu l’inventer ! pour la bonne cause....

    Pr.C.E. Chitour




  • chems eddine Chitour 30 août 2011 11:34

    « La critique est aisée mais l’art est difficile ! »

    A ceux obnubilés par les slogans de la démocratie dont ils ne connaissent ni les tenants ni les aboutissants. Qu’on le veuille ou non les indicateurs sont là . Les Libyens vivaient bien mieux que les autres citoyens d’Afrique. Les attaques ad hominem ne font pas avancer les débats. surtout de la part de ceux qui ont l’inective facile embusqués derrière leur anonymat . Descendez dans l’arène et cessez de penser à travers une doxa occidentale dimensionnée à la taille des plus nantis. Car, ne nous leurrons pas ! Le combat à mener est celui de la dignité humaine quelque soit la latitude. Le combat des « indignés », des « sans grades » mais pas « sans droit » en Europe est aussi mon combat. Il nous militer pour aller vers un ordre plus juste et dénoncer toutes les dérives d’où qu’elles viennent. 
    Kadhafi était un tyran, il devait partir je l’ai écrit moult fois, la dernière fois sur ce site j’avais dénoncé un « Néron africain ». Cet occident qui lui a permit d’installer sa tente dans les jardins de l’Elysée, se retourne maintenant contre lui. Il n’empêche ! Ce qui attend les Libyens n’est souhaitable à personne. Ce sera comme en Irak, une guerre civile, une curée et un retour à la case départ en terme de développement. J’assume d’appartenir à une sphère civilisationnelle qui a contribué elle aussi à donner à l’humanité ses lettres de noblesse. J’enrage de voir la condition actuelle des peuples arabes prisonniers de potentats installés dans les temps morts. Dans le même temps je ne fais pas confiance à « l’oligarchie prédatrice » en occident qui fait à la fois le malheur des pays vulnérables mais aussi celles de son peuple de sans grade.

    Professeur Chems Eddine Chitour

    Ecole Polytechnique Alger
    Ancien Professeur associé à Toulouse 


  • chems eddine Chitour 6 août 2011 15:43

    Cet article est inexact sur plusieurs points.


    Quand on parle de décompostion de matière à l’état fossiles, c’est à la fois la faune et la flore et pas seulement les dinosaures
    Les tempèratures sont de 1° tous les 30m de profondeur et la pression est généralement hydrostatique. A 3000 mètres ( gisement de Hassi Messaoud) dans une ancienne mer intérieure ( le Sahara) la température est de l’ordre de 100 C , il sort en surface à environ 130 C et à une pression de 300 kg/cm2, nous sommes loin des 2000 C et 25 000 atmosphères

    La deuxième erreur est que l’auteur a oublié de citer la synthèse de Fisher Tropsch qui permet à partir de gaz ( CH4 ou plus) de synthétiser des hydrocarbures (une sorte de polymérisation du groupement CH2)

    En clair, le pétrole n’a pas besoin des températures et pression aussi élevées, par contre la cinétique est catalysée par des bactéries et demande du temps beaucoup de temps des millions d’années..

    Enfin ces théories abiotiques ont été énoncées il y a 150 ans par l’ecole russe avec notamment Mendeleev. De plus elles ont été abandonnées du fait notamment de la présence de coquillages dans les carottages des puits, et surtout de la présence d’eau salée avec le pétrole Ce qui démontre sans conteste l’origine marine du pétrole.

    Pour les élucubrations sur une théorie du complot, nous quittons le rationnel pour aller sur le continent de la fiction... C’est un autre débat

    Prof.C.E. Chitour