La COVID-19 et ses VACCINS : des VÉRITÉS, des INCERTITUDES et des MENSONGES !
Les MENSONGES des communicants gouvernementaux et de divers intervenants dans les médias font partie d'un vaste ensemble d'INCERTITUDES incluant quelques VÉRITÉS sur la légende romanesque de la COVID-19 s'écrivant jour après jour. Des faits et quelques certitudes émergent cependant dans le cloaque des gazouillis et des rugissements des divers intervenants ! Après en avoir révélé un certain nombre, chacun pourra se faire sa philosophie ou ses pronostics !
Les MENSONGES
Des mensonges sur la COVID-19
Ils fleurissent partout pour de bonnes et moins bonnes raisons et souvent par incompétence et besoin de communiquer, de se mettre en avant. En France, où les "responsables" politiques, administratifs et scientifiques considéraient les Français incapables de faire face à la Vérité CATASTOPHIQUE des manques de masques, de tests, de lits de réanimation et de personnels adaptés et compétents, et pour masquer une politique de réduction des dépenses de santé, poursuivie par des gouvernements dits de gauche, de droite ou de "à la fois de gauche et de droite", alors des communiquants ont conçus divers "éléments de langage" répétés à l'envi, sans peur du ridicule. Puis avec l'évolution de la situation et des approvisionnements, les "vérités officielles" ont été inversées ! Sans le moindre "mea culpa", avec la bonne conscience d'avoir toujours été en adéquation avec la situation et donc de ses manques de moyens ! La seule excuse c'est que la situation a été pire ou plus mal gérée dans d'autres pays occidentaux, en oubliant que certains autres pays et leurs gouvernements ont réagi avec une grande efficacité, dans la sérennité et en toute confiance avec leurs citoyens.
Inutile d'ajouter notre indignation à toutes celles de la grande majorité des Français. Cependant, concernant le passage sous silence de la situation catastrophique dans les EHPAD, des langues se délient, des révélations sur la rétention des masques, des tests et autres moyens, sur un tri selon l'âge et les comorbidités, sur les préconisations (avec décret gouvernemental) d'utiliser des produits utilisés en hôpital, avec un protocole "éthique", pour les soins palliatifs (avec des piqures selon un mode d'emploi précis) conduisant à un départ rapide du malade avec des souffrances fortement allégées, constituent un SCANDALE reléguant celui du sang contaminé en simple délit ! C'était plus une préconisation de l'euthanasie pour faire face aux risques de débordements, de saturation des équipements médicaux, qu'une véritable compassion. Avec à la clef, en proportion, au moins un mort en EHPAD pour 2 morts en hôpital ! Soit une "bonne dizaine" de milliers de morts en EHPAD !!!
Et pourtant d'autres solutions existaient, par exemple celle mise en place par un EHPAD des abords de Lyon (comme rapporté dans l'émission "Pièces à Conviction" du mercredi 18 novembre 2020 sur France 3 ) dans laquelle est rapportée l'initiative citoyenne d'un EHPAD associatif où l'établissement s'est totalement confiné -résidents et personnels soignants et administratif dès l'obligation de confiner pour 15 jours, étendu ensuite à 50 jours- sans sorties, sans masques, ni contacts avec l'extérieur, tout en maintenant les activités et les libertés de circuler, de discuter, de se distraire ensemble, avec toutes les chambres ouvertes : cette décision a été prise en absence de tests (ils ne savaient pas s'il y avait un début de contamination) : conclusion 50 jours plus tard pas un seul décès et après les tests enfin arrivés pas un seul cas de contamination. L'ambiance est restée chaleureuse et a compensé l'absence de contacts physiques avec les familles. Combien d'autres EHPAD ont adopté cette disposition pour le confinement de la deuxième vague ? Probablement aucun, avec les encouragements des ARS... Dans la deuxième vague on compte environ un mort en EHPAD (et autres établissements de soins sililaires) pour 3 à 4 morts en hôpital : les personnes âgées les plus fragiles ayant été emportées par la première vague !
Un confinement total et HUMAIN des personnes âgées et vulnérables à différentes pathologies les protègerait efficacement des contaminations extérieures. Tandis que les confinements à domicile, familiaux avec plusieurs générations et des contaminations possibles en provenance de l'extérieur (enfants en école, parents au travail..) sont des sources principales de contamination ! Les discours officiels font semblant d'ignorer ces constatations de bon sens ! Combien de lits dans des hôpitaux fermés en province, de lits dans les hôtels fermés auraient pu être mis à la disposition d'un confinement/éloignement des personnes vulnérables non contaminées et à protéger ?
Des mensonges sur les vaccins
Des mensonges répétés et systématiques saturent les médias en ce qui concerne le coût des recherches et du développement des vaccins par de grandes firmes pharmaceutiques et par des instituts de recherche publics ou privés. Les équipes travailleraient "24 heures sur 24" et ce depuis plus de 6 mois !! Les coûts seraient ÉNORMES pour obtenir aussi vite des résultats : C'EST ARCHI-FAUX !
En effet, les moyens en personnel de recherche et de développement, les équipements d'analyse et de manipulation existaient déjà au sein des entreprises et des instituts : il y a eu certes des réaffectations de divers moyens utilisés par ailleurs et déjà pris en compte dans les budgets généraux. Toutefois dans le cadre de gestion par objectif ou par programme, les moyens mis en oeuvre pointaient alors sur le nouveau programme dans le cadre d'une gestion interrne. Ni les grandes entreprises, ni les centres de recherches, ni les instituts de recherche (comme l'Institut Pasteur) n'ont embauché des personnels supplémentaires (à quelques individus près), ni investi massivement dans de grands équipement superperformants : après leur commande éventuelle, ils n'auraient pas pu être construits et livrés à temps, étant donné les durées anormalement courtes des recherches déjà couronnées de résultats tangibles ! Toutefois quelques programmes spécifiques de sous ou co-traitance ont pu être passés par les grands groupes auprès de petites unités extérieures spécialisées en biologie moléculaire, en manipulations génétiques, mais étant donné la taille de ces petites unités les montants engagés restent faibles de l'ordre de la dizaine ou de la centaine de millions d'euros ou dollars. Par contre, pour honorer des commandes massives de doses de vaccin, avec un prix de vente "adapté", quelques investissements de productioon - très vite amortis- sont rapidement mis en oeuvre.
L'objectif de la recherche-développement de vaccins était énorme : plusieurs milliards d'individus (la population mondiale) étant concernés si la COVID-19 ne disparaissait pas rapidement dans notre biosphère humaine ! Avec une forte probabilité d'une vaccination annuelle répétée, (si ce n'est tous les 6 mois) il se profilait un marché (et une dépense mondiale) énorme : les premières estimations par des spécialistes médiatiques étaient de l'ordre de plusieurs dizaines de dollars la dose d'où un marché de plusieurs centaines de milliards de dollars !!! Puis les estimations et quelques indiscrétions (volontaires) des fabriquants potentiels ont ramané la dose à 10 dollars et même moins (jusqu'à 2 dollars pour certaines indiscrétions sur des vaccins pas encore prouvés et commercialisés !) ; le gateau à se partager reste énorme.
Pour se partager avantageusement le futur gateau les grandes firmes devaient concentrer leurs propres forces internes existantes pour mettre au point, -le plus rapidement possible- le vaccin gagnant ! Eles n'ont pas engagé "un pognon de dingue" ni fait appel aux marchés financiers. Comme les Instituts publics de recherche concernés, les grandes firmes ont quémandé des subsides étatiques sous forme de subventions ou d'accompte sur des précommandes à livraison prioritaire, mais sans commune mesure avec l'immense marché potentiel de la vaccination de la quasi totalité de la population mondiale.
Les VÉRITÉS
Elles sont difficiles à débusquer, parfois elles s'appuyent sur des nombres approximatifs.
La COVID-19 n'a rien à voir avec les grandes pandémie du moyen-âge de peste et de choléra qui décimaient des populations entières de villages et de quartiers de villes !! Ni même avec la pandémie de la grippe "espagnole" débutant pendant la première guerre mondiale et s'amplifiant juste après, avec plusieurs dizaines de millions de morts. La population de la planète a plus que doublé, la médecine et l'hygiène ont fait des progrès et les pertes de vies humaines sont fortement réduites : actuellement, pour la pandémie de la COVID-19, bien inférieures à 2 millions de morts (1,6 million pour 60 millions de cas de malades ou de contaminés, avec des normes de comptabilité variables selon les pays). En retenant la valeur de 2 millions de morts, vraisemblable jusqu'à la fin de la deuxième vague (avant les prometteurs vaccins) pour moins de 8 milliards d'humains, le pourcentage de décès prétendument dus à la COVID ne serait que de 1 pour 4000 soit 0,025% par an, alors que la mortalité annuelle varie de 2% par an (pays pauvres du tiers monde) à 1,25% (pays développés). En France, la mortalité sur un an sera très inférieure à 66 000 (de l'ordre de 57 000 actuellement) donc sera inférieure à 0,1% de la population totale, concernant toutefois (pour plus de 80% des morts) des personnes âgées avec plusieurs comorbidités et une espérance de vie de quelques semaines à quelques mois (la durée moyenne de séjour en EHPAD est d'environ 3 ans, donc un taux de mortalité de l'ordre de 30% par an en temps normal ! À comparer -pour les EHPAD- avec des taux de mortalité (selon les établissements) pour la première vague de 5% à plus de 30 %, (mais sur 2 à 3 mois seulement) ! Statistiquement, pour l'instant la COVID-19 se compare à une forte pandémie de grippe.
Mais si dans les pays où sévit les famines endémiques et les diverses épidémies, la COVID-19 est un évènement mineur, elle est amplifiée médiatiquement dans les pays développés, pays où le bien-être et la santé pour tous sont des "valeurs !!!" que les gouvernements doivent assurer à leurs populations, et où la culture de la PEUR amplifiée par les medias devient irrationnelle.
Le déroulement de l'infection et de la maladie
A- Pour les premiers malades déclarés et reconnus le déroulement est le suivant :
- Contamination par voie aérienne orale du système respiratoire avec production interrne du virus et expiration des virus dans des microgouttelettes, des aérosols, des postillons, de la toux ; la dite expiration étant contagieuse pour le proche entourage. Pendant environ 5 à 7 jours les virus se multiplient dans l'organisme infecté sans que des symptomes réactifs n'apparaissent : le système immunitaire n'aurait pas encore réagit ! ?
- Puis divers symptomes se manifestent : la contagion des personnes extérieures continue (1 à 2 semaines) et le système immunitaire entre en action : enfin !
+ fièvre : les lymphocytes attaquent les virus, dans les cellules épithéliales du système respiratoire, dans le sang et dans d'autres cellules où le coronavirus a migré !
+ courbatures musculaires : les virus contaminent des cellules musculaires ;
+ perte du goût et de l'odorat : les cellules gustatives et olfactives (dans la bouche, les cavités nasales et le larynx) sont donc détruites ou endommagées. Les coronavvirus sont donc présents dans la salive et dans les muqueuses des cavités, ce qui permet des prélèvements et des tests.
+ toux : les virus sont accrochés dans la gorge, la trachée artère et les bronches et sur leurs muqueuses ; ils sont en partie arrachés par le violent coup de vent de la toux et expulsés vers l'extérieur.
+ difficultés respiratoires, allant progressivement vers la détresse respiratoire et l'étouffement : les bronchioles, les alvéoles pulmonaires, leurs cellues épithéliales et les capillaires sanguins au contact sont donc infectés par les virus qui s'y multiplient. Le système immunitaire est à la manoeuvre avec ses lymphocytes T et B, puis avec les K ou NK stimulés par la présence des anticorps.
+ parfois conjonctivite, diarrhées : les virus se déposent dans le liquide autour des yeux et se répand dans le microbiote du tube digestif. On les retrouvent dans les selles et dans les égouts.
+ maux de tête : comme pour d'autres virus, (rhume, grippe) des virus vont dans le cerveau via le réseau sanguin, les nerfs et en traversant le bulbe olfactif.
+ fatigue générale : toutes les cellules des sens du corps pour détecter des agressions réagissent au coronavirus.
B- Déroulements singuliers de la maladie :
Des tests ont permis de découvrir que des personnes avaient été infectées sans déclencher de symptomes (cas asymptomatiques) et guérissaient naturellement, certaines ayant produit des anticorps spécifiques, d'autres pas (les lymphocytes T 4 et T 8 étaient suffisants pour éliminer les virus) : actuellement deux hyprothèses sont envisagées : soit la charge virale (la contamination initiale) était faible (exposition de courte durée et peu intense) soit l'organisme était particulièrement résistant et adapté (adultes en bonne santé, en forme, jeunes et enfants en phase de forte création/multiplication de cellules permettant une regénération très rapide des cellules détruites par les virus).
Le plus remarquable dans les cas asymptomatiques réside dans le fait que les "porteurs sains" multiplient les virus et sont donc contagieux pendant environ 2 semaines !
C- Contagion et propagation de la CVID-19
La contagion se fait principalement par voie aérienne, par des microgouttelettes et aérosols porteurs d'un grand nombre de virus. Ces microparticules sont inspirées en passant par les fosses nasales, et dans le système respiratoire supérieur et inférieur, jusqu'aux alvéoles pulmonaires. L'air chargé de ces microparticules se comporte comme l'air aspiré des vaporettes ou de la fumée de cigarette : une très faible partie se colle sur les parois - les muqueuses recouvertes d'un mucus protecteur- et la très grande partie est expirée avec ses microparticules comme pour la fumée de cigarettes ou des "fumées" des vaporettes. Heureusement que tous les virus entrants ne sont pas captés par l'organisme. Par contre, dans une réunion de plusieurs personnes dont quelques-unes sont génératrices des virus par multiplication, les virus rejetés par les expirations sont disponibles pour les autres participants ! L'expiration et la toux s'effectuant en grande partie par la bouche, alors la cavité buccale et la salive sont contaminées.
On ne sait pas si les dépôts de microparticules aqueuses de virus se collent au muccus des muqueuses pour être progressivement remontées -à l'aide des cils animés- vers la glotte et la cavité buccale pour descendre dans l'oesophage, comme cela se fait pour les microparticules de pollutions et de fumées, ou si les micrrogouttelettes et aérosols se dissolvent dans le muccus pour ensuite voyager vers les cellules épithéliales du sytème respiratoire.
Pendant les 5 /7 jours de contagion par multiplication expulsion des virus, avant que les symptomes éventuels apparaissent, on ne sait pas où et comment se multiplient les virus. Les explications implicites admettent que les virus entrent dans les cellules épithéliales et s'y répliquent en masse avant d'être expulsées : il faudrait que pendant les 5/7 jours l'expulsion se fasse prioritairement vers les circuits aériens respiratoires, et très peu vers les capillaires sanguins servant aux échanges gazeux oxygène/gaz carbonique et aussi vapeur d'eeau. Ensuite les capillaires étant devenus prioritaires, les lymphocytes du système immunitaire entrent massivement en action, dans tout le système respiratoire, nez et bouche inclus. Pendant encore 2 semaines les malades déclarés sont contagieux, mais après il semble que la diffusion du coronavirus se répand dans tout ou dans une grande partie de l'organisme et pose de graves problèmes de santé (assistance respiratoire, réanimation) . Une autre explication hypothétique repose sur le fait que les bactéries sont de merveilleuses usines à répliquer les virus : toute bactérie a un ou pluieurs virus "bactériophages" capables d'y pénétrer, de se faire multiplier en très grand nombre (de 50 à 200) et même d'en mourir par éclatement. Les muqueuses sont toutes porteuses de bactéries au niveau du muccus, en très grand nombre (des milliards) réparties en plusieurs espèces (environ 200 différentes dans la bouche) : alors si dans le pannel des bactéries formant un film protecteur dans l'intégralité du système respiratoire se trouvent des bactéries compatibles avec le coronavirus, alors la multiplication et la contagiosité se développent rapidement !
En ce qui concerne la propagation "aérienne" du virus ces derniers peuvent se déposer en aérosols sur des surfaces (cuivre, inox, plastique...) puis se déssècher et se déposer sur les mains par contact, puis transiter vers le nez et la bouche par le toucher des mains. Si les virus peuvent rester actifs hors du millieu acqueux en se déssèchant alors dans le vent et courants d'air ils peuvent aussi être déssèchés et emportés sur des distances importantes ! Mais la concentration diminue du fait de la dispersion !
D- Contagiosité et vaccination
La vaccination a pour but de simuler une première infection ou maladie mettant en oeuvre la production d'anticorps spécifiques disponibles pendant toute la période d'immunité acquise (période inconnue avec les nouveaux vaccins en développement). Entre l'injection du vaccin et la production suffisante d'anticorps les laboratoires estiment qu'il faut une durée de 2 à 3 semaines, comparable à la réaction d'un organisme infecté par de vrais virus avec maladie. Au moins pendant 1 à 2 semaines, les voies respiratoires peuvent non seulement être naturellement contaminées mais encore être contagieuses ! Cela reste valable aussi bien dans les jours suivant la vaccination que dans tout autre période. Les défenses immunitaires étant en ordre de marche, la maladie éventuelle issue d'une contamination sera combattue dans des délais raccourcis avec plus d'efficacité : les symptomes ressentis seront alors plus légers et même en cas d'une infection massive la gravité de la maladie sera fortement réduite. Donc, même dans ces conditions, une vaccination "efficace" en absence d'effets secondaires nocifs, permettrait de réduire ou supprimer -selon le niveau de contamination post vaccinale- les symptomes délétères, douloureux et toxiques dus au coronavirus.
Quelques INCERTITUDES concernant les VACCINS
La première concerne la durée effective de protection, à savoir la durée pendant laquelle les anticorps sont en nombre suffisant pour aller adhérer aux coronavirus envahissants afin de fes faire phagocciter par les lymphocytes K ou NK (Natural Killers). Actuellement le recul pour les essais en phase 3 reste inférieur à 6 mois.
Une deuxième est l'insuffisance de données sur les effets secondaires.
Une troisième concerne l'efficacité : les notices promotionnelles évoquent des efficacités de 95% à 3 mois ! La méthode d'estimation de l'efficacité est simplifiée à l'extrême. On pourrait s'attendre soit à des mesures sur le pourcentage de vaccinés possédant encore dans le délai de 3 mois un taux largement suffisant d'anticorps pour combattre une infection soit à des essais comparatifs entre deux importants groupes égaux et comparables en répartition, l'un ayant reçu le vaccin, l'autre le placébo, les deux groupes étant placés dans des milieux de contagion, au centre de clusters, tels que le groupe placebo devrait être contaminé à près de 100% et le groupe vacciné exposé de la même façon, devrait alors contenir un nombre restreint de malades contaminés, l'efficacité étant alors le rapport entre les négatifs vaccinés effectivement protégés et le nombre total de vaccinés, pour les deux groupes (avec le vrai vaccin et avec le placebo). Au lieu de cela, les laboratoires de Moderna et Pfizer relèvent le nombre extrêment faible de cas positifs déclarés dans les deux importants groupes (vaccinés ou placebo) portant sur un total de 30 à 40 000 cobayes et en déduisent l'efficacité . Exemples :
+ Pfizer sur 170 cas positifs 8 sont dans le groupe vaccin et 162 dans le groupe placebo : alors l'efficacité est de 162/170 soit environ 95% (sur le groupe placebo). On ignore les caractéristiques de santé et d'âge des cas positifs et de plus les cobayes n'ont pas été exposé dans les mêmes conditions. En outre, à voir les cas de non contamination (ou non maladie déclarée) sur des lots de plus de 10 000, le placebo resterait très efficace !!!
+ Moderna sur 95 cas positifs 5 sont dans le groupe vaccin et 90 dans le groupe placebo (groupes égaux contenant chacun plus de 10 000 cobayes), alors l'efficacité est 90/95 = 94,5% : bravo pour la précision !
Conclusions provisoires !
La Covid-19 provoquée par le SRAS-COV2, un corona virus de la famille de ceux du SRAS de l'EST asiatique et du Moyen-Orient, mais heureusement bien moins mortel, est contagieuse de façon sournoise : ce qui est inquiétant pour toutes les Autorités de santé des différents pays.
Les laboratoires de recherche biologique étudient des solutions vaccinales selon différentes méthodes, dont certaines nouvelles (à partir d'une fraction de l'ARN messager). Les différentes phases du déroulement, de l'évolution de la maladie et de la mutation probable du virus, sont encore mal connues : chercheurs scientifiques, professionnels de la santé, dirigeants politiques, financiers et économiques pataugeent chacun à son niveau de compétence ou d'incompétence ! Seules des solutions de bon sens partagées et acceptées par les populations, avec une totale transparence, peuvent être mises en oeuvre en attendant des antiviraux efficaces et/ou des vaccins sécurisés !
43 réactions à cet article
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON